2–alone
Les regards, c'est énervant n'est ce pas, de ce faire dévisager incessamment, tout le temps, inlassablement...
Les regards empreints de pitié, ceux empreints de haine, de moqueries, d'empathie, dans leurs regards je vois tout, tous leurs maux cachés, tous leurs mots non dits, touts leurs émotions enfouies, toutes ces larmes retenues, tous ces faux sourires, toute la souffrance, voilà pourquoi je suis seule, parceque je veux plus souffrir de l'abandon alors j'arrête d'essayer, après tout, ils sont tous pareils, tous des monstres.
J'aime la musique, j'en écrit, j'en chante et j'en joue, seule, après tout, on est jamais mieux servi que par soi même et puis, qui voudrait m'aider, qui voudrait me parler, qui voudrait me voir? Personne...
Depuis petite je joue du piano, c'est une sortie pour moi et je l'empreinte beaucoup trop souvent...
Les notes résonnent, dans le silence de la salle, des mots viennent alors agrémenter cette mélodie aussi douce que dure, aussi honnête que mensongère, autant tout que rien...
Je joue la vie, mes failles, ma solitude, mes pensées, ma souffrance, ma colère, mes questions, mes espoirs, ma passion, mon tout, mon rien, les notes, tout comme les mots, résonnent entre les murs de cette salle au fond du couloir, un sourire naît au même moment, pas le mien, non, le sien...
Les regards empreints de pitié, ceux empreints de haine, de moqueries, d'empathie, dans leurs regards je vois tout, tous leurs maux cachés, tous leurs mots non dits, touts leurs émotions enfouies, toutes ces larmes retenues, tous ces faux sourires, toute la souffrance, voilà pourquoi je suis seule, parceque je veux plus souffrir de l'abandon alors j'arrête d'essayer, après tout, ils sont tous pareils, tous des monstres.
J'aime la musique, j'en écrit, j'en chante et j'en joue, seule, après tout, on est jamais mieux servi que par soi même et puis, qui voudrait m'aider, qui voudrait me parler, qui voudrait me voir? Personne...
Depuis petite je joue du piano, c'est une sortie pour moi et je l'empreinte beaucoup trop souvent...
Les notes résonnent, dans le silence de la salle, des mots viennent alors agrémenter cette mélodie aussi douce que dure, aussi honnête que mensongère, autant tout que rien...
Je joue la vie, mes failles, ma solitude, mes pensées, ma souffrance, ma colère, mes questions, mes espoirs, ma passion, mon tout, mon rien, les notes, tout comme les mots, résonnent entre les murs de cette salle au fond du couloir, un sourire naît au même moment, pas le mien, non, le sien...
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