KAYSEE
@kaysee_55
Comme un couteau Qui coupe mon âme en morceaux
Вірші
Ma plus grande peur
Quand je vous dit que je suis fatiguée, la vérité c'est que je veux seulement crever Fatigué de vivre Fatigué de me lever chaque matin et attendre que la journée se termine Fatigué de devoir faire semblant, de faire semblant de ne pas voir que mon monde entier se couvre de givre Je patiente. Une éternelle attente, toujours en espérant voir mon futur qui tout seul se dessine La vérité c'est que j'ai peur Je tremble de peur Je suis terrifié et putain, J'ai peur de me perdre en chemin De pas le retrouver J'ai peur d'aimer et de m'attacher pour être ensuite abandonné J'ai peur de voir mon entourage partir ou juste crever Et je comprends de plus en plus que viendra un jour où se sera au tour de mes parents d'expirer J'ai peur que la vie me chie à la gueule Peur de tomber et de ne plus avoir la force de me relever Peur que ce soit juste ça la vie, une éternelle chute Et moi j'essaie comme je peux de réussir à ouvrir mon parachute Peur de rester dans ce flou et dans cette société encombrée de pistolets braqué sur notre tempes qu'ils osent appeller liberté La vérité c'est que je sais que je suis faible Beaucoup plus faible que je ne le montre à coup de larmes retenus et de cris contenus La force en moi c'est juste une façade que je m'impose, comme une règle Que je dois suivre Subir Pour pas révéler aux yeux des autres que je fais ça pour survivre Survivre C'est devenu une véritable survie Mon cœur fait une formation en sidérurgie pour essayer se forger un véritable bouclier Se protéger de cette misérable vie qui me détruit Me lever le matin Travailler pour oublier que ces putains de bonnes notes me serviront sûrement à rien Pas à être heureuse Trouver un copain alors que j'en veux même pas un Ou me poser des questions sur une quelconque sexualité à banaliser Je veux tomber amoureuse et pas mettre de mots sur ma relation avec ce fameux garçon Garçon qui me fait rire et sourire Qui me dit à quel point la vie est belle à mes côtés Qui me montre la beauté du matin et sa rosée Qui donne un sens à ce que je suis et me pousse à réaliser mes rêves oubliés Garçon avec qui je me dispute pour un oui ou pour un non Vie dérisoire où tout tourne autour de son pardon Je m'en fiche moi c'est ça que je veux Vivre mes relations à fond sans m'inquiéter du lendemain De l'abandon L'inévitable qui te crève le cœur L'inévitable qui te fait trembler de peur Je veux avoir mille amis sur qui je peux m'appuyer Mille raisons de rester auprès d'eux et laisser les jours couler sans les avoir compter Et essayer d'oublier qu'un jour ou l'autre ils finiront par me laisser de côté La vérité c'est que j'aime vite, j'aime fort, j'aime trop, trop longtemps, trop intensément La vérité c'est que je vis ma vie en la dansant Danse macabre Danse morbide Pour oublier que la nuit la seule personne qui reste à mes côtés C'est mon amour, ma vie, appelé anxiété Elle me détruit M'empêche d'être véritablement heureuse Balancement continuelle au dessus du noir profond et sans fin elle me contrôle pour à tout moment me pousser dans le vide Vider ma tête Vider mon cœur Madame est trop radine elle me refuse sa morphine Je peux pas dormir J'arrive pas à m'endormir Je veux pas dormir La vérité c'est que si je vous dit que je suis fatiguée C'est que j'ai tellement envie de crever Partir Partir loin à m'en écorcher les pieds Et crier à la nuit et à la lune mon amoureuse, que si je ne pars pas vraiment, Que si je reste là À la regarder du bas de ma fenêtre les joues irrités de mon trop pleins de larmes versés à attendre le pire C'est que j'ai autant peur de vivre Autant peur de vivre que de mourir. K.
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Parler
Tu penses que garder tout pour toi Te permet d'éviter de mettre des mots sur ce que tu ressens D'affronter tes problèmes De les regardes en face Tu penses que ne rien dire te permet d'avancer plus facilement D'être tranquille J'étais pareil Je suis pareil Mais Ce que tu ne sais pas C'est que tout ce que tu ne dis pas Reste en toi Et cela pourri À en faire des insomnies Des crises d'angoisse De larmes De colère Cela te créer des démangeaisons Des cernes Cela te trou de l'intérieur Tout ce que tu gardes pour toi ne meurt pas Mais finira Peu à peu Par te tuer toi K.
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Tu n'es pas
J'aimerais juste rétablir une vérité Tu n'es pas ta religion ou ton absence de religion Tu n'es pas ta nationalité ou ton mélange de nationalité Tu n'es pas les gens que tu côtoies ou que tu ne côtoies pas Tu n'es pas ta famille Tes amis Ce que tu aimes ou n'aimes pas Tu n'es pas ton métier Ta classe sociale Tu n'es pas ton âge Ta santé Tes maladies Tu n'es pas ton anxiété Ta colère Ton sourire Tu n'es pas tes mots Ce que tu dis Et ne dis pas Tu n'es pas ton QI Ta tête Ton cerveau Tu n'es pas défini par cela La seule chose qui peut se permettre de le faire Te définir C'est ton cœur Mais surtout Tu es toi Et c'est toi Qui choisi ce que tu es K.
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Violence
La violence ne me fais plus peur Je l'ai trop côtoyé Je la connais par cœur J'ai connu la violence des mots Et des regards Des silences assourdissants Des cris Du temps La violence de phrases que l'on jette comme un poignée de pétales Une violence que l'on ne peut oublier après l'avoir trop côtoyé K.
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Cœur
La nuit noire m'étouffe Et les étoiles me piquent les yeux Le monde se coupe en deux Le ciel éclaté en mille morceaux J'ai peur mais je ferme les yeux Et je me concentre sur ton sourire et ton battement de cœur Que je connais sur le bout des doigts K.
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Ils sont là
Ses petits messages Tout au long de la journée Le matin en te réveillant Et le soir allant te coucher en sachant que tu ne dormiras pas Ses petits mots d'amour De réconfort De soutien Qui te donnes tellement de courage Et surtout Qui te rappelles Que même après tout cela Tu n'es pas seule Et qu'ils sont là ❤️ K.
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À toi qui ne sera plus là
Comme une impression Que le monde s'écroule quand tu t'en vas Comme une impression De ne plus pouvoir y arriver sans toi Faire face à la perte À la mort À toi qui ne sera plus là S'y attendre Et tomber de haut en l'apprenant Le sentir jusqu'au plus profond de ses entrailles Se dire que c'est fini Et ne pas vraiment le croire Réaliser par électrochoc qui te font chanceler Ne pas te rendre visite quand l'on se rend près de chez toi Écrire le discours d'adieu L'enterrement Et tous ses gens qui sanglotent En sachant Que tu es parti Et même après cela Se demander Si tu es toujours là Se demander Si c'est vraiment possible Que quelqu'un de si indestructible Ne sois plus là Plus là Là Puis plus là Vraiment Je me demande vraiment Si je vais réussir à tenir sans toi K.
