chapitre 1
j'espere que ça vous plaira ! n'hésitez pas à me donner votre avis, mercii
Evana et Evano, habitaient dans une petite ville isolée du Nord de la France. Tout était toujours normal, la vie à Gorminde était paisible. Peut-être trop... Car elle était devenue redondante, sans aventure. Personne n'aurait pu penser que la nuit du 23 octobre au 24, des événements étranges allaient laisser des traces. Et oui, car cette nuit là un enfant fût enlevé. C'était Noé Blank, un garçon de 12 ans rondelet. On le rechercha pendant un mois mais bientôt il ne fut plus le seul, Emma Henry, Lola Robloque et Elise Martau avaient disparu à leur tour.
Ce matin-là, les jumeaux marchaient dans le rue encore sombre d’un matin de novembre . Evana était du genre solitaire : elle ne parlait pas et ne souriait jamais si on ne la stimulait pas. Pourtant, quand il fallait se prêter au jeu, elle changeait pour devenir une petite fille parfaite. Evano était plutôt l’inverse : il était toujours enjoué. Il sautait dans les rues, poussait sa sœur vers le collège... Mais dès les portes de celui-ci fermée, dans cette enfer comme le jeune garçon le qualifiait, entouré de monde, il ne souriait plus, il était comme un robot.
Ils avaient les mêmes yeux noirs et les mêmes cheveux bounoirs même couleurs. Evano, bien que son jumeaux, semblait plus grand que Evana de petite taille. Celle-ci avait les genoux noueux, pourtant bien nourrie, elle ne semblait pas bien manger.
Les deux enfants arrivaient devant le parc quand monsieur Blanchard les interpella.
- Eh ! Les enfants, ne passez pas par le parc, c’est trop dangereux.
- Mais par où allons nous passer monsieur ? Demanda alors la petite Evana à ce gros monsieur moustachu, mais toujours très sympathique.
- Faites le tour, votre collège comprendra ! Sur ces paroles, monsieur Blanchard partie avec sa camionnette vers sa poissonnerie.
Evano ne l’écouta pourtant pas. Il saisit la main d’Evana pour la diriger vers le parc. Plus les enfants avançaient, plus le brouillard se faisait dense et pourtant, malgré ce paysage qui aurait repoussé mille et une personne, les jumeaux avançaient sans crainte.
Soudain Evana s’arrête. Sans rien dire elle pointe de son doigt le corps de Guéric Blanchard. Les jumeaux regardaient longuement, sans émotion apparente. Si une personne les aurait vue à ce moment il aurait crue à un sentiment de choc. Mais cela était tout autre. Evano repris la main de sa sœur qui l’avait lâchée et ils continuèrent leur chemin sans jamais se retourner. On ne vous décrira pas le corps, nous vous dirons juste qu’il n’a pas été tué simplement égorgé, il n’était pas désarticulé, comme si c’était l’œuvre macabre d’un enfant innocent.
Evano et Evana étaient à présent devant l’école, voici cinq minutes qu’ils avaient vue Guéric et qu’ils n’avaient rien dit à personne. Ils ne diront rien de la journée. Seulement, quand on annonce la disparition de Guéric et le désespoir de ces parents, les jumeaux décidèrent de se manifester.
Dans la classe il manquait cinq élèves car tous les disparus étaient de cette classe. Evano leva la main. Quand on la interrogea c’est sa sœur qui répondit.
- On la vue, dans le parc ce matin. Il gisait sur le sol, les yeux ouverts il semblait nous regarder Evano et moi, il n’était pas endormi. Il y avait des traces de sang, Mais très peu, venant de son dos. On l'a transpercé au couteau ! décrit Evana une grimace de dégoût collé à son visage.
- Oh… Mon dieu ! Pauvre enfant… Merci Evana… Répond le professeur perturbé par la description de la jeune enfant n’ayant pas hésité à donner les détails.
