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Vendredi 13 octobre 2017
Un vendredi comme les autres ... J'ai du mâle à me réveiller,il est 7h00,je me lève,déjeune, me douche et je suis prête pour partir au collège. Alors que j'étais sur la route du collège, j'aperçois au loin mon père et ma mère ! Ils sont sensés travailler et cela m'étonne car en générale maman parle très peut à papa et que au téléphone de plus c'est juste pour s'engueuler . Au lieu d'ignorer et de tracer mon chemin,je décide de les espionner pour écouter ce qu'ils se dissent. Je m'approche en toute discrétion tout en me cachant derrière les nombreux arbres.
— Mais déjà la semaine dernière je t'ai prêter 250 euros ! s'énerva mon père.
— Mais j'en ai besoin ! C'est moi qui élève ta fille péniblement avec le peut d'argent qu'il me reste ! se défendit ma mère.
— Bien,alors je vais arranger ça moi.
— Tu compte faire comment sans argent ?!
— Toi tu n'en as pas mais moi oui. C'est simple, je te retire la garde et elle vivras avec moi.
Des larmes se mirent à couler sur mes joues. J'ai préférer partir,je couru et une fois arrivé, le collège avais déjà commencer. Une fois de plus je suis en retard ... J'avais cour d'anglais avec Mme Clavens en sale 23 comme tous les vendredi matin à 8h00. J'eus à paine le temps d'ouvrir la porte que la prof interrompit son cour encore une fois pour me humilier.
— Tiens tiens,Mademoiselle Euverra . Il me semble que c'est votre 4 ème retards à mon cour depuis la rentrée, sa mérite 1h de colle !
Au lieu de riposter comme j'ai l'habitude, je m'assis sans dire un mot. À ce moment là je n'écoutait plus le cour et commença à repenser à mes parents; je luttais pour ne pas sangloter. Quelques heures plus tard après l'anglais,l'histoire,les maths,c'était l'heure de manger. Je m'étais installée là où toutes mes amis s'étaient installées.
— Tu fais la gueule? finit par demander Juliette une de mes amis.
— Non pas du tout. répondit je froidement.
— Alors pourquoi tu à l'air triste et énervée ? demanda Manon une autre amis à moi.
— Je vous expliquerait plus tard! me suis je énervée.
Elles continuèrent de papoter est de manger sans trop me calculer. C'était horrible,j'avais l'impression que personne me comprenait... La journée continua et je ne leurd dis rien,je parlais et je rigolais comme si de rien n'était,mais au fond de moi je pleurais. Quelle sensation horrible d'abandon à soi-même !
Comme à chaque fin de cours,j'ai traîné un peu avec mes potes dans la rue. J'ausais pas leurs dire ce qui s'était passé ce matin-là.
— Et sinon demain vous faites quoi ? demanda Axelle un pote.
— Ben moi je suis censé traîner en ville avec Manon tu peux nous rejoindre si tu veux. proposa Juliette.
— Bah ouais moi sa me dit bien.
— Et moi,je peux venir ? fit Lou.
— Bah carrément ! Et toi Lily tu veux pas venir ? me demanda-t-elle.
— Heuu... bah... bof. ai-je répondu stupidement.
— Lili ? Tu es sûre que tout va bien ? me demanda Axelle inquiet.
— Heu oui,tout va bien,oui oui ... mentit-je.
Ils continuèrent de me parler comme si j'étais une handicapée,mais je n'écoutais plus. Je savais qu'il avait pitié de moi,et qu'il voulait à tout prix que je me sente bien,mais ça ne faisait qu'aggraver les choses ...
Alors que je faisais semblent de les écouter parler,je sentit une main m'attraper fermement le poignet. Mon premier réflexe fut de crier et mon deuxième fut de me DÉBATTRE !
Un vendredi comme les autres ... J'ai du mâle à me réveiller,il est 7h00,je me lève,déjeune, me douche et je suis prête pour partir au collège. Alors que j'étais sur la route du collège, j'aperçois au loin mon père et ma mère ! Ils sont sensés travailler et cela m'étonne car en générale maman parle très peut à papa et que au téléphone de plus c'est juste pour s'engueuler . Au lieu d'ignorer et de tracer mon chemin,je décide de les espionner pour écouter ce qu'ils se dissent. Je m'approche en toute discrétion tout en me cachant derrière les nombreux arbres.
— Mais déjà la semaine dernière je t'ai prêter 250 euros ! s'énerva mon père.
— Mais j'en ai besoin ! C'est moi qui élève ta fille péniblement avec le peut d'argent qu'il me reste ! se défendit ma mère.
— Bien,alors je vais arranger ça moi.
— Tu compte faire comment sans argent ?!
— Toi tu n'en as pas mais moi oui. C'est simple, je te retire la garde et elle vivras avec moi.
Des larmes se mirent à couler sur mes joues. J'ai préférer partir,je couru et une fois arrivé, le collège avais déjà commencer. Une fois de plus je suis en retard ... J'avais cour d'anglais avec Mme Clavens en sale 23 comme tous les vendredi matin à 8h00. J'eus à paine le temps d'ouvrir la porte que la prof interrompit son cour encore une fois pour me humilier.
— Tiens tiens,Mademoiselle Euverra . Il me semble que c'est votre 4 ème retards à mon cour depuis la rentrée, sa mérite 1h de colle !
Au lieu de riposter comme j'ai l'habitude, je m'assis sans dire un mot. À ce moment là je n'écoutait plus le cour et commença à repenser à mes parents; je luttais pour ne pas sangloter. Quelques heures plus tard après l'anglais,l'histoire,les maths,c'était l'heure de manger. Je m'étais installée là où toutes mes amis s'étaient installées.
— Tu fais la gueule? finit par demander Juliette une de mes amis.
— Non pas du tout. répondit je froidement.
— Alors pourquoi tu à l'air triste et énervée ? demanda Manon une autre amis à moi.
— Je vous expliquerait plus tard! me suis je énervée.
Elles continuèrent de papoter est de manger sans trop me calculer. C'était horrible,j'avais l'impression que personne me comprenait... La journée continua et je ne leurd dis rien,je parlais et je rigolais comme si de rien n'était,mais au fond de moi je pleurais. Quelle sensation horrible d'abandon à soi-même !
Comme à chaque fin de cours,j'ai traîné un peu avec mes potes dans la rue. J'ausais pas leurs dire ce qui s'était passé ce matin-là.
— Et sinon demain vous faites quoi ? demanda Axelle un pote.
— Ben moi je suis censé traîner en ville avec Manon tu peux nous rejoindre si tu veux. proposa Juliette.
— Bah ouais moi sa me dit bien.
— Et moi,je peux venir ? fit Lou.
— Bah carrément ! Et toi Lily tu veux pas venir ? me demanda-t-elle.
— Heuu... bah... bof. ai-je répondu stupidement.
— Lili ? Tu es sûre que tout va bien ? me demanda Axelle inquiet.
— Heu oui,tout va bien,oui oui ... mentit-je.
Ils continuèrent de me parler comme si j'étais une handicapée,mais je n'écoutais plus. Je savais qu'il avait pitié de moi,et qu'il voulait à tout prix que je me sente bien,mais ça ne faisait qu'aggraver les choses ...
Alors que je faisais semblent de les écouter parler,je sentit une main m'attraper fermement le poignet. Mon premier réflexe fut de crier et mon deuxième fut de me DÉBATTRE !
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C'est quand la suite s'il vous plaît ?!?
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2018-09-07 19:09:48
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2018->2020 bientôt 21... toujours pas de suite.
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2020-12-12 09:02:10
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