Nuit quantique
Qu'adviendrait-il si je venais à disparaître tout en étant la ?
Je deviendrais sûrement existante et inexistante à la fois. Je serais sûrement comme le chat de Schrödinger.
Personne ne me verrait ni ne me remarquerait et cela ne changera pas grand chose ; sûrement parce qu'au fond, personne ne m'a jamais prêté attention.
Je suis un insecte qui gêne, qu'on ne veut pas voir, qu'on efface et qu'on oublie simplement.
Pourquoi ?
Parce que je détiens la clé. La cle qui ouvre la porte des vérités. Ils ne souhaitent pas les voir. Elles ne sont pas bonnes à dire.
Je ne prétends pas toutes les détenir ni de posséder la science infuse ; cependant la vérité que je possédais les ont rendu aveugles. Chose, pourtant véridique, ont nié et m'ont écarté pour ne plus jamais entendre.
Silence radio
Ainsi sont ceux qui voient et détiennent l'univers dans leur mains. Quelque soit leur magnifique pouvoir, personne ne les voit. Nous allons au-delà des possibilités, au-dessus des normes. Le vrai monde que nous connaissons est sous nos yeux. Il est imprévisible, il est tout et rien à la fois. Par malheur, nos talents ne sont que très peu reconnus.
Dans cette société, il vaut mieux être un fou dans un monde de fous, qu'un sage dans un monde de fous.
Après avoir été effacés, nous sommes là, au milieu de la foule, invisibles, à vous regarder. Juger nous est impossible ; ce monde tourne sans nous.
Par moment on nous voit et c'est tout. Puis nous disparaissons à nouveau. Semblables à des esprits oubliés de vos consciences.
Nous n'existons plus dans votre conscient :
nous évoluons dans votre inconscience.
Je suis le chat de Schrödinger, coincée dans cette boîte.
Je deviendrais sûrement existante et inexistante à la fois. Je serais sûrement comme le chat de Schrödinger.
Personne ne me verrait ni ne me remarquerait et cela ne changera pas grand chose ; sûrement parce qu'au fond, personne ne m'a jamais prêté attention.
Je suis un insecte qui gêne, qu'on ne veut pas voir, qu'on efface et qu'on oublie simplement.
Pourquoi ?
Parce que je détiens la clé. La cle qui ouvre la porte des vérités. Ils ne souhaitent pas les voir. Elles ne sont pas bonnes à dire.
Je ne prétends pas toutes les détenir ni de posséder la science infuse ; cependant la vérité que je possédais les ont rendu aveugles. Chose, pourtant véridique, ont nié et m'ont écarté pour ne plus jamais entendre.
Silence radio
Ainsi sont ceux qui voient et détiennent l'univers dans leur mains. Quelque soit leur magnifique pouvoir, personne ne les voit. Nous allons au-delà des possibilités, au-dessus des normes. Le vrai monde que nous connaissons est sous nos yeux. Il est imprévisible, il est tout et rien à la fois. Par malheur, nos talents ne sont que très peu reconnus.
Dans cette société, il vaut mieux être un fou dans un monde de fous, qu'un sage dans un monde de fous.
Après avoir été effacés, nous sommes là, au milieu de la foule, invisibles, à vous regarder. Juger nous est impossible ; ce monde tourne sans nous.
Par moment on nous voit et c'est tout. Puis nous disparaissons à nouveau. Semblables à des esprits oubliés de vos consciences.
Nous n'existons plus dans votre conscient :
nous évoluons dans votre inconscience.
Je suis le chat de Schrödinger, coincée dans cette boîte.
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