La sonnerie retentissait quand les élèves de la classe de 6e3 couraient rejoindre leur parents, tous informés de la catastrophe. Seul Evano, Evana, Eline, Manon et Margot restaient pour le midi. Chaques parents avaient peur, pris d’un sentiment d’effroi à l’idée d’abandonner leur enfant plus de quatre heures. Surtout après ce jour
Les jumeaux mangeaient ensembles avec Eline. Margot et Manon amies depuis toujours, mangeaient à deux . Heureusement les autres classe un peux plus nombreuses venaient compléter le tableau.
- J’aime pas la purée… Quelqu’un en veux ? Demande Eline.
- Donne ! Répond Evano qui pourtant n’aime pas la purée. En juger par le regard de sa sœur, elle savait qu’il ne la mangerait pas.
Effectivement Evano pris sa fourchette, installa la purée dessus et retournant en enfance il projeta le contenue sur Eline.
- Touché ! Dire les jumeaux en cœur.
- Vous êtes bizarre ! Des vrais gamins ! S’exclame Eline.
Le frère et la sœur se regardaient avant de dire d’un ton bas.
- Coulée…
L’après-midi se passa morose mais sans encombre. Le soir, Evana et Evano sortaient en courant comme à leur habitude.
A la sortie, ils appelaient toujours leur père pour le prévenir de ne pas venir les chercher. Ils préféraient mieux rentrer à pied. Les deux enfants suivirent une voiture tout le long du chemin qui n’était d’ailleurs pas le même que celui du matin. La mine surprise, le frère et la sœur virent Eline sortir de la voiture au bout d’un certain temps.
- Eline ! Tu vas où ? Demande Evano
- Au solfège… Vous devriez rentrer. À plus tard ! Répond Eline montant les marchent d’un grand bâtiments .
- Attends ! Evano et moi avons fait une cabane, tu veux la voir ? Demande Evana enjoué.
Eline soupirait me suivit ses deux camarades de classe un peux gamin d’après elle. La jeu fini le frère et la sœur partaient retourner chez eux.
- Oh ! Vous allez bien ? Demande madame Frougart à leur entrée. La prochaine fois on vient vous chercher, on vient d’apprendre la disparition de votre amie, Eline ! Tremble leur mère de peur.
Les deux enfanrs étaient partie se coucher depuis maintenant deux heures quand Evana ouvrit grand les yeux. Elle tirait sur la corde relié au lit de son frère et celui-ci ouvrit ses grands yeux dans la pénombre. Silencieusement ils passèrent sous leur lit, attrapaient un sac chacun. Comme si ils l’avaient répété des centaines de fois, les jumeau sortaient dans une organisation parfaite et toujours sans bruit pas la fenêtre. Un léger bruit de leur pas sur le bitume prévenait la mère qui rentrait dans le chambre. Elle ne découvrit alors rien, plus d’enfants. Elle courue à la fenêtre espérant voir le malfaisant mais le rue était vide et calme. A présent il ne restait plus que la mère, rejoins du père, penchaient à la fenêtre par la lueur de la lune. Tout c’était passé vite et une seul chose résonnait dans le tête des parents ; leurs enfants avaient disparu.
De leur côté Evana et Evano couraient à travers la forêt. Ce n’était pas la premier fois qu’ils venaient. Les jumeaux connaissaient parfaitement le chemin. Mais c’était la première fois pour eux qu’ils y venaient la nuit. Plus personne ne voulait les laisser jouer dehors et ils avaient dû s’adapter. Le frère et la sœur se trouvaient maintenant dans une clairière. Le bruit du vent faisait chanter les arbres ressemblant à d’énormes formes fantomatique mais apparemment pas assez pour effrayer nos deux courageux. A la lueur de la lampe torche d’Evana, ils s’ introduisent dans le creux d’un arbre. Contrairement à sont qu’on aurait pensé, ils passaient parfaitement à deux, de plus, comme par magie un trou se craqua sous eux et Evana et Evano disparurent dans un craquement sourd.
