S'empressant pour rentrer chez elle , Maëva était très inquiète pour Adael . Ses messages ne disaient rien de bon .

" Hey... j'ai besoin de toi..."

"réponds moi s'il te plait"
"dis moi juste pourquoi je devrais rester dans cette foutu terre??"

"Toi au moins , t'as toujours été aimée,  c'est pas le cas de tout le monde"

"J'ai besoin de toi reviens "

"...je t'aime désolé"

17:45, Dernier message envoyé.

La jeune femme essaya tant bien que mal à l'appeler,  Mais elle n'eu aucune réponse.   L'inquiétude et le stress pour son ami la rongeait , pourquoi diable à t'il envoyé ce genre de messages ?

Maëva ne tenna plus compte du temps qu'il était,  ou du monde qui l'entoura. Pour elle , Adael est tout son monde. Comment pourrait-elle continuer à vivre sans lui à ses côtés ?

Enfin arrivée dans son quartier,  la jeune brune Partit directement dans son appartement.  Ne saluant guère ses voisins,  qui en la voyant ne comprenaient pas.

_《 Maëva ! qu'est-ce qu'il y'a ?》dit le vieux jean en la voyant partir chez elle à toute allure.

_《 je n'ai pas le temps Monsieur Jean ! 》 Tout ce qui importait pour elle était son ami blond.

Elle prit ses clés et ouvra la porte de l'appartement à toute hâte,  Commençant à paniquer en n'entendant pas son ami pour lui répondre.

_《 Adael !? T'es où?》  dit la brune en Le recherchant.

Elle continua à le chercher dans leur bien petit appartement. Quand elle s'avança vers sa chambre , Elle  manqua de peu de tomber. Ses jambes allaient lâcher,  Commençant à trembler elle recouvra sa bouche de sa main.

Adael en sang...un couteau transperçant son corps sans vie. Cette vue mortifia Maëva qui Tomba sur ses genoux,  Ses yeux s'embuèrent . Et de chaudes larmes commencèrent à tomber sur le doux visage de Maëva.

Elle poussa un cri de souffrance qui se mêla à ses larmes , Elle ne pouvait pas y croire... Pourquoi à t'il fait ça ?

En entendant la jeune fille pleurer,  Monsieur Jean accouru vers elle. En voyant le corps sans vie de jeune blond , Il se pencha sur le mur n'en croyant pas ses yeux.

_《 doux Jésus...》dit le viel homme avant d'attraper Maëva et de l'enlacer.

Il l'a faisa sortir de l'appartement en lui caressant le visage pour la réconforter.

Le monde de Maëva s'était écroulé,  son meilleur ami , que dis-je? C'était bien plus qu'un frère. Pour elle c'était la personne sur qui compter , celle qu'elle aimait le plus au monde.  Elle ne peut pas s'imaginer la vie sans son rayon de soleil, comment n'as t'elle pas devinée son mal être ? Elle la personne la plus proche de lui , elle se sentait coupable.

Une fois les pompiers arrivés sur place , Ils prirent le corps avec eux. La police elle aussi intervena,  Ils posèrent quelques questions à Maëva et aux autres voisins.  Elle était trop bouleversée,  Elle ne pouvait pas répondre à une seule de leurs questions sans pleurer à chaudes larmes.   compte à eux les voisins étaient dévastés ne comprenant pas l'acte du jeune homme , rapidement tout le quartier commençait à chahuter et à chuchoter leurs ressentiments.

Il paraissait  que récemment il aurait été viré du petit café dans lequel il travaillait. apparemment son ancien patron à découvert qu'il prenait des anti-dépresseurs,  de nombreux médicaments aussi dangereux pour la santé. En plus il venait tout le temps en retard,  ce que le patron trouva inacceptable il lui dit alors qu'il était instable et qu'il lui faudrait un temps à rester chez lui.


À   présent dans la tête de La jeune femme tout collait . les anti-dépresseurs, les petites boîtes de médicaments qu'il cachait.  les manches longues pour masquer les marques de mutilation , Sans oublier que sa relation avec ses parents s'était surement dégradée quand ils apprirent qu'il avait été viré . Quand elle repense qu'il ne lui avait même pas dis ...


suite à celà les policiers  déterminerent  , que celà était un suicide.    À l'entente de ce mot Maëva n'arrêtait pas de vomir , celà la rendait malade . Elle se sentait coupable , elle n'avait pas vu sans mal être. lui l'être qu'elle cherissait le plus , venait de se donner la mort , une fin assez sordide et sanglante pour le jeune homme. Elle réprima un sentiment de culpabilité et de dégoût, car en y réfléchissant bien c'était de sa faute.