Ma Vie : mon labyrinthe.
Allongée sous les nuages
A la comtempler, la lune,
Et les étoiles, ses astres :
Des insectes j'écoute l'orchestre.
Je laisse mon infortune,
Abandonne mon courage.
Alors je noie mes pensées
Dans ce tourbillon de points
Qui éclair(ent) l'immensité.
Je suis bien là, étendue, couchée.
Je regarde haut, si loin ;
J'me perds dans l'infinité.
Puis de son nez, l'aube pointe,
Avec ell', revienn(ent) mes craintes.
Dès lors, ma joie s'est éteinte.
Apparaît sa lumière si sainte :
Elle efface mes atteintes,
Rétablit mon Labyrinthe.
La_Plume_De_Rubis.
2020-11-01 14:57:59
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