Plus loin dans la ténébreuse forêt, les policiers étaient à leur recherche. Batiste Robloque, le père de Lola les avait entendu. Il se précipita dans une direction qui était malheureusement la bonne pour lui. Robloque arriva devant l’arbre où les enfants avaient pénétré il y a quelque instant. Mais le chercheur ne trouve rien, pourtant il est sûr d’avoir entendue quelque chose. Ces jumeaux quoique bizarre ne méritent pas de disparaître comme sa fille. Certains des disparus avaient été retrouvés, morts. Pour d’autre comme Lola, on ne les a jamais retrouvés. Et cette arbre serait peut-être la clef de tous ces étranges événements, espère Monsieur Robloque. Il observe autours de lui, fouille tout ce qui pourrait être anormale dans cette flore. C’est alors qu’en s’approchant d’un rocher à la mine douteuse le père de Lola mis son pied dans un piège. Il fut propulsé en hauteur la tête en bas, accroché à un arbre par une corde le tenant à la cheville. C’est cheveux brun assez long pendent de son visage, malgré sa carrure athlétique, Robloque ne sue se défaire du piège et bien vite le sang lui monta à la tête.
S’ajoute à la disparition des jumeaux, celle de Batiste Robloque qui s’était évanoui. Au matin les jumeaux remontent du troue dans lequel ils étaient tombés pour découvrir Robloque coincé la tête à l’envers. Les deux enfants qui avaient installé ce piège eux même, délivrent la pauvre homme avant de le tirer derrière le rocher, que celui-ci voulait inspecter quelques heures auparavant.
- Que faites vous ? Demande le père de Lola se réveillant.
- Chute monsieur ! Ils vont vous entendre, dit Evano en chuchotant
- Qui ça, ils ? Panique Robloque.
- Les petits monstres qui nous aident à tuer les autre enfants méchants. On les appel les Gogos, explique Evana.
- Mais qu’est-ce que vous me racontez là ?
- Mais ils sont méchant, Evano et moi on les aime plus ! Continue Evana d’expliquer en ignorant légèrement l’adulte.
Evana et Evano, habitaient dans une petite ville isolée du Nord de la France. Tout était toujours normal, la vie à Gorminde était paisible. Peut-être trop... Car elle était devenue redondante, sans aventure. Personne n'aurait pu penser que la nuit du 23 octobre au 24, des événements étranges allaient laisser des traces. Et oui, car cette nuit là un enfant fût enlevé. C'était Noé Blank, un garçon de 12 ans rondelet. On le rechercha pendant un mois mais bientôt il ne fut plus le seul, Emma Henry, Lola Robloque et Elise Martau avaient disparu à leur tour.
Ce matin-là, les jumeaux marchaient dans le rue encore sombre d’un matin de novembre . Evana était du genre solitaire : elle ne parlait pas et ne souriait jamais si on ne la stimulait pas. Pourtant, quand il fallait se prêter au jeu, elle changeait pour devenir une petite fille parfaite. Evano était plutôt l’inverse : il était toujours enjoué. Il sautait dans les rues, poussait sa sœur vers le collège... Mais dès les portes de celui-ci fermée, dans cette enfer comme le jeune garçon le qualifiait, entouré de monde, il ne souriait plus, il était comme un robot.
Ils avaient les mêmes yeux noirs et les mêmes cheveux bounoirs même couleurs. Evano, bien que son jumeaux, semblait plus grand que Evana de petite taille. Celle-ci avait les genoux noueux, pourtant bien nourrie, elle ne semblait pas bien manger.
Les deux enfants arrivaient devant le parc quand monsieur Blanchard les interpella.
- Eh ! Les enfants, ne passez pas par le parc, c’est trop dangereux.
- Mais par où allons nous passer monsieur ? Demanda alors la petite Evana à ce gros monsieur moustachu, mais toujours très sympathique.
- Faites le tour, votre collège comprendra ! Sur ces paroles, monsieur Blanchard partie avec sa camionnette vers sa poissonnerie.
