Le temps d'une photo
Maëlys posa son téléphone, le cœur battant, la respiration haletante, les joues rouges et les yeux à moitié clos.
"C'est bon... Je l'ai fait... J'ai réussi..." Pensait-elle
Après plusieurs mois de torture et de sentiments forcés, elle avait enfin trouvé la force de le larguer et de fuir de sa présence toxique.
Au début, il y a quatre ou cinq mois, il était quelqu'un de normal : gentil, doux et attentionné.
Puis il était devenu, après quelques temps, ce genre d'homme colérique et jaloux, qui fait des histoires futiles, le genre d'homme qui fait fuir les femmes.
Il s'achetait une conscience en lui payant des restaurants et des bijoux.
Normal ses parents sont "pété de thunes" comme il aimait le dire.
Pierre était quelqu'un de toxique qui collectionnait les femmes, jouait avec elle, puis les quittait et les détruisait.
Mais en plus de tout ça, il est persuadé que tout ce qu'il fait, c'est ça l'amour, c'est ça une relation stable et normale.
Une nouvelle preuve qu'il n'est qu'un danger, un psychopathe, un fou furieux, un pervers narcissique...
Mais ça notre héroïne ne l'a comprit que bien trop tard...
Car... en effet, un jour qui lui paraissait être à des années lumières d'aujourd'hui, il avait voulu franchir le premier pas. Évidemment Maëlys avait refusé, mais il savait obtenir ce qu'il veut par des moyens détournés en manipulant ceux qui l'aiment.
Évidemment il ne l'a pas violé, mais en ignorant son refus il a souillé sa dignité d'être humain.
Même si elle ne l'a pas fait directement, Maëlys lui a envoyé des photos dénudées.
Pour son plaisir malsain.
Elle les avait mit par message privé sur Snapchat et lui avait demandé de ne pas les enregistrer.
Quelques secondes plus tard elle vit le petit "Pierre a fait une capture d'écran de votre conversation".
Elle n'avait rien dit, par peur de l'énerver.
Mais voilà, cette relation la pesait vraiment et la faisait souffrir.
Alors elle l'avait fait.
Trois mots sur un clavier allaient maintenant décider de son avenir.
La respiration maintenant plus assurée, elle reprit son téléphone pour aller trainer sur les réseaux sociaux, débarrassée d'un poids qui commençait à la faire couler dans les abymes de son propre mental.
Mais d'un coup Maëlys fronça les sourcils.
Clairement, quelque chose n'allait pas.
- 52 messages sur Snapchat ? Wow qu'est ce qu'il se passe... Fit-elle en murmurant tout de même, intriguée, et une part d'elle inquiète.
Elle cliqua sur le logo jaune et blanc et puis...
Maëlys se figea après plusieurs secondes.
Elle se figea d'un telle façon qu'on aurait presque pu dire qu'elle était morte.
Son corps suintait à cause de sa sueur et ses yeux écarquillés détaillaient l'écran.
La jeune brune laissa une ou deux larmes couler avant de s'effondrer au sol, le corps et le cœur secoués de sanglots et de haine.
"Il l'a fait... Il l'a fait..."
Son téléphone, pose à côté d'elle, avait encore son écran allumé.
Sur l'écran s'affichait la story Snapchat de Pierre.
Sur cette même story on y voyait des photos.
Des photos reconnaissables entre mille.
C'étaient ces mêmes photos qu'il lui avait arraché après plusieurs insultes et coups.
Ces photos qui allaient, avec facilité, détruire la vie qu'elle peinait à reconstruire.
"C'est bon... Je l'ai fait... J'ai réussi..." Pensait-elle
Après plusieurs mois de torture et de sentiments forcés, elle avait enfin trouvé la force de le larguer et de fuir de sa présence toxique.
Au début, il y a quatre ou cinq mois, il était quelqu'un de normal : gentil, doux et attentionné.
Puis il était devenu, après quelques temps, ce genre d'homme colérique et jaloux, qui fait des histoires futiles, le genre d'homme qui fait fuir les femmes.
Il s'achetait une conscience en lui payant des restaurants et des bijoux.
Normal ses parents sont "pété de thunes" comme il aimait le dire.
Pierre était quelqu'un de toxique qui collectionnait les femmes, jouait avec elle, puis les quittait et les détruisait.
Mais en plus de tout ça, il est persuadé que tout ce qu'il fait, c'est ça l'amour, c'est ça une relation stable et normale.
Une nouvelle preuve qu'il n'est qu'un danger, un psychopathe, un fou furieux, un pervers narcissique...
Mais ça notre héroïne ne l'a comprit que bien trop tard...
Car... en effet, un jour qui lui paraissait être à des années lumières d'aujourd'hui, il avait voulu franchir le premier pas. Évidemment Maëlys avait refusé, mais il savait obtenir ce qu'il veut par des moyens détournés en manipulant ceux qui l'aiment.
Évidemment il ne l'a pas violé, mais en ignorant son refus il a souillé sa dignité d'être humain.
Même si elle ne l'a pas fait directement, Maëlys lui a envoyé des photos dénudées.
Pour son plaisir malsain.
Elle les avait mit par message privé sur Snapchat et lui avait demandé de ne pas les enregistrer.
Quelques secondes plus tard elle vit le petit "Pierre a fait une capture d'écran de votre conversation".
Elle n'avait rien dit, par peur de l'énerver.
Mais voilà, cette relation la pesait vraiment et la faisait souffrir.
Alors elle l'avait fait.
Trois mots sur un clavier allaient maintenant décider de son avenir.
La respiration maintenant plus assurée, elle reprit son téléphone pour aller trainer sur les réseaux sociaux, débarrassée d'un poids qui commençait à la faire couler dans les abymes de son propre mental.
Mais d'un coup Maëlys fronça les sourcils.
Clairement, quelque chose n'allait pas.
- 52 messages sur Snapchat ? Wow qu'est ce qu'il se passe... Fit-elle en murmurant tout de même, intriguée, et une part d'elle inquiète.
Elle cliqua sur le logo jaune et blanc et puis...
Maëlys se figea après plusieurs secondes.
Elle se figea d'un telle façon qu'on aurait presque pu dire qu'elle était morte.
Son corps suintait à cause de sa sueur et ses yeux écarquillés détaillaient l'écran.
La jeune brune laissa une ou deux larmes couler avant de s'effondrer au sol, le corps et le cœur secoués de sanglots et de haine.
"Il l'a fait... Il l'a fait..."
Son téléphone, pose à côté d'elle, avait encore son écran allumé.
Sur l'écran s'affichait la story Snapchat de Pierre.
Sur cette même story on y voyait des photos.
Des photos reconnaissables entre mille.
C'étaient ces mêmes photos qu'il lui avait arraché après plusieurs insultes et coups.
Ces photos qui allaient, avec facilité, détruire la vie qu'elle peinait à reconstruire.
Коментарі
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(5)
Le temps d'une photo
Oh non... C'est horrible ;-;❤️
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2020-10-20 07:47:16
1
Le temps d'une photo
Non non, attends je vais enlever 😁😁
Відповісти
2020-10-26 19:46:34
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