Chapitre 2
2037, sur Pirna
Lirea Sohn prit son sac et appela ses jumeaux Hoan et Solrac, il était bientôt huit heure, dans trente minutes les garçons commenceraient leurs cours. Elle était encore prête avant eux et cela l’exaspera. Elle prit un élastique et attache en vitesse ses cheveux blonds, elle vérifia dans le miroir de l’entrée si elle avait une bonne allure. Ses fils arrivèrent en se chamaillant joyeusement. Leur mère leur sourit et ils partirent dans leur vieille voiture rouge toute cabossée que Lirea avait depuis son entrée à l’université. Elle les déposa à l’école et partit, chantant sur la musique de sa radio, à son travail au CDE. Elle était astronaute et avait beaucoup contribué à la préparation du Voyage.
Lirea passa sa journée à vérifier et revérifier les preparatifs du depart, le lendemain. A la fin du jour, Elle prit sa voiture et fila chez elle, les jumeaux étaient gardé par leur voisine, une vieille dame bien gentille qui leur faisait des pains d’épices. Elle voyait la ville moderne de Pirna de haut, sur les grattes-ciels étaient affichés des publicités pour le produit 9Gel2Vaisselle ou encore les biscuits aux pépites de chocolat Idos, les meilleurs biscuits de tout l’univers ! La cité éblouissait Lirea, tous les meubles étaient vitrés et reflétaient le soleil couchant de Zion. Ses yeux furent attirés par un panneau représentant le professeur Firmin, un astrophysicien qu’elle admirait et qui l’avait poussé à devenir ce qu’elle était. Sur cette image il décrivait Darion comme un nouveau monde qui n’attendait que les humains. Lirea travaillait avec lui, en quatorze ans elle avait très vite évoluer et était devenue une des astronaute les plus connues de Zion. Son métier consistait à verifier et reparer les satellites envoyés dans l’espace, elle participait aussi à la recherche dans ce domaine, comme par exemple comment le corps humain résistait-il, pourquoi. Elle adorait ce mot, pourquoi. Il signifiait pour elle la recherche, la suite mais surtout tout ce qu’il lui restait à savoir et à comprendre. Un jour elle avait calmé Hoan et Solrac qui se chamaillaient en leur disant :
“Pourquoi vous vous battez ?
- Il m'énerve !
- Pourquoi il t'énerve ?
- Ben il m’a pris mon doudou…
- Pourquoi tu lui a pris son doudou ?
- C’est lui hier qu’il m’a marché sur le pied !”
Cela avait duré dix bonnes minutes et les jumeaux avaient vite oublié leurs différends.
Le lendemain ils étaient venus vers elle et lui avait demandé :
“Pourquoi on va sur 92GV Darion, maman ?
- 9G2V Darion, Solrac. On y va car Zion est une planète beaucoup trop petite pour tout les gens qui y vivent. C’est une chance que cette planète existe et que nous puissions nous y rendre.
- Et ca va etre comment la-bas ?
- Vous ne l’avez pas encore vu à l’école ?” demanda Lirea.
Ses fils firent “non” de la tête, alors elle leur dit que Darion était plein de verdure encore inconnue, que toute la faune était à découvrir, qu’il faudrait explorer cette planète de fond en comble. Quand elle parla de tout le système autour de Darion, son soleil, ses lunes, les astres voisins, elle avait les yeux brillants et un air rêveur. Toute cette discussion venait d’un Pourquoi, il était si fort ce mot.
Quand elle arriva chez elle, ses fils lui sautèrent dans les bras. Leur vieille voisine, Germia Locko vint vers elle :
“Ah, bonsoir Madame Locko, ils n’ont pas été trop dur ?
- Oh que si ! Vous savez avec le Voyage demain et toute cette agitation hein !
- Mais Gernia, on va aller à Darion ! dit en sautant partout Hoan
- Vous peut être mais pas les vieux déchets comme moi, rétorqua-t-elle en pincant les levres
- Ne dites pas ça, dans dix-sept ans vous n’auriez pas encore quatre-vingt-cinq ans !”
La vieille dame haussa les épaules puis partit sortir son gâteau du four. Mais pour Hoan et Solrac la discussion n’était pas finie et pendant que leure mere enlevait ses chaussures et se mettaient à l’aise Solrac observa :
“Mais c’est vrai, plein de personnes ne connaîtrons jamais Darion…
- Oui, c’est trop triste.
- Allons mes chouchous, c’est comme ca ! Et puis imaginez tout les enfant qui vont naître durant le Voyage, quand ils comprendront tout le travail fait pour arriver à Darion ils découvriront cette planète et pourront pleinement profiter de ses ressources !”
Cette remarque fit méditer les deux frères pendant de longues minutes, jusqu'au moment ou Madame Locko les quitta en leur faisant un gros bisou baveux.