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L'adieu
C'est impossible à exprimer Un vide Un manque Un adieu déchirant C'est terrible ce moment où on l'apprend Mais Ce n'est pas le plus important Non Cela allait arriver Mais on est jamais vraiment préparé Il nous faut cent ans Deux mille ans Mais nous ne les avons pas Pas vraiment Le plus important C'est cette multitude de souvenirs Qui nous restera de toi Tout ce que nous avons vécu Partagé Ce qui nous manqueras Et ce que nous ne t'avons jamais dit Ce que nous ne te dirons jamais Ce n'est pas grave Tu es avec nous Dans nos visages Nos têtes Nos cœurs surtout Nos souvenirs Cela te fera vivre éternellement Ça c'est le plus important Et puis voilà Le reste attendra On aimerait te revoir Juste pour quelques instants Te dire au revoir sans doute Te dire tout Te dire rien Te dire qu'on t'aime Et que tu nous manqueras Que des fois on oubliera Et ce n'est pas grave Que des fois on pleureras Souvent au début Puis de moins en moins C'est normal Mais tu nous manqueras Toujours On te verra partout On te retrouvera aux endroits les plus inattendus On partagera nos souvenirs quand tu nous manqueras tellement que notre cœur se serrera au point de ne plus savoir comment respirer Cela nous fera pleurer Mais aussi sourire Rire peut être De penser à ses petites habitudes que tu avais À ces choses simples de la vie que tu aimais Ce que tu nous répétais Et ce que tu ne nous disais pas Tu seras partout et nulle part à la fois Parce que jamais on te trouvera Et pourtant ton visage Tes yeux Ton sourire Ta voix Tout Resteront Avec nous Ça c'est le plus important Que l'on t'aime Que je t'aime Que tu nous aimes On te dit adieu Mais tu restes Où que tu sois Tu resteras K. Ces moments de la vie sont durs. Ils sont terribles, éprouvants. Parfois on a l'impression que jamais on arrivera à se relever et a dire au revoir. Cela nous semble insurmontable. Ça l'est au début. Mais c'est normal. Le plus important c'est tout cela, les souvenirs, les gens qui nous entourent, la vie qui continue. Et ceux qui partent, ils seront partout et resteront près de nous. Il ne faut pas oublier, seulement avancer. C'est ce qui nous fait grandir, pleurer et rire. Ça ne va pas des fois. Ce n'est pas grave. On y arrivera. Quoique vous traversiez, qu'importe qui vous a abandonné, qu'importe qui est parti, vous y arriverez. Je crois en vous alors faites le aussi. ❤️
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La poésie
La poésie c'est les mots du coeur La poésie c'est cela qui importe La poésie des mots Des jolis mots Surtout La poésie des hommes Des femmes Des enfants La poésie des sens Des émotions Des sentiments De l'amour toujours La poésie des histoires Des souvenirs De la mémoire qui s'en va Mais qui reviendra La poésie du monde Des forêts Des plaines et des champs Des montagnes Des rivières et des océans La poésie La musique La danse La littérature Ma poésie Et celle qui fleurira Et celle qui nous a précédé K.
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How do I say goodbye
Mais dis moi Comment je suis censée t'oublier Comment je suis censée pouvoir te dire au-revoir Alors que je te vois partout Alors que j'ai passé toute ma putain de vie à tes côtés Comment continuer cette vie sans pouvoir t'appeler dès que je suis heureuse Ou triste En colère Déçu Dès qu'une futile banalité arrive Sans rire à tes côtés Me disputer avec toi Se goinfrer de chocolat Ou te taper l'arrière du crâne quand tu dis une bêtise Comment je suis censée continuer à vivre Sans nos regards que nous seuls comprenons Sans nos milliers de souvenirs qui ne pourront plus jamais être re-raconté Comment je suis censée te dire au revoir Alors que j'ai passé toute ma putain de vie à tes côtés Alors que tu es mon frère Mon cœur Mon âme soeur Mon meilleur amis Mon amour Comment K. (Inspirée de How do I say goodbye de Dean Lewis, cette pépite)
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La terrible impression
J'ai la terrible impression Après tout ça Après toi Que ce soir Malgré tout le soutien que vous m'apportez Que la vie N'en vaut plus vraiment La peine Et je me déteste de penser ça K.
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Cassée K.
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Un peu
Si Un peu Je crois que j'étais très triste au début Mais maintenant ça va Parce que j'ai appris tellement de choses et j'ai tellement grandi Je ne saurais pas la même sans cela Sans doute un peu moins forte Un peu moins cassé Mais ce n'est pas grave Ce n'est pas important de se demander ce que je serais sans ça Parce que c'est arrivé Et il faut que j'avance et que je me relève Je ne sais pas comment je vais m'en sortir Honnêtement J'en ai aucune putain d'idées parce que tout me paraît si compliqué Là tout de suite Tout me paraît si compliqué à gérer Mais je sais que j'en suis capable Je suis assez solide Ça ne sera pas facile Mais je suis assez solide Je me suis fait une raison Je crois J'accepte ce qu'on me donne Et le reste ce n'est pas grave Je trouverai quelqu'un pour me donner de l'amour Pour l'instant je m'en contente Peut être que c'est vrais Que tout est de ma faute Mais je n'ai rien demandé, je ne fais que survivre Je ne fais que douter et tout faire pour le bonheur des autres C'est dur Et je me sens terriblement seule Mais j'ai le droit d'abandonner Ou de continuer Et ça me rassure Car ce choix Juste lui Il m'appartient Je suis lâche et je m'en fiche J'ai besoin d'être lâche Le courage ça sera pour plus tard Je vais m'en sortir Je m'en suis toujours sorti J'ai vécu pire Ça ira Ça Ira Je n'ai pas à être désolée... K.
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Pression
La pression Tellement de pression Celle de la société Des autres Surtout La mienne Être nulle Tellement nulle Et se sentir Misérable Moins que rien Plus bas que terre Pleurer Angoisser Culpabiliser Je n'y arrive plus Des heures de travail et d'efforts mis à la poubelle Pleurer Angoisser Tout le temps Le cacher Cernes Cheveux qui tombent Plaques rouges Trop de stresse Jamais assez bien Le regard des autres Si pesant Et si peu important Presque inexistant Je ne sais pas comment je vais faire Je ne sais plus rien J'oublie tout J'ai peur Si peur Tellement peur Tout le temps C'est dur Et ça fais si mal K.
