Avril
Ça y'est.
Tu es enfin venu me voir.
Il faut croire que tu me regardais vraiment, ces derniers temps, en fin de compte.
Notre discussion n'a pas duré longtemps mais elle était... magique. Oui, voilà, c'est ça. Magique.
J'en ai parlé à ma meilleure amie.
Elle pense que... comme moi, elle pense que cette histoire va bien se terminer.
Je fais tout mon possible pour ne pas me faire de faux espoirs. Je fais tout ce que je peux pour empêcher mon coeur de battre un peu plus vite quand je repense à notre conversation.
Mais... c'est une des premières choses vraiment positives qui m'arrive depuis l'année dernière.
Alors tu vois...
Je me repasse sans cesse ton sourire un peu timide, mais tellement adorable, cette drôle de lueur dans ton regard, et puis le timbre de ta voix tandis que tu entamais la conversation.
Tu m'as demandé si ça allait.
Je t'ai répondu que oui, mais je n'ai pas dû être très convaincante car une lueur dubitative a traversé tes yeux.
Alors tu m'as dit que ça faisait maintenant trois ans qu'on s'apercevait dans la cour ou dans les couloirs, mais sans jamais se parler.
Et puis tu as ajouté que c'était dommage parce que j'avais l'air d'être quelqu'un de bien en plus d'être mignonne. Mais tu n'as pas prononcé ce dernier mot comme tous les garçons le font lorsqu'ils parlent avec une fille qui les intéresse. Non, tu as dit ça d'une manière bien plus unique. Tu as dit ça d'une façon adorable.
Je suis parvenue à te répondre avec le sourire. Calmement, j'en suis moins sûre. Bon, je ne jubilais pas. Mais je n'était quand même pas parfaite.
Alors tu m'as proposé de se voir samedi prochain. J'ai tout de suite accepté. Tu as souri, et on a convenu une heure et un lieu de rendez vous. Plus nous discutions, plus je sentais que quelque chose se passait.
Et puis... la sonnerie a retenti, rompant ce moment hors du temps à mes yeux.
Tu as esquissé le plus beau des sourires, et tu m'as saluée, puis tu es parti vers ta salle de cours, me laissant plantée là, le coeur battant la chamade, mon cerveau se repassant encore et encore ce qui venait de se passer.
Tu es enfin venu me voir.
Il faut croire que tu me regardais vraiment, ces derniers temps, en fin de compte.
Notre discussion n'a pas duré longtemps mais elle était... magique. Oui, voilà, c'est ça. Magique.
J'en ai parlé à ma meilleure amie.
Elle pense que... comme moi, elle pense que cette histoire va bien se terminer.
Je fais tout mon possible pour ne pas me faire de faux espoirs. Je fais tout ce que je peux pour empêcher mon coeur de battre un peu plus vite quand je repense à notre conversation.
Mais... c'est une des premières choses vraiment positives qui m'arrive depuis l'année dernière.
Alors tu vois...
Je me repasse sans cesse ton sourire un peu timide, mais tellement adorable, cette drôle de lueur dans ton regard, et puis le timbre de ta voix tandis que tu entamais la conversation.
Tu m'as demandé si ça allait.
Je t'ai répondu que oui, mais je n'ai pas dû être très convaincante car une lueur dubitative a traversé tes yeux.
Alors tu m'as dit que ça faisait maintenant trois ans qu'on s'apercevait dans la cour ou dans les couloirs, mais sans jamais se parler.
Et puis tu as ajouté que c'était dommage parce que j'avais l'air d'être quelqu'un de bien en plus d'être mignonne. Mais tu n'as pas prononcé ce dernier mot comme tous les garçons le font lorsqu'ils parlent avec une fille qui les intéresse. Non, tu as dit ça d'une manière bien plus unique. Tu as dit ça d'une façon adorable.
Je suis parvenue à te répondre avec le sourire. Calmement, j'en suis moins sûre. Bon, je ne jubilais pas. Mais je n'était quand même pas parfaite.
Alors tu m'as proposé de se voir samedi prochain. J'ai tout de suite accepté. Tu as souri, et on a convenu une heure et un lieu de rendez vous. Plus nous discutions, plus je sentais que quelque chose se passait.
Et puis... la sonnerie a retenti, rompant ce moment hors du temps à mes yeux.
Tu as esquissé le plus beau des sourires, et tu m'as saluée, puis tu es parti vers ta salle de cours, me laissant plantée là, le coeur battant la chamade, mon cerveau se repassant encore et encore ce qui venait de se passer.
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