Evano ne l’écouta pourtant pas. Il saisit la main d’Evana pour la diriger vers le parc. Plus les enfants avançaient, plus le brouillard se faisait dense et pourtant, malgré ce paysage qui aurait repoussé mille et une personne, les jumeaux avançaient sans crainte.
Soudain Evana s’arrête. Sans rien dire elle pointe de son doigt le corps de Guéric Blanchard. Les jumeaux regardaient longuement, sans émotion apparente. Si une personne les aurait vue à ce moment il aurait crue à un sentiment de choc. Mais cela était tout autre. Evano repris la main de sa sœur qui l’avait lâchée et ils continuèrent leur chemin sans jamais se retourner. On ne vous décrira pas le corps, nous vous dirons juste qu’il n’a pas été tué simplement égorgé, il n’était pas désarticulé, comme si c’était l’œuvre macabre d’un enfant innocent.
Evano et Evana étaient à présent devant l’école, voici cinq minutes qu’ils avaient vue Guéric et qu’ils n’avaient rien dit à personne. Ils ne diront rien de la journée. Seulement, quand on annonce la disparition de Guéric et le désespoir de ces parents, les jumeaux décidèrent de se manifester.
Dans la classe il manquait cinq élèves car tous les disparus étaient de cette classe. Evano leva la main. Quand on la interrogea c’est sa sœur qui répondit.
- On la vue, dans le parc ce matin. Il gisait sur le sol, les yeux ouverts il semblait nous regarder Evano et moi, il n’était pas endormi. Il y avait des traces de sang, Mais très peu, venant de son dos. On l'a transpercé au couteau ! décrit Evana une grimace de dégoût collé à son visage.
- Oh… Mon dieu ! Pauvre enfant… Merci Evana… Répond le professeur perturbé par la description de la jeune enfant n’ayant pas hésité à donner les détails.
La sonnerie retentissait quand les élèves de la classe de 6e3 couraient rejoindre leur parents, tous informés de la catastrophe. Seul Evano, Evana, Eline, Manon et Margot restaient pour le midi. Chaques parents avaient peur, pris d’un sentiment d’effroi à l’idée d’abandonner leur enfant plus de quatre heures. Surtout après ce jour
Les jumeaux mangeaient ensembles avec Eline. Margot et Manon amies depuis toujours, mangeaient à deux . Heureusement les autres classe un peux plus nombreuses venaient compléter le tableau.
- J’aime pas la purée… Quelqu’un en veux ? Demande Eline.
- Donne ! Répond Evano qui pourtant n’aime pas la purée. En juger par le regard de sa sœur, elle savait qu’il ne la mangerait pas.
Effectivement Evano pris sa fourchette, installa la purée dessus et retournant en enfance il projeta le contenue sur Eline.
- Touché ! Dire les jumeaux en cœur.
- Vous êtes bizarre ! Des vrais gamins ! S’exclame Eline.
Le frère et la sœur se regardaient avant de dire d’un ton bas.
- Coulée…
L’après-midi se passa morose mais sans encombre. Le soir, Evana et Evano sortaient en courant comme à leur habitude.
A la sortie, ils appelaient toujours leur père pour le prévenir de ne pas venir les chercher. Ils préféraient mieux rentrer à pied. Les deux enfants suivirent une voiture tout le long du chemin qui n’était d’ailleurs pas le même que celui du matin. La mine surprise, le frère et la sœur virent Eline sortir de la voiture au bout d’un certain temps.
- Eline ! Tu vas où ? Demande Evano
- Au solfège… Vous devriez rentrer. À plus tard ! Répond Eline montant les marchent d’un grand bâtiments .
- Attends ! Evano et moi avons fait une cabane, tu veux la voir ? Demande Evana enjoué.
Eline soupirait me suivit ses deux camarades de classe un peux gamin d’après elle. La jeu fini le frère et la sœur partaient retourner chez eux.
