Rien que elle
Rien que elle
Plus qu'elle
Rien que elle
quelle belle journée, si lumineuse...
la chaleur de l'astre dans ce ciel bleu démontre chaque jours la beauté de cette planète détruite par ce fléau humain.

rien de t'elle pour commencer cette magnifique journée que de se préparer.
pour quoi ? bah les cours...

cette activité ennuyeuse que font tout les jeunes. un supplice pour beaucoup qui vois l'éducation comme un calvaire qu'il faut terminer rapidement.

mais pas pour notre protagonistes qui voit ça comme une chance....de briller ?
d'étudier et d'apprendre consciencieusement les cours ? ah ah ah pauvre naïf. BIEN SÛR QUE NON !

madame à bien mieux à faire que d'écouter un type parler toute la journée du texte en littérature d'un écrivain qui a soit disant caché des métaphores pour un simple objet banale.

ou d'entendre le début d'une leçon en mathématiques ne comprenant rien à partir du moment ou le cours commence.

notre protagonistes à mieux à faire dans sa fille de lycéenne....lui.

qui est-ce ? je ne sais pas c'est tellement excitant de ne pas tout savoir, non ?

devant son miroir elle était là, se faisant belle, son visage, sa coiffure...
voulant ressembler à la femme parfaite tiré d'un magasine de beauté qui se pensais au dessus de tout avec ses stéréotypes absurde et sans valeurs.

la jeune fille était déterminée s'était aujourd'hui. oui, ce jour là s'était Celui là.
le jour t'en attendus, son coeur bat si vite j'y crois pas !! oh oui c'est comme un parfum dans l'air qui voulais montrer que cette journée allait être mémorable !

«tu vas être en retard !»

c'est sa mère ! oui il ne faut pas être en retard pour ce moment...
en faisant demi-tour vers la porte de la salle de bain, la jeune fille prit une lettre, une lettre soigneusement parfumé d'un fruit sucré.
une lettre décorée avec soin pour montrer son importance dans cette histoire...dans ses mains elle détenait la chute de cette journée, la fin d'un calvaire où son coeur battait rapidement, le stresse qui l'avait envahi.... qu'elle joie !

elle était maintenant prête à réaliser les caprices de son coeur, lui déclarer un amour éternel...un amour...

depuis qu'il est apparu dans son regard, depuis ce jour, oui.
son coeur ne veux plus ralentir, rien que de penser à lui faisait apparaître une joie et une excitation immense, comme poignardé de bon sentiments.

son sac sur son dos, sa sacoche pour y ranger ses petites babioles potentiellement inutiles, notre protagoniste s'en alla joyeusement, courant presque vers le bonheur, le paradis.

comment allait-elle lui dire ? timidement ? non, il faut être courageuse, montrer qu'on est forte en toute circonstance ?
s'était celà qu'elle se disait en s'entraînant chaques soirs depuis un mois environ...

et aujourd'hui s'était le moment.

commençons d'abord par le commencement non ?
non je préfère tout garder encore...

la sonnerie retentit, les cours vont commencer qu'elle merveilleuse mélodie !
arrivant dans la classe, mademoiselle s'installa, cachant son précieux trésor au cas où des petits malins essayerais de regarder. la honte si on venait à découvrir qu'une lettre d'amour était caché dans son pauvre sac noir décoré de petits portes clés chiens.

les affaires étalé sur sa table, comme pour se donner un style et "travailler" ou plutôt donner l'illusion de travailler, elle pensait.

à lui... comment allait se passer cette journée ?
comment allait-il réagir...
ça fait un moment qu'ils sont amis, elle le connait un peut mais pas au point de prédire ses futures actions.

entre deux exercices incompréhensible la jeune fille offrait une place dans ses pensées, une place pour lui..
ce beau jeune homme, plutôt mince.
pas de muscle en vue, on s'en fiche elle l'aime pas pour ça, sa chevelure doré et son regard concentré sur les cours.

quelle homme ! se dit-elle d'un coup.
ses pensé n'était que pour lui...
que pour lui...


rien qu'à lui...

tout pour lui...

tellement parfait, tellement adorable...

s'était une merveilleuse mâtiné, je suppose ? les cours n'était pas important car il était là, ici, devant elle sur la rangé de droite, contre le mur de la classe...

on pouvait distinguer sa chevelure mi-longue, il aime ses cheveux comme ça et je le comprends tellement...
on dirait des fils d'or, un trésor pour les yeux.