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Seul
Tu vis tout seul Et personne ne vient t'aider Est-ce étonnant que les choses se brisent ? Alors que nous avons construit notre amour Sur une si ville fragile Nous avons construit notre amour Pour le détruire Tu vis tout seul Et personne ne vient t'aider La pluie me perce le crâne Tu n'es pas là pour danser avec moi Nous nous aimons si fort Pour nous détruire Tu vis tout seul Et personne ne vient t'aider C'est comme une chanson qui résonne dans ma tête Pour m'inviter à chanter Mais j'en suis incapable Parce que je n'arrive pas à crier Tu vis tout seul Et personne ne vient t'aider Les oiseaux s'en vont L'arbre est tout Seul Et personne ne vient l'aider Nous l'avons planter Pour le détruire K.
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Anxiété
Je ne sais pas comment décrire cela. comme un sentiment que je n'y arriverai pas. mais je peux essayer. je peux essayer. L'anxiété Te ronge et t'agrippe Pour ne plus jamais te lâcher Comme une seconde peau Elle se tapit au fond de toi Se blottie contre ton cœur Tu finis presque par t'attacher à elle Parce qu'elle est partout Tout le temps Elle surgit au moment où t'y attends le moins Parfois Je me demande sincèrement comment je tiens encore debout C'est elle Elle me retient de tomber Elle ne veut pas que je m'écroule Elle veut que je reste dans l'entre deux Elle veut me voir chanceler sur le fil qui se tend au dessus du vide, sans jamais tomber Je marche au dessus d'un gouffre terrifiant Sombre Sans vie Où des ronces attendent leur heure pour m'écorcher la peau à vif Cette heure ne viendra jamais et je le sais Parce qu'elle est là Tu ne sais pas comment te défaire d'elle Tu ferais tout pour cela Et en même temps Elle est la seule La seule Qui ne t'as pas déçu Et qui ne t'as Jamais Abandonnée Anxiété K.
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Et puis
Et puis Un jour De pluie De nuages Tu es parti Sans faire de bruit Tout doucement Et puis Tu n'es plus Jamais Jamais Revenu Et moi Je t'ai attendu Et je t'entends encore Même si je sais au plus profond de mon cœur Que c'est Fini K.
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J'ai trop de larmes à pleurer Alors je n'en ai plus assez K.
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Trop
Depuis petite Rêveuse Maladroite Secret Destruction Larmes Mal au ventre Tout le temps Depuis petite Des larmes Je déborde Il y a trop de larmes en moi et je déborde Trop de sourires qui me regardent Qui me narguent Et toi qui ne me vois plus Et le ciel et la pluie Le monde tourne et je marche Je marche et je tombe Et je danse et je cours Et je ne m'arrête pas En accélérant Et en soufflant Essoufflement Je ne finirais jamais cette course Je ne serais jamais première Les cours Apprendre des leçons par cœur Je ne comprends pas Passer des heures à étudier Et ne jamais y arriver Et regarder Ceux qui sont si forts si fière Et des maths Trop de maths Des chiffres par milliers qui se mélangent dans ma tête Et enfin y arriver La fierté de la famille De mes amis Et jamais la mienne Ce n'est pas assez Non Pas assez Quand je travaille pas Je culpabilise Rentabiliser mon temps Faire Plus Toujours plus Et être forte Toujours plus forte Je ne parle pas Je ne dis pas Quand ça ne va pas Tout va bien Y a rien à dire Tout va bien J'ai l'impression de sauter dans le vide Je ne dors plus Je n'arrive plus à rien Je mange trop Je ne ressemble à rien Personne ne veut de moi Pourquoi quelqu'un voudrait-il de moi quand il peut embrasser le monde entier ? Je mange plus Je maigris Trop Mais pas Assez Contrôle J'ai besoin de contrôle Contrôler mon temps Mon poids Et j'ai mal au ventre Trop Tout le temps Passer mon temps à me convaincre que j'aurais pu avoir une vrais maladie Une plus grave Il y a toujours plus Grave Pourquoi je me plains ? Mais je n'y arrive pas Parce que celle que j'ai me bouffe la vie Et les règles Si douloureuses Et mon anxiété Si destructrice Se rajoutent Pour toujours Plus De Mal J'ai trop de larmes à pleurer Alors je n'en ai plus assez Et je continue Mais je ne sais pas Comment faire Pour qu'on arrête De m'abandonner Aimer Trop Trop fort Tout le temps Tomber amoureuse Jamais Ou Toujours Et m'attacher Si vite Pendant que l'on m'abandonne Je me sens seule Même quand je ne le suis pas Et je pleure Et je me réveille en sursaut Et j'ai mal au ventre Tellement mal au ventre Et je cris J'écris Mais rien ne sort Personne ne m'entends Je ne sais pas pleurer en silence Tempête Chaos Mais non Personne n'est là Pour se rendre compte Que ça ne ve pas Trop de questions Pas assez comme ça Trop Trop Et ses yeux qui me jaugent Et ses bouches qui hurlent Qui me font sentir misérable Je suis misérable Misérable Misérable Rien Et Trop À la fois Trop Trop Trop Je déborde De larmes et je pleure De sourires et de rires De vents De soleils De tous ses écrits Ses lectures Les étoiles aussi Ses mondes imaginaires qui m'accompagnent Un verre Qui éclate de rire Moi j'éclate en sanglot Déborde Trop K.
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Je crois
Je crois en l'amour Je crois que le monde reste beau malgré les désastres grandioses qui l'atteignent Je crois que les étoiles brillent aussi fort que mes yeux dans les tiens Je crois en l'amitié Je crois que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée Je crois que courir quand on souffre si fort est la plus belle chose qui puisse nous arriver Je crois qu'un café sucré est la plus joyeuse des douceurs après un obstacle à traverser Je crois que le monde des livres est le plus magnifique des cadeaux Je crois en la fraternité Je crois que travailler et réussir sont la plus grandes des fiertés Je crois que tomber et continuer est plus beau encore Je crois que je t'aime Et que je suis tellement reconnaissante d'exister Dans ce monde si grand Et dans ton coeur si minuscule K.
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Comme un sentiment Qu'il fait semblant J'aimerais juste Qu'il arrête de s'énerver contre moi Quand je lui demande Le plus petit des efforts J'aimerais juste Qu'il veuille être avec moi De lui même Pas quand je le force Comme un sentiment Que je vais exploser Il me semblait Que c'était Le vrais rôle D'un Papa Parce que je sais Qu'il Arrive parfaitement bien À le tenir Auprès des autres Je Suis Injuste Mais J'ai Tellement mal Mais J'aimerais tellement Qu'il Comprenne Qu'il faut qu'il me regarde deux secondes pour voir Que Rien Ne va plus Chez moi K.