- Oh ! Vous allez bien ? Demande madame Frougart à leur entrée. La prochaine fois on vient vous chercher, on vient d’apprendre la disparition de votre amie, Eline ! Tremble leur mère de peur.
Les deux enfanrs étaient partie se coucher depuis maintenant deux heures quand Evana ouvrit grand les yeux. Elle tirait sur la corde relié au lit de son frère et celui-ci ouvrit ses grands yeux dans la pénombre. Silencieusement ils passèrent sous leur lit, attrapaient un sac chacun. Comme si ils l’avaient répété des centaines de fois, les jumeau sortaient dans une organisation parfaite et toujours sans bruit pas la fenêtre. Un léger bruit de leur pas sur le bitume prévenait la mère qui rentrait dans le chambre. Elle ne découvrit alors rien, plus d’enfants. Elle courue à la fenêtre espérant voir le malfaisant mais le rue était vide et calme. A présent il ne restait plus que la mère, rejoins du père, penchaient à la fenêtre par la lueur de la lune. Tout c’était passé vite et une seul chose résonnait dans le tête des parents ; leurs enfants avaient disparu.
De leur côté Evana et Evano couraient à travers la forêt. Ce n’était pas la premier fois qu’ils venaient. Les jumeaux connaissaient parfaitement le chemin. Mais c’était la première fois pour eux qu’ils y venaient la nuit. Plus personne ne voulait les laisser jouer dehors et ils avaient dû s’adapter. Le frère et la sœur se trouvaient maintenant dans une clairière. Le bruit du vent faisait chanter les arbres ressemblant à d’énormes formes fantomatique mais apparemment pas assez pour effrayer nos deux courageux. A la lueur de la lampe torche d’Evana, ils s’ introduisent dans le creux d’un arbre. Contrairement à sont qu’on aurait pensé, ils passaient parfaitement à deux, de plus, comme par magie un trou se craqua sous eux et Evana et Evano disparurent dans un craquement sourd.
Plus loin dans la ténébreuse forêt, les policiers étaient à leur recherche. Batiste Robloque, le père de Lola les avait entendu. Il se précipita dans une direction qui était malheureusement la bonne pour lui. Robloque arriva devant l’arbre où les enfants avaient pénétré il y a quelque instant. Mais le chercheur ne trouve rien, pourtant il est sûr d’avoir entendue quelque chose. Ces jumeaux quoique bizarre ne méritent pas de disparaître comme sa fille. Certains des disparus avaient été retrouvés, morts. Pour d’autre comme Lola, on ne les a jamais retrouvés. Et cette arbre serait peut-être la clef de tous ces étranges événements, espère Monsieur Robloque. Il observe autours de lui, fouille tout ce qui pourrait être anormale dans cette flore. C’est alors qu’en s’approchant d’un rocher à la mine douteuse le père de Lola mis son pied dans un piège. Il fut propulsé en hauteur la tête en bas, accroché à un arbre par une corde le tenant à la cheville. C’est cheveux brun assez long pendent de son visage, malgré sa carrure athlétique, Robloque ne sue se défaire du piège et bien vite le sang lui monta à la tête.
S’ajoute à la disparition des jumeaux, celle de Batiste Robloque qui s’était évanoui. Au matin les jumeaux remontent du troue dans lequel ils étaient tombés pour découvrir Robloque coincé la tête à l’envers. Les deux enfants qui avaient installé ce piège eux même, délivrent la pauvre homme avant de le tirer derrière le rocher, que celui-ci voulait inspecter quelques heures auparavant.
- Que faites vous ? Demande le père de Lola se réveillant.
- Chute monsieur ! Ils vont vous entendre, dit Evano en chuchotant
- Qui ça, ils ? Panique Robloque.
- Les petits monstres qui nous aident à tuer les autre enfants méchants. On les appel les Gogos, explique Evana.
- Mais qu’est-ce que vous me racontez là ?
- Mais ils sont méchant, Evano et moi on les aime plus ! Continue Evana d’expliquer en ignorant légèrement l’adulte.
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