Chapitre 5.
Pourquoi avait-il fait ça ? Que c'était-il passé ? Était-ce un défi ? Une mauvaise blague ? J'avais tant a comprendre la raison de cette action, qui m'avais traumatisé, que j'en avais oublier de réfléchir a la solution la plus simple, la plus logique, la plus basique. Il s'était jouer de moi...Oui...Aujourd'hui je l'avais saisit...En cet instant j'avais clairement compris que tout ça n'avait été que des mensonges. Que je n'avais été qu'une source d'amusement pour lui. Wyatt était loin d'être un homme stupide, il a vite remarquer ce que je ressentais. Que moi, le petit nouveau, j'étais gay, et j'étais tomber amoureux de lui. Il en avait donc profiter. Il m'avait tourmenter. Il m'avait hanter. Il m'avait rendu fou. Jusqu'à finalement me brisé. Wyatt savait ce qu'il avait fait. Et il en était fière. Il savait m'avoir détruit, et désormais il n'hésitait pas à le crier sur tout les toits. Voilà un mois désormais qui c'est écouler. Un mois qui a été un enfer pour moi. Un mois que j'ai ressombrer dans les ténèbres. Un mois que je subis critique sur critique. Un mois que j'essuis tant de moquerie. Un mois que....Je me meurs. A petit feu. Sous son regard de jais, son regard moqueur et fière, qui m'observe m'enfoncer chaque jour un peu plus, sans pour autant essayer de me tendre la main. Encore une fois...Le même scénario se répète. J'aime...Je joue...Je suis jouer...Et je me brise. Encore une fois...Mon cœur a finit en miette. Et encore une fois, je redevient une ombre...Un ombre qui doit ce cacher du monde extérieur, de la société, a cause de ma différence. Mon homosexualité a toujours été un problème. Cette différence a toujours fais de moi quelqu'un de différent. De rejeter. De détester. Et ce depuis mon enfance. Je me souviens encore du jour où j'ai révéler a mes parents aimé les hommes...Ils ne l'avaient pas supporter, et m'avait chasser de chez moi. Ils ne voyaient comme leur fils. J'étais un étranger a leur yeux. Moi-même je ne savais qui j'étais a cet époque. Ni même ce que j'étais...
Depuis que je suis enfant...Je n'ai jamais rien été, si ce n'est une poussière dans ce monde qu'on balaie d'un revers de main. Comme tant d'autre avant moi, je suis le vilain petit canard qui souille le nom de sa famille. Je suis l'affreux petit garçon, que personne ne veux révéler aux autres, par honte de ce qu'il ait. Toutes ma vie, j'ai été renier, rejeter, chasser, maltraiter, insulter, battue, et tout ça pourquoi ? Parce que j'aimais les hommes...L'amour était donc un crime dans ce monde ? Il fallait croire que lorsque l'on naissait dans le mauvais corps, c'était le cas...Et en ce jour...Cet énième rejet, que j'avais essuyer, avait été la goûte d'eau...Qui m'avait fait vriller.
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Le froid de la forêt mordait ma peau. Je sentais mes pieds se geler un peu plus a chaque pas, et leur peau se couper sous la pierre, et le froid, dans lequel je progressait depuis de longue minutes maintenant. Je n'avais de cesse de trembler, mais ça n'avait plus aucune importance maintenant, car j'atteignais mon but...Ma délivrance...La chose qui me permettrais enfin de goûter au repos éternel. Prenant une inspiration qui me glaça le corps, je levais mon regard sur la lune. Cette lune qui m'avait vue naitre. Cette lune qui m'avait vue souffrir. Cette lune...Cette railleuse...Qui ne m'avais jamais apporter rien d'autre que le malheur. Baissant a nouveau mon regard, je repris mon chemin, jusqu'à ce que mon pied touche enfin la couche de glace qui recouvrait le lac. A cet instant...Je su que j'y étais. La fin m'attendais. Je pouvais la voir. La mort, froide et neutre, qui attendais patiemment mon arrivé a bras ouvert. Je fis alors un second pas, la glace craqua sous mon poids, mais ça fut complètement égale. Je continua alors d'avancer, marchant lentement, lourdement, sur cette fine plaque qui me séparais encore de ma bien aimée délivrance. Chaque nouveau pas émettait un craquement, et ce craquement me réchauffais le cœur, qui me poussais a avancer encore, malgrés mes maigres forces que cette nuit d'hiver glacial me drainait. Et finalement...Je vis un dernier pas, et sous mon pied, et mon corps, la glace se brisa, me faisant tomber a l'eau. Je ne tenta aucunement de me débattre. Mon coeur étaient trop douloureux, et l'eau glacer, qui me donnait la sensation d'être transpercer par milles aiguilles, m'englobant m'en empêchait. Je sombrais lentement dans les abysses, alors que mon existence ne devenait plus qu'un souvenir. Je pouvais sentir mes poumons ce gorger d'eau. Je me noyais. Ça y est. Je mourrais. J'abandonnai cette vie de malheur. Et alors que j'entendais les derniers battements de mon pauvre cœur brisé résonner dans mes oreilles, j'eus une pensée, envers ce monde et cette existence pourris, et je vins a espérer que je sois le dernier. Le dernier homosexuel du monde a finir ainsi. C'étais bien évidement un souhait irréaliste, la société été bien trop stupide pour que tout ces préjugés, ce racisme, et cette discrimination cesse, mais j'avais eut envie d'y croire avant de rendre mon dernier souffle, alors que mon corps disparaissait au fond de l'eau, et qu'un doux sourire restait a jamais figer sur mon visage.