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Tu le sais
Je t'aime comme le soleil aime la pluie. Je t'aime comme la pluie aime le soleil. Je déteste me rapprocher de toi autant que la lumière des étoiles et la lune dans le noir. Je déteste ton regard autant que ton sourire. Je t'aime Mais Je N'ai Pas le Droit De commencer À m'attacher À Toi Je le sais Je te déteste Pas Et tu le sais Autant Que moi K.
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Sourire. Tu vas bien Me convaincre que tout va bien Sourire. Une chose à la fois Tu n'as pas besoin de réfléchir Sourire. Retiens tes larmes Tu pleureras plus tard Sourire. Quand tu seras seule Ne penses pas Ne pleures pas Ne songes pas Ne te concentres pas sur tes émotions Tes pensées Les vrais Sourire. Tout va bien Fais ce que les gens attendent de toi et tu n'auras pas de problème Sourire. Échappes toi dans tes rêves éveillés Ça se passera mieux là bas Sourire. Ça va, Je crois Sourire. Je sais Que c'est faux Mais Je Vais Bien Sourire Sourire Sourire Sourire Sourire Sourire Sourire Sourire Souffrir Sourire Sourire Sourire S T O P ! K. (Je ne veux plus sourire)
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Piégée
Je me sens piégée Dans un filet Que tu as créer Pour m'attraper Et ne plus jamais me relâcher Tant Que je ne me serais Pas Vidée De toutes mes larmes Tant Que je ne me serais Pas Avouée Vaincus Je suis piégée Et je ne sais même plus comment me libérer K.
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C'est parti pour une semaine En Me sentant À part En pleurant Dès que je suis seule Je veux Partir Loin Si loin Je veux Arrêter De faire semblant Tout le temps Mais je ne peux pas Je le sais Je ne sais même pas Comment J'arrive À Avoir la Force De continuer À vivre dans cette putain de maison Mon cœur me fait mal Tellement mal Je ne sais pas même pas Comment J'ai fais Toutes ces Années À me taire Pour Le bien d'une famille que je ne veux pas Qu'on m'a imposé Et elle À la regarder dans les yeux Et faire comme Si Elle ne m'avait pas Anéanti Brisée Comme Si Je ne me détestais pas À cause De tout ce qu'elle Me dit Au Secours K.
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J'éclate de rire
J'éclate de rire J'éclate en sanglots J'éclate de ton regard J'éclate en mille morceaux Mon corps éclaté en mille morceaux K.
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Le monde qui s'enroule
Il n'y a pas de vrais Il n'y a pas de faux Il y juste le monde qui s'enroule Il y a juste le soleil qui se lève Et mon cœur blotti contre le tien K.
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Jonquilles
Un matin De pleine lune Je t'ai Apporté Des jonquilles Dans une jolie ficelle De la couleur De tes Yeux Un soir Réchauffés par la lumière du soleil Tu m'as demandé de t'écrire un Poème Mais Comment veux-tu que j'écrive Si tu ne me parles Jamais ? Un jour un peu ailleurs Tu accepteras ce bouquet de fleurs Je t'écrirai un poème Que je regarderais brûler Doucement Symbole de notre amour Consumé K.
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Mon âme en morceaux
Comme un couteau Qui coupe Mon Âme En morceaux. Je dois juste arrêter de pleurer Mais comme une impression Que le monde S'écroule sous mes Pas Je suis amoureuse Je suis brisée Je suis dans une univers Plus si proche De la réalité Je ne sais plus aimée Sans m'écrouler Maman je t'aime Mais je n'arrive plus À marcher J'ai l'impression Que ma peau Se détache En lambeaux Avec mes larmes Qui sillonnent Mes joues Le soleil éclaire le monde Mais la lumière N'entre plus dans le mien Si sombre Dans ton ombre Qui s'en va Je te jure que j'ai essayé Comme un couteau Qui coupe Mon Âme En morceaux. K.
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Au dernière nouvelle Je ne suis pas Inférieure à toi Donc Merci De me traiter Avec le respect que tu aimerais avoir Merci D'arrêter de me parler comme Si J'étais La pire idiote Comme Si J'étais Une merde Ça m'arrangerait Et ça m'évitera De me considérer encore plus Comme Telle :) K.
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Pendant des années Je t'ai cru Et encore aujourd'hui Je ne peux me défaire De cette voix Qui résonne dans ma tête Cette voix Elle t'appartient Cette voix elle me répète à quelle point Je suis grosse Mes cheveux sont moches À quel point Je gâche tout avec mes problèmes de santés Avec mon anxiété Tout est de ma faute Tout le temps Dans ta petite famille parfaite Que tu aurais voulu créer en détruisant la mienne Je suis injuste Je le pensais Mais plus aujourd'hui Parce que je ne te déteste pas Pour la situation de mes parents Ni la mienne Avant Mais plus maintenant Parce que je sais que tout est plus complexe que je ne le crois Je te déteste Parce qu'à cause de toi Je ne suis à ma place nul part Je me déteste Je déteste mon corps et ce que je représente Je n'ai pas de famille Je n'ai pas de maison Mon sentiment n'est pas injuste parce que je me suis battu pendant des années Parce que je faisais tout ce que je pouvais pour que tu sois heureuse C'est ton comportement qui est injuste Parce que j'ai toujours fermé ma gueule Encore aujourd'hui Parce que je suis terrifiée À l'idée Qu'à cause de toi Je perde ce qu'il me reste de papa Et que je finisse Seule Abandonnée Je Suis Terrifiée K.
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Trop fort
Je crois que je commence à t'aimer Un peu Trop Fort K. Je suis Désolée...
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Je veux encore vivre longtemps
Je veux encore vivre longtemps Même si des fois je n'en peux plus Je veux encore danser longtemps Même si des fois mes pieds ne me portent plus Je veux encore rire longtemps Même si des fois ce même rire hante mes nuits Je veux encore tomber longtemps Même si me relever est toujours plus difficile Je veux encore rencontrer longtemps Même si des larmes montent à chaque au-revoir et perlent mes cils Je veux encore chanter longtemps Même si ma voix est écorchée jusqu'au sang Je veux encore aimer longtemps Même si parfois j'ai mal à force d'aimer Je veux encore Écrire Apprendre Voyager Sourire Prendre des milliers de photos Et regarder les nuages tous les matins Danser sous la pluie Faire la fête Me faire de nouveaux amis Et continuer d'avoir dans ma vie ceux que j'aime un peu trop fort Je veux regarder les étoiles Et me dire Que tout n'est pas encore Terminé K.
