Ma vie en puzzles, combler par le pouvoir des mots...
K.
Pardonnez moi de crier, pleurer, de souffrir puis de sourire.
J'essaye juste d'extérioriser les maux coincés dans ma gorge.
K.
Un jour on m'a demandé si je l'aimais.
Je n'ai rien répondu, parce que je trouvais ça tellement évident qu'aucun mot n'aurai pu décrire cet amour que je lui portais.
Parce que oui, je l'aimais.
Je l'aimais autant que le ciel est bleu et que le soleil brille le jour pour être remplacé par la lune la nuit.
Je l'aimais plus que tout, que la vie, que ce monde, que moi même.
C'était destructeur, mais rien n'aurait pu m'en empêcher, c'était mon oxygène. Et personne ne prive quelqu'un de son oxygène.
K.
Souvent, quand tu me demandes si je vais bien, je réponds par l'affirmative.
Mais quand tu répètes ta question, avec plus d'insistance dans la voix, je ne peux que baisser la tête en haussant les épaules et en tentant désespérément de cacher mes yeux qui me trahissent à coup de larmes.
K.
Je voulais sourire, mais à chaque fois que j'essayais ton regard apparaissait et effaçait toute trace de joie en moi.
K.
L'amour est imparfait. Tu es imparfait et c'est parfait comme ça, car je suis imparfaite également, et c'est dans notre imperfection mutuelle que nous trouverons la perfection. Et alors on pourra être parfaitement imparfait ensemble.
K.
2021-05-01 19:52:57
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