E.
Camile avait retrouvé son appartement, il ne savait même pas comment. Et maintenant il se trouvait devant la porte. Il attendait je ne sais quoi. En faite il se posait des questions, elles tournaient dans sa tête, elles s'affolaient : elles l'affolaient. Son teint était pâle, il n'avait pas dormi ni mangé. Soudain il tomba sur le sol, sa tête se cogna contre la porte et il tourna de l'oeil.
Il se réveilla dans son canapé. Il eu envie de vomir. Combien de fois, il avait était forcé de le faire là ?
Et puis leurs regards se croisèrent. Le sien était dur, méchant. Dans l'imaginaire de Camile, les yeux bleus devinrent verts. Alors il lança :
- On doit parl..
- Tais toi. Tu me saoules.
Et puis la sans prévenirent, comme si il se prenait un boomerang dans la gueule, tout revient à Camile.
Leur amour de jeunesse, celui qui était beau, leur emménagement, le premier cri, la première apparition de Lucifer, le premier coup, la domination, le viol, parce que c'est ce que c'était. Toutes les insultes, touts les complexes qu'il lui avait créé.
D'un bon il était debout. D'une voix calme et claire il parla :
- Je m'en vais et tu n'a pas ton mot à dire.
- Qu...
- Non, cette fois c'est toi qui te tais. J'ai tout fais pour toi, toujours. Je t'ai aimé sincèrement Gabriel. A jamais tu restera mon premier amour, mais c'est fini. Pas de cris s'il te plaît. Et pas de " moi aussi j'ai tout fait pour toi " on sait tout les deux que c'est faux. J'ai tant de marque sur le corps qui le prouvent. J'ai besoin d'un nouveau départ, de me trouver, de ne plus faire en fonction de toi.
Il ne prit aucune affaires en se dirigeant vers la porte, de toutes façon rien n'était à lui. Devant la porte, il hésita quelque seconde puis se retourna vers son ancien amant :
- Une dernière chose. Il serait tant que tu oublie Lucifer et que tu laisse rayonner Gabriel.
Et il sorti. Il marcha calmement sur les premières marches, puis il se mit à courir. Les larmes dévoraient ses yeux. Il courut, pleurant comme un fou. Au milieu d'une rue il s'arrêta et un cri presque animal s'échappa de sa gorge.
Il tomba au sol, observant les pieds des passants. Cette scène lui rappelant quelque chose. Mais cette fois ci quand au loin, il vit des yeux verts et des cheveux blonds, il sourit.
" Une histoire commence à la fin d'une autre. La nôtre commence aujourd'hui sous la pluie, sans plus de cérémonie "
Il se réveilla dans son canapé. Il eu envie de vomir. Combien de fois, il avait était forcé de le faire là ?
Et puis leurs regards se croisèrent. Le sien était dur, méchant. Dans l'imaginaire de Camile, les yeux bleus devinrent verts. Alors il lança :
- On doit parl..
- Tais toi. Tu me saoules.
Et puis la sans prévenirent, comme si il se prenait un boomerang dans la gueule, tout revient à Camile.
Leur amour de jeunesse, celui qui était beau, leur emménagement, le premier cri, la première apparition de Lucifer, le premier coup, la domination, le viol, parce que c'est ce que c'était. Toutes les insultes, touts les complexes qu'il lui avait créé.
D'un bon il était debout. D'une voix calme et claire il parla :
- Je m'en vais et tu n'a pas ton mot à dire.
- Qu...
- Non, cette fois c'est toi qui te tais. J'ai tout fais pour toi, toujours. Je t'ai aimé sincèrement Gabriel. A jamais tu restera mon premier amour, mais c'est fini. Pas de cris s'il te plaît. Et pas de " moi aussi j'ai tout fait pour toi " on sait tout les deux que c'est faux. J'ai tant de marque sur le corps qui le prouvent. J'ai besoin d'un nouveau départ, de me trouver, de ne plus faire en fonction de toi.
Il ne prit aucune affaires en se dirigeant vers la porte, de toutes façon rien n'était à lui. Devant la porte, il hésita quelque seconde puis se retourna vers son ancien amant :
- Une dernière chose. Il serait tant que tu oublie Lucifer et que tu laisse rayonner Gabriel.
Et il sorti. Il marcha calmement sur les premières marches, puis il se mit à courir. Les larmes dévoraient ses yeux. Il courut, pleurant comme un fou. Au milieu d'une rue il s'arrêta et un cri presque animal s'échappa de sa gorge.
Il tomba au sol, observant les pieds des passants. Cette scène lui rappelant quelque chose. Mais cette fois ci quand au loin, il vit des yeux verts et des cheveux blonds, il sourit.
" Une histoire commence à la fin d'une autre. La nôtre commence aujourd'hui sous la pluie, sans plus de cérémonie "
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