Depuis que je suis enfant...Je n'ai jamais rien été, si ce n'est une poussière dans ce monde qu'on balaie d'un revers de main. Comme tant d'autre avant moi, je suis le vilain petit canard qui souille le nom de sa famille. Je suis l'affreux petit garçon, que personne ne veux révéler aux autres, par honte de ce qu'il ait. Toutes ma vie, j'ai été renier, rejeter, chasser, maltraiter, insulter, battue, et tout ça pourquoi ? Parce que j'aimais les hommes...L'amour était donc un crime dans ce monde ? Il fallait croire que lorsque l'on naissait dans le mauvais corps, c'était le cas...Et en ce jour...Cet énième rejet, que j'avais essuyer, avait été la goûte d'eau...Qui m'avait fait vriller.
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Le froid de la forêt mordait ma peau. Je sentais mes pieds se geler un peu plus a chaque pas, et leur peau se couper sous la pierre, et le froid, dans lequel je progressait depuis de longue minutes maintenant. Je n'avais de cesse de trembler, mais ça n'avait plus aucune importance maintenant, car j'atteignais mon but...Ma délivrance...La chose qui me permettrais enfin de goûter au repos éternel. Prenant une inspiration qui me glaça le corps, je levais mon regard sur la lune. Cette lune qui m'avait vue naitre. Cette lune qui m'avait vue souffrir. Cette lune...Cette railleuse...Qui ne m'avais jamais apporter rien d'autre que le malheur. Baissant a nouveau mon regard, je repris mon chemin, jusqu'à ce que mon pied touche enfin la couche de glace qui recouvrait le lac. A cet instant...Je su que j'y étais. La fin m'attendais. Je pouvais la voir. La mort, froide et neutre, qui attendais patiemment mon arrivé a bras ouvert. Je fis alors un second pas, la glace craqua sous mon poids, mais ça fut complètement égale. Je continua alors d'avancer, marchant lentement, lourdement, sur cette fine plaque qui me séparais encore de ma bien aimée délivrance. Chaque nouveau pas émettait un craquement, et ce craquement me réchauffais le cœur, qui me poussais a avancer encore, malgrés mes maigres forces que cette nuit d'hiver glacial me drainait. Et finalement...Je vis un dernier pas, et sous mon pied, et mon corps, la glace se brisa, me faisant tomber a l'eau. Je ne tenta aucunement de me débattre. Mon coeur étaient trop douloureux, et l'eau glacer, qui me donnait la sensation d'être transpercer par milles aiguilles, m'englobant m'en empêchait. Je sombrais lentement dans les abysses, alors que mon existence ne devenait plus qu'un souvenir. Je pouvais sentir mes poumons ce gorger d'eau. Je me noyais. Ça y est. Je mourrais. J'abandonnai cette vie de malheur. Et alors que j'entendais les derniers battements de mon pauvre cœur brisé résonner dans mes oreilles, j'eus une pensée, envers ce monde et cette existence pourris, et je vins a espérer que je sois le dernier. Le dernier homosexuel du monde a finir ainsi. C'étais bien évidement un souhait irréaliste, la société été bien trop stupide pour que tout ces préjugés, ce racisme, et cette discrimination cesse, mais j'avais eut envie d'y croire avant de rendre mon dernier souffle, alors que mon corps disparaissait au fond de l'eau, et qu'un doux sourire restait a jamais figer sur mon visage.
- Fin.
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