Chapitre 2
23 Novembre 2015,
- Chérie, laisse lui un peu d'air, elle est consciente. Petite, est-ce que ça va?, fit l'homme.
- Brandon! Ça m'apprendra à te laisser conduire! Tu ne peux pas faire attention? Mon Dieu, je vais faire une crise de panique! Chéri, il faut l'emmener à la clinique, continua la femme affolée.
- Victoria, Calme-toi. On gère la situation. Elle est toujours inconsciente, elle ne se souviendra de rien, fit l'homme.
Ma vision n'était pas claire. Il me semblait que ces gens étaient d'âges moyens. La quarantaine je dirais. Je reprenais mes esprits et je me rendis compte qu'une voiture m'avait heurté. Je n'avais rien vu venir. Soudain, je perdis connaissance encore une fois.
*
Je n'aimais pas cette odeur. Ça sentait les médicaments et les produits désinfectants. J'ouvris les yeux. J'avais une de ses migraines. Ma jambe me faisait mal, je ne pouvais pas la bouger. C'est là que je réalisais qu'on m'avait posé un plâtre.
J'étais allongée sur un lit qui était confortable. Beaucoup plus que le mien d'ailleurs. J'étais dans une chambre, mais ce n'était pas la mienne. Il y avait une télé immense. La chambre comprenait une salle de bain personnelle. Je n'étais sûrement pas dans un hôpital crasseux.
Une jeune femme pénétra dans la chambre. Elle portait un uniforme blanc. On aurait dit une infirmière, ce qui raviva mes souvenirs.
- Bonjour Mademoiselle, je suis Sandra, votre infirmière. Je vois que vous allez mieux. Vous vous rapelez ce qui vous est arrivé?
- Où suis-je?, balbutiais-je, en ignorant ça question.
- Vous êtes à la clinique. Monsieur et Madame Collins, personnellement, vous y ont conduit. C'est vraiment tragique ce qui c'est produit. Les jeunes de nos jours! Je vous jure. Comment peut-t-on se sauver en laissant quelqu'un se vider de son sang? Heureusement que ces deux là ont vu l'accident et vous ont sauvée! Vous êtes bénie des Dieux ma jolie! Bon je vous laisse, j'ai encore du travail, c'est la vie.
C'était une vraie pie celle la. Je me demandais si ma mère était au courant de mon accident. En attendant, je regardais des dessins animés à la télé, quand j'entendis quelqu'un toquer à la porte.
- Oui, qui est là?, fis-je.
- Bonjour petite, ça va mieux? Tu as besoin de quelque chose? Tu peux me demander ce que veux, dit un homme vêtu d'une blouse blanche.
Il était très grand, et très beau je dois l'avouer. Ses yeux bleus clairs perçant et ses cheveux poivre et sel, signe qu'il n'avait plus vingt ans, lui donnait un air mature et sexy.
- Qui êtes vous?
- David Collins en personne, je suis médecin. C'est moi qui t'ai conduite ici.
- Ah je vois. Merci beaucoup mais il faut que je m'en aille. J'ai des choses à faire. Et je pense que ma mère ne sait pas que je suis ici. On a pas les moyens de se payer une assurance et encore moins les soins d'une clinique, répondis-je en essayant de me relever.
- Non petite, ne bouge pas, tu es encore sous observation. Ton état est stable mais il faut attendre un délai de 48hr avant que l'on puisse te laisser partir. C'est juste au cas où il y aurait des complications. Au sujet du paiement, ne t'inquiète pas, la clinique prendra en charge tout les frais de ton traitement. Nous n'avons pas trouver tes papiers d'identité sur toi, nous ne pouvons donc pas contacter ta mère. Nous ne connaissons même pas ton nom.
- Je ne comprends pas. En cas d'accident, un patient est normalement transféré à l'hôpital, pas dans une clinique de luxe. Ah! Je sais à quoi vous jouez! C'est une ruse, c'est ça? Quand je sortirai vous me faxerai une facture exorbitante, hein? Non je ne vous donnerai pas non nom. Vous voulez me piéger, avouez le! Et pour info, je n'ai pas de faxe chez moi.
- Hahaha! Tu es une petite rigolotte dis donc. Aller du calme, on a juste besoin de ton nom pour compléter ton dossier médical.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais qui tienne! Fais moi confiance.
- Bon d'accord. Mon nom c'est Parker Williams. En passant, l'infirmière m'a dit que c'est vous qui m'avait sauvé. Vous savez ce qui s'est passé exactement?
- En effet, je t'ai aperçu sur la route après que quelqu'un t'ai renversé et a prit la fuite. Je n'ai pas vu qui c'était mais en tout cas nous t'avons rammené à temps. Rassure-toi, tout ira pour le mieux. De toute façon, dans ce genre d'accident, les couplables sont très rarement repérés donc pense plutôt au fait que t'en est sortie saine et sauve. J'aurai bien aimé papotter avec toi un peu plus longtemps mais j'ai d'autres patients à aller voir. Fais moi signe si quelque chose ne vas pas. Je reviendrai bientôt.
Il s'en alla. Mais il y avait plusieurs questions que me taraudaient l'esprit. Je repensais à ce qu'il m'avait dit. Je ne savais pas que ceux qui m'avait renversé s'était enfuis. J'avais un doute. Pourquoi ce docteur était si gentil? Pourquoi était-il au p'tits soin avec moi? Et c'était qui ce Brandon? Il y avait anguille sous roche.
