L.
Nath souriait. Encore. Son sourire était ravageur, il détruisait les barrières que Camile avait construit autour de son cœur sans même s'en rendre compte, pour se protéger de Lucifer. Mais là devant ces yeux verts Camile ne pouvait que le laissait le sonder.
- D'accord.
Il avait sursauter ne s'attendant pas à ce que Nath parle et accepte. Apres tout Camile n'était pas digne d'attention, non ?
- Hé Camile, le blond cherchait son regard, j'accepte il doit me rester de la peinture et une toile quelque part. J'arrive, bouge pas.
Et Nath était parti dans une autre pièce, abandonnant Camile dans la cuisine. Celui-ci ne savait pas quoi faire ici. Il restait planté sur le sol, et puis un petit balcon l'attira.
En quelque seconde il était perché dessus, observant le vide, les voitures que filaient. Soudain une présence chaude et des bras qui l'entourent. Ca lui rappelait de mauvais souvenirs. Mais quand le souffle menthe le caressa et la voix d'été résonna, il fut rassuré.
- Camile.
- Quoi ?
- Je sais pourquoi tu es sur ce balcon.
Même lui n'était pas sur de savoir, alors comment Nath pouvait assurer le savoir ?
- J'avais ce même regard d'espérer avant, cette même fascination pour le vide, cette même envie de me taire. Je connait ça. Je ne connait pas les raisons qui te poussent à être comme ça. En fait je ne te connait même pas. Mais tu sais on n'oublie jamais vraiment, le vide paraît toujours aussi beau mais moins tentant. Le monde te donne encore parfois l'envie de te murer dans le silence. Mais toi, je peux t'assurer que tu ne mérite pas de vivre ça. Ça ressemble vachement au paroles cliché qu'on m'avait sorti, Nath s'arrêta quelques secondes de parler et Camile senti une larme glisser dans son cou puis le blond reprit difficilement, mais toi je le voit dans tes yeux. On t'a blessé autant physiquement que moralement et pourtant tu es là. Aussi vrai qu'on peu l'être. Tu ne mérite pas ce que tu a vécu ou vis encore.
Camile se retourna doucement. Le tissu de leur vêtement se froissant fût le seul bruit pendant de long secondes. Puis Camile attrapa le visage de Nath et lui murmura :
- Parce que toi tu l'a mérité ?
Leurs yeux remplis de larmes se croisèrent et leurs lèvres se rencontrèrent. Elles avaient le goûts du sel, le goûts de la délivrance mais aussi des oubliés. Sans qu'aucun des deux ne contrôlent rien, ils finirent par se retrouver sur le canapé. Sans leurs vêtements.
Leurs deux corps a la recherche d'un amour qu'ils n'avaient jamais vraiment connu. Leurs cœurs à la recherche d'un sursaut de vie. Et leurs sourires qui se rejoignaient avant qu'ils ne s'observent. Dans un dernier souffle leurs âmes s'étaient entrechoque.
Nath s'était endormi, un bras sur le corps de Camile, une fine couverture sur les jambes. Dans le noir de la nuit, le brun c'était levé, avait attrapé les pinceaux, les peintures et la toile. Il avait peint cette ange. Enfin non. L'ange c'était Gabriel. Nath était trop loin de Gabriel. Nath était une étoile.
Au petit matin, Camile avait quitté l'appartement laissant sa peinture.
Quand Nath se leva il trouva un mot.
" Je reviendrai, je te le promet, je suis encore accroché par des chaînes, tant qu'elles seront là, le vide me paraîtra plus beau que tes bras. Je reviendrais, je te le promet. Camile "
" Noir sur blanc. Blond sur brun. Cœur sur table. Verts dans bleus. On c'était promis, non à l'oublie "
- D'accord.
Il avait sursauter ne s'attendant pas à ce que Nath parle et accepte. Apres tout Camile n'était pas digne d'attention, non ?
- Hé Camile, le blond cherchait son regard, j'accepte il doit me rester de la peinture et une toile quelque part. J'arrive, bouge pas.
Et Nath était parti dans une autre pièce, abandonnant Camile dans la cuisine. Celui-ci ne savait pas quoi faire ici. Il restait planté sur le sol, et puis un petit balcon l'attira.
En quelque seconde il était perché dessus, observant le vide, les voitures que filaient. Soudain une présence chaude et des bras qui l'entourent. Ca lui rappelait de mauvais souvenirs. Mais quand le souffle menthe le caressa et la voix d'été résonna, il fut rassuré.
- Camile.
- Quoi ?
- Je sais pourquoi tu es sur ce balcon.
Même lui n'était pas sur de savoir, alors comment Nath pouvait assurer le savoir ?
- J'avais ce même regard d'espérer avant, cette même fascination pour le vide, cette même envie de me taire. Je connait ça. Je ne connait pas les raisons qui te poussent à être comme ça. En fait je ne te connait même pas. Mais tu sais on n'oublie jamais vraiment, le vide paraît toujours aussi beau mais moins tentant. Le monde te donne encore parfois l'envie de te murer dans le silence. Mais toi, je peux t'assurer que tu ne mérite pas de vivre ça. Ça ressemble vachement au paroles cliché qu'on m'avait sorti, Nath s'arrêta quelques secondes de parler et Camile senti une larme glisser dans son cou puis le blond reprit difficilement, mais toi je le voit dans tes yeux. On t'a blessé autant physiquement que moralement et pourtant tu es là. Aussi vrai qu'on peu l'être. Tu ne mérite pas ce que tu a vécu ou vis encore.
Camile se retourna doucement. Le tissu de leur vêtement se froissant fût le seul bruit pendant de long secondes. Puis Camile attrapa le visage de Nath et lui murmura :
- Parce que toi tu l'a mérité ?
Leurs yeux remplis de larmes se croisèrent et leurs lèvres se rencontrèrent. Elles avaient le goûts du sel, le goûts de la délivrance mais aussi des oubliés. Sans qu'aucun des deux ne contrôlent rien, ils finirent par se retrouver sur le canapé. Sans leurs vêtements.
Leurs deux corps a la recherche d'un amour qu'ils n'avaient jamais vraiment connu. Leurs cœurs à la recherche d'un sursaut de vie. Et leurs sourires qui se rejoignaient avant qu'ils ne s'observent. Dans un dernier souffle leurs âmes s'étaient entrechoque.
Nath s'était endormi, un bras sur le corps de Camile, une fine couverture sur les jambes. Dans le noir de la nuit, le brun c'était levé, avait attrapé les pinceaux, les peintures et la toile. Il avait peint cette ange. Enfin non. L'ange c'était Gabriel. Nath était trop loin de Gabriel. Nath était une étoile.
Au petit matin, Camile avait quitté l'appartement laissant sa peinture.
Quand Nath se leva il trouva un mot.
" Je reviendrai, je te le promet, je suis encore accroché par des chaînes, tant qu'elles seront là, le vide me paraîtra plus beau que tes bras. Je reviendrais, je te le promet. Camile "
" Noir sur blanc. Blond sur brun. Cœur sur table. Verts dans bleus. On c'était promis, non à l'oublie "
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