elle rêva de lui toute la journée, pendant déjà au nombre d'enfants, leurs nom et surtout leurs apparence.... souhaitant que ces derniers ai une aussi belle chevelure.

la dernière sonnerie de la journée retentit, montrant à tous que la fin de journée était arrivée.
notre protagonistes était maintenant stressé et préféra sortir en dernier, préparant sa lettre et sa déclaration.

aujourd'hui un simple texto pouvais faire le travail mais pas pour elle qui voulais de l'authenticité dans la forme la plus pure.
un amour véritable ne doit pas être avoué par des simples 0 ou des 1 à répétition mais par le pouvoir de la plumes suivis de la voix.

oui aujourd'hui c'est le moment de montrer de quoi tu es capable, descendant les étages elle pensait encore à lui...ce soir allait elle raconter à sa mère la joie qui va l'animer ? ou une tristesse intense...?

une fois devant l'établissement elle chercha du regard l'homme de sa vie timidement avant de l'apercevoir devant un arbre, assis contre une bordure.

monsieur rangeais quelque affaires qu'il avait sûrement prit à la main...
elle S'approche joyeusement oh c'est le moment ! courage..!

son futur se tourna face à elle lui souriant en retour, ah ? comme c'est merveilleux !
lui aussi partage donc les mêmes sentiments ?
le même ressentis fou ?

« Lawrence ! »

elle se stoppa, q-qui à dit ça ?
une personne doubla notre timide dans sa course vers l'amour éternel.

une autre jeune fille, grande, cheveux noir, tombant presque au sol comme une blague ! et bien sûr cette énervante démarche, répugnante....
QUI EST-ELLE BORDEL !?

on ne l'a connait pas ! depuis quand IL l'a connait ? hein ? dite ! un nouveau tournant se lève devant nous...un mur infranchissable.

cette fille se pense tout permis ?
crier comme ça, le nom de son bien aimé comme si s'était qu'une vulgaire barre de chocolat !
inacceptable !

elle regardait fixement les deux.... leurs regards étaient comme...NON je ne peux pas le croire celà ne devait pas se passer comme ça !
on était là avant....

la jeune adolescente tourna son regard vers cette saloperie, gravant dans sa mémoire chaques traits de son visage pour se comparé à elle..

qu'avait-elle de plus ?
ses cheveux aussi long que son qu'un avenir maintenant devenu incertain ?
NON ! je ne peux pas le croire...c-cette FILLE !!!

soudainement les deux partirent de l'établissement, marchant côte à côte.... lentement, parlant avec le sourire.

je ne veux rien savoir ! en faite si je veux tout savoir !
bloqué comme un panneau inutile dans un village ou il n'y a que des vieux qui ne conduisent plus, elle était là....
retenant ses pauvres larmes inutile d'un jugement sûrement trop rapide d'une autre connasse sur sa route...

depuis quand ils se connaissent ?

la nuit était maintenant tombée et la jeune ado au coeur malmené par les évènements était toujours dehors peinant à rentrer dans sa demeure...
une fois dedans, au chaud elle fût ébloui voir agressée par la lumière du salon.

le monde est si horrible, maintenant elle le sait.

«tu étais où ? pourquoi tu rentres à cette heure-ci ?»

ah oui on avait maintenant la mère en colère.
personne ne peut comprendre son chagrin...un chagrin sûrement stupide mais bien réel.
on te juge pour ce que tu ressens mais tu n'y peux rien, tu es triste et c'est t'en pis.

sans rien dire elle grimpa dans sa chambre, puis dans la salle de bain.
le miroir était maintenant son seul ami dans se monde...son reflet déprimé d'une histoire raté et sans espoir.

t-tout ça....

«TOUT ÇA C'EST DE SA FAUTE !»

D'un élan de colère elle brisa son miroir d'un coup de poing, un coup violent faisant saigner sa petite main...mais elle ne sentais rien.


pas de douleur.

juste le sang qui tombait dans le lavabo, s'était une horrible sensation.
celà devait s'arrêter !

elle pense encore à lui mais celà avait un goût amère...

elle pense encore à lui mais s'était de la colère....

elle pense cette fois-ci à l'autre pouf...et lança un regard sévère....

elle pensa à une solution mais s'était un calvaire....

elle voulut crier son désespoir et c'est à ce moment là que vint sa mère...



© Maullie World,
книга «Détraqué d'amour».
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