CHAPTER 3
—🦋
“I'm becoming dizzy go away hey”
Le même dessin, toujours...
Les mêmes larmes, toujours...
Les mêmes faux sourires, toujours...
Le même garçon, toujours.
Depuis deux mois maintenant Jisung vient tous les jours voir Minho dessiner sans que ce dernier ne s'en apperçoive, souvent il veut lui parler mais la peur s'empare de lui, il a peur de la réaction de l'artiste, il a peur du leur rencontre, la peur le contrôle, encore un point commun inconnu des jeunes hommes.
Ce qu'il ne sait pas c'est que tous les soirs, Minho se rend dans la salle six pour observer l'écureuil chanter, il a aussi l'envie irrépressible d'aller le voir, il a cette envie mais lui aussi a peur, peur des réactions de Jisung, peur, il est aussi enfermé dans la peur comme dans une cage.
Ils sont en cage et sont chacun la clé de l'autre, seulement comment faire pour attraper la clé si elle est elle même enfermée...?
La seule solution serait alors de rapprocher les cages, encore faudrait-il que les deux énergumènes admiratifs s'en rendent compte et ça c'est je autre histoire bien plus compliquée.
Ce soir Minho se rend dans à la salle six silencieusement, il veut voir le blondinet chanter, il en a besoin.
Ce soir Jisung se rend à la salle trois silencieusement, il a repéré un dessin oublié du brun et veut le voir. Il le récupère avec précaution comme si il s'agissait de la huitième merveille du monde, d'un trésor inestimable, sur ce dessin il y a un visage recouvert de masques et de mots avec une inscription en haut de l'œuvre d'art “Voices”. Le blond se souvient alors d'une chanson d'un groupe qu'il apprécie se nommant voices.
Ce soir Jisung, sans le savoir a rapproché les deux cages en chantant la chanson, en chantant voices sous les yeux admiratifs de l'artiste aux milles voix, pour une fois il a senti les traits de son contour et ses couleurs revenir, il s'est senti exister le temps d'une chanson, il les a oubliées, pendant trois minutes vingt-cinq il a existé sans elles, pendant ces minutes il s'est senti vivant, ce soir là Minho a souri pour de vrai.
“I'm becoming dizzy go away hey”
Le même dessin, toujours...
Les mêmes larmes, toujours...
Les mêmes faux sourires, toujours...
Le même garçon, toujours.
Depuis deux mois maintenant Jisung vient tous les jours voir Minho dessiner sans que ce dernier ne s'en apperçoive, souvent il veut lui parler mais la peur s'empare de lui, il a peur de la réaction de l'artiste, il a peur du leur rencontre, la peur le contrôle, encore un point commun inconnu des jeunes hommes.
Ce qu'il ne sait pas c'est que tous les soirs, Minho se rend dans la salle six pour observer l'écureuil chanter, il a aussi l'envie irrépressible d'aller le voir, il a cette envie mais lui aussi a peur, peur des réactions de Jisung, peur, il est aussi enfermé dans la peur comme dans une cage.
Ils sont en cage et sont chacun la clé de l'autre, seulement comment faire pour attraper la clé si elle est elle même enfermée...?
La seule solution serait alors de rapprocher les cages, encore faudrait-il que les deux énergumènes admiratifs s'en rendent compte et ça c'est je autre histoire bien plus compliquée.
Ce soir Minho se rend dans à la salle six silencieusement, il veut voir le blondinet chanter, il en a besoin.
Ce soir Jisung se rend à la salle trois silencieusement, il a repéré un dessin oublié du brun et veut le voir. Il le récupère avec précaution comme si il s'agissait de la huitième merveille du monde, d'un trésor inestimable, sur ce dessin il y a un visage recouvert de masques et de mots avec une inscription en haut de l'œuvre d'art “Voices”. Le blond se souvient alors d'une chanson d'un groupe qu'il apprécie se nommant voices.
Ce soir Jisung, sans le savoir a rapproché les deux cages en chantant la chanson, en chantant voices sous les yeux admiratifs de l'artiste aux milles voix, pour une fois il a senti les traits de son contour et ses couleurs revenir, il s'est senti exister le temps d'une chanson, il les a oubliées, pendant trois minutes vingt-cinq il a existé sans elles, pendant ces minutes il s'est senti vivant, ce soir là Minho a souri pour de vrai.
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