Lirea Sohn prit son sac et appela ses jumeaux Hoan et Solrac, il était bientôt huit heure, dans trente minutes les garçons commenceraient leurs cours. Elle était encore prête avant eux et cela l’exaspera. Elle prit un élastique et attache en vitesse ses cheveux blonds, elle vérifia dans le miroir de l’entrée si elle avait une bonne allure. Ses fils arrivèrent en se chamaillant joyeusement. Leur mère leur sourit et ils partirent dans leur vieille voiture rouge toute cabossée que Lirea avait depuis son entrée à l’université. Elle les déposa à l’école et partit, chantant sur la musique de sa radio, à son travail au CDE. Elle était astronaute et avait beaucoup contribué à la préparation du Voyage.
Lirea passa sa journée à vérifier et revérifier les preparatifs du depart, le lendemain. A la fin du jour, Elle prit sa voiture et fila chez elle, les jumeaux étaient gardé par leur voisine, une vieille dame bien gentille qui leur faisait des pains d’épices. Elle voyait la ville moderne de Pirna de haut, sur les grattes-ciels étaient affichés des publicités pour le produit 9Gel2Vaisselle ou encore les biscuits aux pépites de chocolat Idos, les meilleurs biscuits de tout l’univers ! La cité éblouissait Lirea, tous les meubles étaient vitrés et reflétaient le soleil couchant de Zion. Ses yeux furent attirés par un panneau représentant le professeur Firmin, un astrophysicien qu’elle admirait et qui l’avait poussé à devenir ce qu’elle était. Sur cette image il décrivait Darion comme un nouveau monde qui n’attendait que les humains. Lirea travaillait avec lui, en quatorze ans elle avait très vite évoluer et était devenue une des astronaute les plus connues de Zion. Son métier consistait à verifier et reparer les satellites envoyés dans l’espace, elle participait aussi à la recherche dans ce domaine, comme par exemple comment le corps humain résistait-il, pourquoi. Elle adorait ce mot, pourquoi. Il signifiait pour elle la recherche, la suite mais surtout tout ce qu’il lui restait à savoir et à comprendre. Un jour elle avait calmé Hoan et Solrac qui se chamaillaient en leur disant :
“Pourquoi vous vous battez ?
- Il m'énerve !
- Pourquoi il t'énerve ?
- Ben il m’a pris mon doudou…
- Pourquoi tu lui a pris son doudou ?
- C’est lui hier qu’il m’a marché sur le pied !”
Cela avait duré dix bonnes minutes et les jumeaux avaient vite oublié leurs différends.
Le lendemain ils étaient venus vers elle et lui avait demandé :
“Pourquoi on va sur 92GV Darion, maman ?
- 9G2V Darion, Solrac. On y va car Zion est une planète beaucoup trop petite pour tout les gens qui y vivent. C’est une chance que cette planète existe et que nous puissions nous y rendre.
- Et ca va etre comment la-bas ?
- Vous ne l’avez pas encore vu à l’école ?” demanda Lirea.
Ses fils firent “non” de la tête, alors elle leur dit que Darion était plein de verdure encore inconnue, que toute la faune était à découvrir, qu’il faudrait explorer cette planète de fond en comble. Quand elle parla de tout le système autour de Darion, son soleil, ses lunes, les astres voisins, elle avait les yeux brillants et un air rêveur. Toute cette discussion venait d’un Pourquoi, il était si fort ce mot.
Quand elle arriva chez elle, ses fils lui sautèrent dans les bras. Leur vieille voisine, Germia Locko vint vers elle :
“Ah, bonsoir Madame Locko, ils n’ont pas été trop dur ?
- Oh que si ! Vous savez avec le Voyage demain et toute cette agitation hein !
- Mais Gernia, on va aller à Darion ! dit en sautant partout Hoan
- Vous peut être mais pas les vieux déchets comme moi, rétorqua-t-elle en pincant les levres
- Ne dites pas ça, dans dix-sept ans vous n’auriez pas encore quatre-vingt-cinq ans !”
La vieille dame haussa les épaules puis partit sortir son gâteau du four. Mais pour Hoan et Solrac la discussion n’était pas finie et pendant que leure mere enlevait ses chaussures et se mettaient à l’aise Solrac observa :
“Mais c’est vrai, plein de personnes ne connaîtrons jamais Darion…
- Oui, c’est trop triste.
- Allons mes chouchous, c’est comme ca ! Et puis imaginez tout les enfant qui vont naître durant le Voyage, quand ils comprendront tout le travail fait pour arriver à Darion ils découvriront cette planète et pourront pleinement profiter de ses ressources !”
Cette remarque fit méditer les deux frères pendant de longues minutes, jusqu'au moment ou Madame Locko les quitta en leur faisant un gros bisou baveux.
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