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Je ne suis juste Pas Heureuse dans ma propre Maison Je ne suis juste Pas À ma place Dans ma propre famille Que tu as brisé Je te déteste J'aimerais tellement ne jamais t'avoir rencontré Je n'aurais pas été aussi Brisée Je me serais jamais sentie autant Comme une merde Tu n'aurais jamais fait le mal que tu m'as fait subir Le harcèlement moral Psychologique Je déteste mon corps parce que tu me me l'as fait détestée Je déteste mon visage parce que tu me l'as fait détestée Je déteste mon poid et ma morphologie parce que tu me faisais des remarques dès que j'étais en maillot de bain Je ne peux plus me mettre en maillot de bain Tu as juste fragilisée toute émotion que je peux ressentir Tu as juste contribué à la confiance en moi qui n'existe plus Tu as juste installée un doute permanent et une douleur que je n'avais jamais cru pouvoir vivre Je te déteste mais je peux rien faire Je ne peux pas l'ouvrir Ni m'exprimer Il est temps de me résoudre à accepter Que je ne serais jamais heureuse dans ma propre maison Que je ne serais jamais à ma place dans ma propre famille Parce que tu m'as anéanti K.
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Pour l'amour
Pour l'amour Il y a les regards entrelacés Pour l'hiver Il y a les chaussures trempés de neige Et pour l'automne Il y a les feuilles oranges dans les arbres du jardin du voisin Pour le printemps L'odeur de l'amour et des fleurs écloses Pour l'été Il y a les tomates réchauffés au soleil Pour l'amour Il y a les regards entrelacés Pour la peine Il y a la pluie Pour la colère Les verres cassés Comme ma vie Pour la rencontre Il y a les voyages Pour la poésie Il y a les étoiles Dans ton regard Pour le rire Il y a l'odeur du soleil sur ta peau Pour les moments passés avec les gens que tu aimes Il y a le ciel bleu Pour l'angoisse Il y a mon plaid et une tasse de café Pour la déception La beauté du brouillard qui se lève Et la rosée du matin Pour ton sourire Pour la musique Le son du piano Et de ton éclat de rire Pour l'amour Il y a moi Qui t'aime de toute mes forces Et pour moi Il y a toi Toi et ton éternel soutien K.
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Souvenirs envolés
Tu souviendras-tu De mon éclat de rire Quand tu m'abandonnera Et de tous ces moments passés ensemble Juste Pour Aller Un peu mieux Je me souviendrai De la lumière dans tes yeux Des poèmes que j'aurais voulu t'écrire Et de tout l'amour que je te portais Te souviendras-tu De ce que tu me disais Du sourire qui apparaissait sur mon visage quand je t'entendais De mes yeux qui te cherchent et qui ne te trouve pas Je me souviendrai Du ciel dans ton regard Qui était toujours Un peu plus bleu Et de ta maladresse à me réconforter Te souviendras-tu De nos moments passé à deux Et de nos premiers échanges Quand tu riais Quand je te souriais Te souviendras-tu De mes yeux qui te cherchent et qui ne te trouve jamais K.
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Je ne suis pas sûr d'y arriver
Au bord du gouffre Comme des petites voix Qui me disent Que je n'arrive à rien Au bord du gouffre Mes larmes montent Mais refusent De couler Au bord du gouffre Quand je pleure C'est toujours À cause de toi Au bord du gouffre Trop de pression Sur mes épaules Je ne suis pas sûr d'y arriver Au bord du gouffre Insomnie Crise d'angoisse Doute permanent Au bord du gouffre Je ne Suis Pas Sûr d'y Arriver. K.
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Juste
Passer juste Une minute Avec toi Dans tes bras Pour pouvoir Peut être Me dire Que Que tu veux encore de moi Un sourire Une parole Juste Un Petit sourire Pour me montrer Que tu ne m'en veux pas Je ne veux pas Que tout redevienne Comme avant Je ne suis pas bête Je veux juste Un regard Qui me prouve Que tu ne m'oublie pas K.
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Tu étais là
Tu étais là. On a bavardé. Lu. Ramasser des raisins et un bouquet de Marguerite. Fait des cookies. Regarder un ghibli. On s'est sourit. Tu as ranger ma chambre et laver quelques assiettes. Tu m'as enlacée si fort que j'ai cru que mes côtes allaient se briser. Tu étais là. Parce que j'en avais besoin Parce que je te l'ai demandé Parce que j'allais mal Parce que j'avais besoin de toi Merci Merci beaucoup Tu étais là. K.
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Amoureuse
Je ne sais pas trop comment Ni vraiment pourquoi Je me réveille Un matin Me rendant compte que Mon cœur Ne bat plus vraiment comme avant Un peu trop vite Trop Fort parfois Un peu en désordre Je me Sens Comme différente C'est Marrant Cette sensation de légèreté qui me prend quand je pense à lui C'est marrant le nœud dans mon ventre quand je me rends compte Qu'aujourd'hui Je ne le verrais pas Je sais ce que cela signifie Je le sais Un peu Trop Bien Et ça ne me plaît pas Parce que je sais Aussi Que tout cela se terminera Et que Je finirais En pleure Comme Toujours Et pourtant Et Pourtant J'aime J'aime ressentir notre complicité Me rappeler De nos rires De nos délires De nos sourires De nos regards entrelacés Et de tous ses Souvenirs J'aime me sentir Un peu Importante À ses yeux Et sa manière d'être quand il est avec moi Seul Accompagné Je m'attache à Ses expressions Ses manies Son éclat de rire À lui et à ce qu'il représente à mes yeux J'aime Me sentir Comme Amoureuse Parce c'est ce que je suis en réalité : A M O U R E U S E . Je ne sais pas trop comment Ni vraiment pourquoi Je me réveille Un matin Me rendant compte Que je suis Amoureuse :) K.
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Si j'avais le choix
Si j'avais le choix, j'arrêterai tout. Je me laisserai couler, me laisserai tomber à genoux. Si j'avais le choix, je ne tomberai plus amoureuse, mon cœur serait comme de la pierre et plus rien ne me rendrait heureuse. Si j'avais le choix, j'arrêterai de me taire, je me lèverai enfin et j'ouvrirai ma gueule, je l'ouvrirai bien. Si j'avais le choix, je me casserai d'ici, je veux me lever chaque matin sans savoir où je me trouverai demain, Je saurais juste que c'est très loin. Mais je n'ai pas le choix. Ou peut être que si, ou Que tout ce que j'ai, C'est seulement ce que je suis. K.
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K.
Je crois que ça commence à déborder
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En vrais
Parler en vrais Ça fais tellement du bien K.
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La pluie
La pluie en réalité, c'est juste des milliers de gouttes de silence Et de souffrance. Le ciel pleure parce que lui aussi, à été abandonnée toute sa vie. Et putain, qu'est ce qui peut se sentir seul tout là haut. K.