- Chérie, laisse lui un peu d'air, elle est consciente. Petite, est-ce que ça va?, fit l'homme.
- Brandon! Ça m'apprendra à te laisser conduire! Tu ne peux pas faire attention? Mon Dieu, je vais faire une crise de panique! Chéri, il faut l'emmener à la clinique, continua la femme affolée.
- Victoria, Calme-toi. On gère la situation. Elle est toujours inconsciente, elle ne se souviendra de rien, fit l'homme.
Ma vision n'était pas claire. Il me semblait que ces gens étaient d'âges moyens. La quarantaine je dirais. Je reprenais mes esprits et je me rendis compte qu'une voiture m'avait heurté. Je n'avais rien vu venir. Soudain, je perdis connaissance encore une fois.
*
Je n'aimais pas cette odeur. Ça sentait les médicaments et les produits désinfectants. J'ouvris les yeux. J'avais une de ses migraines. Ma jambe me faisait mal, je ne pouvais pas la bouger. C'est là que je réalisais qu'on m'avait posé un plâtre.
J'étais allongée sur un lit qui était confortable. Beaucoup plus que le mien d'ailleurs. J'étais dans une chambre, mais ce n'était pas la mienne. Il y avait une télé immense. La chambre comprenait une salle de bain personnelle. Je n'étais sûrement pas dans un hôpital crasseux.
Une jeune femme pénétra dans la chambre. Elle portait un uniforme blanc. On aurait dit une infirmière, ce qui raviva mes souvenirs.
- Bonjour Mademoiselle, je suis Sandra, votre infirmière. Je vois que vous allez mieux. Vous vous rapelez ce qui vous est arrivé?
- Où suis-je?, balbutiais-je, en ignorant ça question.
- Vous êtes à la clinique. Monsieur et Madame Collins, personnellement, vous y ont conduit. C'est vraiment tragique ce qui c'est produit. Les jeunes de nos jours! Je vous jure. Comment peut-t-on se sauver en laissant quelqu'un se vider de son sang? Heureusement que ces deux là ont vu l'accident et vous ont sauvée! Vous êtes bénie des Dieux ma jolie! Bon je vous laisse, j'ai encore du travail, c'est la vie.
C'était une vraie pie celle la. Je me demandais si ma mère était au courant de mon accident. En attendant, je regardais des dessins animés à la télé, quand j'entendis quelqu'un toquer à la porte.
- Oui, qui est là?, fis-je.
- Bonjour petite, ça va mieux? Tu as besoin de quelque chose? Tu peux me demander ce que veux, dit un homme vêtu d'une blouse blanche.
Il était très grand, et très beau je dois l'avouer. Ses yeux bleus clairs perçant et ses cheveux poivre et sel, signe qu'il n'avait plus vingt ans, lui donnait un air mature et sexy.
- Qui êtes vous?
- David Collins en personne, je suis médecin. C'est moi qui t'ai conduite ici.
- Ah je vois. Merci beaucoup mais il faut que je m'en aille. J'ai des choses à faire. Et je pense que ma mère ne sait pas que je suis ici. On a pas les moyens de se payer une assurance et encore moins les soins d'une clinique, répondis-je en essayant de me relever.
- Non petite, ne bouge pas, tu es encore sous observation. Ton état est stable mais il faut attendre un délai de 48hr avant que l'on puisse te laisser partir. C'est juste au cas où il y aurait des complications. Au sujet du paiement, ne t'inquiète pas, la clinique prendra en charge tout les frais de ton traitement. Nous n'avons pas trouver tes papiers d'identité sur toi, nous ne pouvons donc pas contacter ta mère. Nous ne connaissons même pas ton nom.
- Je ne comprends pas. En cas d'accident, un patient est normalement transféré à l'hôpital, pas dans une clinique de luxe. Ah! Je sais à quoi vous jouez! C'est une ruse, c'est ça? Quand je sortirai vous me faxerai une facture exorbitante, hein? Non je ne vous donnerai pas non nom. Vous voulez me piéger, avouez le! Et pour info, je n'ai pas de faxe chez moi.
- Hahaha! Tu es une petite rigolotte dis donc. Aller du calme, on a juste besoin de ton nom pour compléter ton dossier médical.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais qui tienne! Fais moi confiance.
- Bon d'accord. Mon nom c'est Parker Williams. En passant, l'infirmière m'a dit que c'est vous qui m'avait sauvé. Vous savez ce qui s'est passé exactement?
- En effet, je t'ai aperçu sur la route après que quelqu'un t'ai renversé et a prit la fuite. Je n'ai pas vu qui c'était mais en tout cas nous t'avons rammené à temps. Rassure-toi, tout ira pour le mieux. De toute façon, dans ce genre d'accident, les couplables sont très rarement repérés donc pense plutôt au fait que t'en est sortie saine et sauve. J'aurai bien aimé papotter avec toi un peu plus longtemps mais j'ai d'autres patients à aller voir. Fais moi signe si quelque chose ne vas pas. Je reviendrai bientôt.
Il s'en alla. Mais il y avait plusieurs questions que me taraudaient l'esprit. Je repensais à ce qu'il m'avait dit. Je ne savais pas que ceux qui m'avait renversé s'était enfuis. J'avais un doute. Pourquoi ce docteur était si gentil? Pourquoi était-il au p'tits soin avec moi? Et c'était qui ce Brandon? Il y avait anguille sous roche.
Коментарі