«-Tout change trop vite pour qu'on puisse se rattraper. Le caniveau est plein d'idées et d'ordures qui ont été jetées pour ne plus jamais les retrouver»

«- Le feu de nos consciences inutilisée ralentit son crépitement jusqu'à la mort de l'esprit qui n'a pas alimenté son foyer. »

«- Les mots se posent comme des bout de bois. Ils forment des tours d'imaginations imperceptible physiquement. »
© Maloé ,
книга «Fumée attardée».
Коментарі