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Désordre
Tu étais le désordre. Avec toi, tout était en désordre. Ton lit le matin. Tes cheveux après la douche. Ton cœur. Ta tête. Notre amour. Tes mots. Notre rupture aussi, probablement... Tu étais le désordre. K.
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Des morceaux de toi
J'ai des morceaux de toi cachés un peu partout. Je crois que c'est ça l'amour, Trouver l'autre même quand il n'est pas là. K.
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(...)
Je t'aime Genre vraiment... K.
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Ignorer
Ignorer. Je veux juste tout ignorer. C'est plus facile quand on efface toute présences. Ignorer. Juste Ignorer K.
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Une boucle infernale
C'est bizzare cette sensation. De ne pas vraiment se sentir chez moi, où que j'aille. D'avoir envie d'aller nulle part, et de vouloir aller partout. De savoir que je vais mal alors que je n'ai aucune raison d'avoir ce mal être. Ce mal être qui me ronge, et plus il me ronge, plus je culpabilise de sa présence. C'est con, mais ça devient une boucle infinis, une boucle infernal. J'ai envie de crier ma colère et ma rage. La rage que je porte contre moi même. J'ai pas le droit d'aller mal, alors que ma vie est tellement incroyable quand on la compare à celle des autres. J'ai pas le droit putain J'ai pas le droit de pleurer, pas le droit d'angoisser, pas le droit de rester dans mon lit toute la journée. Et pourtant je ne peux pas m'en empêcher. Vous aussi ça vous arrive ? De vouloir vite grandir, pour pouvoir partir loin, seule Parce qu'au moins, en étant seule, je n'ai rien à gâcher Personne à décevoir. Comme une boucle infernale K.
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Je gâche tout
" Tu gâches tout. Parce que c'est ta spécialité non? De tout gâcher, Parce que Tout Absolument tout Est de Ta Faute." K.
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I hate you I love you
Je t'aime Un peu Je te déteste Autant Et je déteste t'aimer Alors que toi tu ne me vois pas Je t'aime beaucoup Trop Je te déteste Tellement Et je déteste penser que toi tu ne reviendras pas Je pense à toi Souvent Tout le temps À toutes ces nuits Et toutes ces étoiles Que nous avons observer ensemble Je t'aime Tellement Et je déteste le manque Que je ressens Quand je pense à tout ce que Nous aurions pu faire encore à deux Je t'aime Un peu Je suis tellement fatiguée Je suis tellement épuisée Mais jamais de toi Je t'aime Putain Et ça me bouffe Ça me ronge Je déteste tout ça Mais je te déteste encore plus Je t'aime Un peu Je te déteste Autant Et je déteste t'aimer Alors que toi tu ne me vois pas. I hate you I love you And I'm always tired but never of you... K. (Inspiré de "I Hate U, I Love U" de Gnash et Olivia O'Brien)
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Le nous que j'aimerais créer mais qui s'en est allé
Il était une fois mon cœur à l'abandon, le manque et l'espoir qui renaît. Il était une fois les larmes qui s'écoulent sur mes joues comme l'encre de mon stylo sur le papier usé. Il était une fois moi, toi, le nous que j'aimerais créer mais qui s'en est allé. Le ciel est orange, un orange crépusculaire, remplis de nuage coloré par les rayons du soleil couchant. Quand je l'observe, c'est à toi que je pense, c'est ton sourire que je vois et ton regard ancré dans le mien. Tous les jours j'espère que je serais à la sortie du labyrinthe qu'est ta vie et dans lequel tu t'es perdu en chemin. Dans lequel on s'est perdu de vue. Tous les jours j'espère que je serais la solution à tes problèmes, La raison de ton éclat de rire, La boussole qui te guidera au bonheur, celui que tu recherches tant. Malgré tout ça, je le sais. Je le sais, que tous cet espoir est idiot et enfantin, Car tu n'es et ne seras plus jamais dans ma vie, dans mon lit, à mes côtes sous le ciel étoilé. Mais je t'aime, D'un amour inconditionnel, Et j'espère que tu n'en doute pas. Il état une fois mon cœur à l'abandon, le manque et l'espoir qui renaît. Il était une fois les larmes qui s'écoulent sur tes joues comme l'encre de mon stylo sur le papier usé. Il était une fois moi, toi, le nous que j'aimerais créer mais qui s'est en allé. K.
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144
...
"C'est juste, je viens de me disputer violemment avec lui, et là j'ai complétement pété les plombs, on aurait dit une folle, ça criais tellement fort à l'intérieur de moi, j'avais l'impression que je perdais complètement le contrôle de toutes mes émotions, tout explosait, j'ai beau tout faire pour essayer de me calmer, moi et ma crise de larme ça reprends à chaque fois" "Je t'appelle" ❤️ K.
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...
Ça crie, ça hurle à l'intérieur de moi. Ma tête n'est plus qu'hurlements, l'eau salé se met à tout couler et détruire sur son passage. Je pleure, mais je me tais. Tout le bruit qui résonne à l'intérieur de mon corps se transforme en un misérable sanglot. Je ne peux pas crier. Je n'y arrive pas. Je n'y arrive plus. Alors le silence me répond, et c'est pire que tout. Beaucoup. Beaucoup trop. Alors je pleure beaucoup trop. Tous les non dits je les pleure, Tous les cris je les pleure, Toutes les disputes je les pleure, Je pleure le ciel et les étoiles, Je pleure les "je t'aime" et les "tu n'es rien" Je pleure le monde et puis toute la vie, Je pleure toute ma vie. Et ça se brise à l'intérieur de moi. K.
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Les adultes indifférents
La petite fille abandonnée, Le petit garçon moqué, L'adolescent souffrant, Les adultes indifférents. J'aimerais que les grands, S'arrête quelques instants, Lève les yeux de leur ordinateur, Raccroche leur téléphone ne serait-ce qu'une heure. Parce que le passage des enfants vers les grands, Est beaucoup plus compliqué, Que ce que ce peuvent penser les gens, Comme si ils avaient oublié. Eux aussi sont passé par là, Mais pourquoi j'ai l'impression qu'ils ne s'en rappellent plus, Comme si une fée magique était apparu, Pour retirer de leur esprit l'enfance qu'ils ont vécu, Abracadabra. La petite fille abandonnée, Le petit garçon moqué, L'adolescent souffrant, Les adultes indifférents. K.
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Pourquoi es-tu parti?
Tu Étais Mon Seul Repaire. Ma bouée de sauvetage. Mon cœur tout entier. Mon pays. Le monde et l'amour qu'il portait. Mon amour. Ton amour. Notre amour. Ma vie. Mon soleil et ses planètes. Ma galaxie. Mon univers. Alors je te le demande. Pourquoi es-tu parti ? Je t'aime et putain ce que tu me manques. J'ai mal, si mal. Alors sache que si je ne te suffisais pas je suis désolé. Je tient à m'excuser pour ce que tu as dû endurer. K.
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Amour à sens unique...
Tout le bonheur du monde, Se reflétait dans tes yeux. Dans mes doigts s'entremêlent tes cheveux. Et le monde imaginaire que je me créait avec toi. Parce que la réalité était là, J'étais amoureux, Mais toi tu ne me connaissais pas. K.
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...
Un jour, peut être même dix ans plus tard, tous les gens qui m'ont fait pleurer, m'auront abandonné, ne m'auront pas respecté, m'auront humilier et anéantis, viendront s'excuser, et me supplieront de les pardonner. Un jour, je serais forte et aimé pour ce que je suis. Un jour j'assumerai la personne que je suis, un jour je m'aimerais. K. Travail jusqu'à que même la plus lointaines des étoiles te reconnaissent. Travail jusqu'à que le monde sois changer par la personne que tu incarnais. Travail jusqu'à que toi même, tu te penses mériter ce qui t'arrive et sois heureuse de ce que tu as réellement accompli. K. Espoir, est ton meilleur amis. Travail est ton allié le plus précieux. Compassion te seras toujours utile. Amour sera ta bouée de sauvetage. K. La vie est belle, il suffit juste d'arrêter d'être en colère contre sois même et le monde entier. Il suffit juste d'aimer et de s'aimer. Il suffit juste de sourire. K. Merci pour tout. Vraiment.
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Amour destructeur
Tu étais mes yeux, Tu étais mon cœur, Tu étais le monde, Et ces milles couleurs. Tu pouvais aussi, Me dire je t'aime, Autant que, Me crier des mots interdits. Notre relation, Était destructrices, Mais je ne pouvais rien faire, Devant tant d'injustice. C'était tellement dur, De devoir partir, Mais autant pour moi, Que Pour toi, Autant que pour ma survie, Que pour Ta Santé Mental, Il fallait que je parte Loin de toi, loin de nous, loin de tout ce que nous avions vécu ensemble, Pour à nouveau se reconstruire de toute cette destruction, Je t'aime Mais Il Le Fallait. Je t'aime, Mais continuer comme ça, Je Ne Pouvais pas. K.
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Malgré
Malgré tout le malheur du monde Malgré le tonnerre qui gronde, Je t'aime. Malgré l'océan qui se déchaîne, Malgré le sang qui coule dans mes veines, Je te hais. Malgré tout ce que tu as pu me dire, Malgré les mots que j'ai pu lire, Tu me manques. K.
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Amoureux
Quand je te regarde dans les yeux, Quand le ciel se teinte de bleu, Quand nos échange silencieux, Je tombe amoureux. Puis la vie nous prends la main, Puis les étoiles dansent sous nos cœurs brisés, Puis le monde permet de se moquer, De nos cœurs encore entrelacés. Parce que tu me manques beaucoup, Parce que je te reconnais partout, Parce que je veux encore d'un "nous", Je t'aime. Alors si seulement tu veux de moi, Je te promets de faire de mon mieux, Pour que tu puisses retomber amoureux, Parce que nous, toi, moi, Je t'aime. Je t'aime. K.
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La fin
Il était une fois, la fin. La fin de nous, la fin de tout. La fin de mes rires et de ton regard dans le mien. La fin du monde. La fin de rien. La fin de toi et moi entrelacé, Et de nos cries sous la pluie. La fin de mon bonheur et puis du tient. Il était une fois, toi et moi qui recommence. Il était une fois, moi qui m'imagine ce recommencement. Il était une fois, toi. Toi. Toi qui ne pleure pas. Toi qui ne souffre pas. Moi qui ne pars pas. Toi qui ne saute pas. Il était une fois, la fin. La fin de tout, de nous, de toi. La fin de tes rires et mon regard dans le tient. Il était une fois, la fin. La fin de ta vie. Et de notre histoire qui semblait infini. La Fin . K.
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Amoureuse d'un souvenir
Ma vie se résumait à des milliers de flocons de neige qui se posait sur mes joues déjà trempé de larmes. Alors seulement je me le demandais, qu'avais je fait de mal pour mériter cela ? Son regard me hantait, son sourire me hantait, ses blagues me hantait, ses câlins et son besoin d'affectation permanent me hantait, ses larmes que je prenais soin d'essuyer une par une en le réconfortant me hantait, son rire me hantait, chaque partis de lui me hantait. J'étais amoureuse d'un fantôme. J'étais amoureuse d'un souvenir. K. Photo en fond de moi huhuuuu
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...
Un jour, quelqu'un m'a dit qu'il m'aimait, et m'a fait promettre de ne jamais l'oublier. Un mois après, il est partit et m'a abandonné à ce moment où mon esprit et mon corps tout en entier criait l'amour que je ressentais pour lui, et la haine que je ressentais pour le reste du monde. Et pourtant, je n'ai jamais oublié. Comme ce goût salé des larmes et amer de l'abandon. De la honte d'y avoir cru. Je n'ai jamais oublié...
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Regarde le ciel parfois
Et puis parfois tu regarderas le ciel. S'il te plaît, regarde le ciel des fois, en pensant à moi. Regarde les étoiles qui sourient et la lune qui danse. Parce que je serais dans l'une d'elle, et je te promets que je souris. Tu auras un ciel avec des étoiles qui te font des sourires, et une lune qui danse. Une lune qui danse en mémoire pour nos soirées de folies et pour nos lèvres qui se lient. S'il te plaît, regarde le ciel des fois, je te promets que je souris. K.
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Parce que rien et tout à la fois
Je t'aime. Je t'aime parce que le soleil brille de mille feux. Parce que les feuilles virevoltent dans le vent. Parce que la pluie crépite sur le toit. Parce que le feu humide et bleu. Parce que la lune qui danse sourit la nuit. Parce que les morceaux de ciel cracher par les nuages. Parce que ma plume sur le papier. Parce que mes lèvres sur tes lèvres. Parce que le monde est à l'envers. Et que la fontaine pleure. Et puis il y a moi qui descend de cette arc en ciel de couleurs, De mon amour profond et de l'Univers entier. Parce que la vie le vaut bien, Et que tu es si beau avec tes cheveux et tes yeux, avec ta bouche sensuelle et ton regard qui pétille. Je t'aime parce que ça ne s'explique pas, Parce que rien et tout à la fois. Je T' Aime. K.
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Égaux
Une femme sur un banc était entrain de pleurer. Une femme dans sa douche, était entrain de crier. Une fille dans la classe se faisait harceler. Tout ça parce qu'elles ne voulaient pas s'épiler. Tout ça car elles n'aimaient pas les robes. Tout ça parce qu'elles voulaient voter donner leurs avis sans demander la permission à leur maris, leur père, leurs frères. Et surtout qu'elles ne voulaient pas se marier. Un garçon dans la rue, s'faisait traîter de PD, de mauviette, de fillette. Un homme au travail, ne pouvait pas parler sans que son collègue, ne commence à l'insulter et à l'envoyer valser. Deux mains entrelacés, pleines d'angoisse de se faire rejeter, tout ça parce qu'ils n'ont pas le droit, d'aimer Un autre garçon. Tout ça parce qu'ils sont gays Bisexuels Pansexuels, Et non comme tout le monde le voudrait. Une fillette se sens mal dans sa peau, elle est née dans un corps de petit garçon mais ne se sens pas à sa place, dans cette chemise et ses baskets trouées. Un homme n'ose pas avouer à sa mère qu'il est temps qu'elle arrête de lui offrir ses robes et de l'appeler {Dead name}, mais il sait que sinon, il fêtera Noël seul et dormira sous un pont. Un homme noir. Une femme arabe. Un garçon transgenre. Une fillette qui tient la main de sa copine et pense souvent à elle. Un humain qui ne tient pas vraiment, à être une fille mais être un garçon ne l'attire pas plus. Et cet homme là bas, Et cet enfant aussi, Et puis cette femme. Ne sont ils pas tous un peu similaire ? K. Nous sommes tous égaux, peut importe notre genre, sexualité, nationalité et façon de penser. Arrêtons d'avoir peur, arrêtons de rejeter, arrêtons d'insulter, arrêtons de devenir inhumains pour des gens qui sont au fond, beaucoup plus proche de nous qu'on ne le pense.
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5
194
...
Le soleil brûle nos peines et la pluie nous lave de notre haine. Pourquoi devrions nous choisir puisqu'il existe l'arc-en-ciel ?
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C'est pas facile à vivre
Essoufflée d'escalader la pente et le chemin du bonheur. Fatiguée d'échapper à mes doutes, mes colère et mes peurs. Lassée de courser, la belle vie et le grand amour. J'en peux plus de porter, ce monde et ce qu'il y autour. C'est pas facile à vivre, Les jours sont durs quand même. C'est pas facile à vivre, Les grandes joies et les petites peines. Je l'aime lui là bas, Elle, il et eux. Je comprends enfin ce que c'est, Que de te tomber amoureux. Quand je ferme les yeux, Les tiens se reflètent. Et quand je lève la tête, Je vois le ciel bleu. C'est devenu un évidence, C'est à toi que je pense. Quand je dors, je danse et éclate de rire, J'rêve de ton sourire. C'est pas facile à vivre. Les galères, et toute cette haine. C'est pas facile à vivre, Les gens qui s'aiment. Je dessine, je pense à toi, Je voyage, je pense à toi. Je roule dans la neige, je pense à toi. C'est ça l'amour. J'marche sous la pluie, je pense à toi. Et puis quand j'révise je pense à toi, Trop fatiguée je pense à toi. Et pour toujours. K. (Une sorte de poème, que j'ai transformé en chanson derrière et même si les paroles sont un peu désordre je crois que je l'aime bien !) Photos en fond de moi et de ma belle vue que je vois chaque matin et chaque soir ^^
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J'ai aperçu ton cœur
J'ai aperçu ton cœur, l'autre soir dans les rues. Marchant la tête basse et pleurant sa souffrance. J'ai bien vu, qu'il était devenu triste et morose. Qu'il y avait de nouvelles blessures, De nouvelles fissures. J'ai bien vu, que j'en étais la cause. Je crois que c'est ça qui a fait couler mes larmes ensuite. Même si je ne sais plus vraiment pourquoi je pleure. Est-ce à cause de ma fuite ? Ou juste parce que j'ai peur ? J'ai aperçu ton cœur, l'autre soir dans les rues. Et j'aurais jurée, que lui aussi m'a vu. K.
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Ça vous arrive ?
Ça vous arrive d'observer votre plafond en silence en vous demandant ce que vous faites encore là ? Ça vous arrive de vous réveiller la nuit et d'avoir envie de pleurer, d'hurler ? Mais de ne pas vouloir réveiller tout le monde alors vous laissez ces cris éclater à l'intérieur de votre gorge et se cogner dans les recoins de votre coeur ? Ça vous arrive de sentir et entendre votre âme se briser quand ces cris s'évanouissent ? Ça vous arrive de vouloir vous confier, de le souhaiter de toutes vos forces mais de ne jamais y arriver ? Alors les mots se coincent et vous brisent encore, un petit peu plus que vous ne l'êtes déjà. K.
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Je crois que le monde est si puissant
Je crois que le monde est si puissant que la beauté des étoiles peut faite pleurer. Que les nuages qui voguent dans les cieux peuvent faire danser. Que la vie et ses problèmes peuvent nous anéantir. Que l'Univers et les souvenirs, Peuvent faire sourire. K.
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Tellement mal
Ça vous arrive à vous aussi d'avoir tellement mal que vous n'avez même plus la force de respirer, de bouger, de fermer les yeux ? Quand la souffrance intérieur est tellement puissante que ça devient de la souffrance physique ? Quand tu es tellement fatigué de te lever le matin que tu en viens à louper une semaine de cours ? Ça vous arrive d'être tellement lassé et épuisé de faire semblant et de sourire quand on a juste envie de pleurer que tu n'y arrives même plus ? Ça vous arrive de penser au futur, de voir ce tunnel sans fin, où tout n'est que pénombre et abandon ? Quand t'en as tellement marre de penser à la personne qui t'a abandonné que tu en viens à la supplier par message de revenir ? Est-ce que un jour, je me dirais que la vie vaut vraiment la peine d'être vécue ? Que le monde pourra recommencer à tourner normalement ? Mon coeur à battre et retomber amoureux ? Que je pourrais rire aux éclats et sourire sans me forcer à le faire ? K.
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...
Je t'aime inconditionnellement...
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Je te le promet
Je te le promet. Je t'emmènerai là où tout est plus beau, où il n'y a que sourires et petites peines. Je t'emmènerai là où il n'y a pas les guerres, les bombes ou les humains destructeurs. Je te promets que quelque part, existe un autre monde, un monde merveilleux. Mais je crois que ce monde, c'est juste d'être auprès de toi. K.
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L'amour est plus fort
L'amour est plus fort que ce monde misérable où guerres et pollutions font battre le cœur fatigué de la Terre. L'amour est plus fort que le ciel et ses milliers d'étoiles qui dansent avec la Lune solitaire. L'amour est plus fort que le Soleil, qui n'est que feu et flamme. Qui n'est que lumière et destruction. L'amour est plus fort que les océans ravageurs, qui hurlent leur désarroi et leur désaccord. L'amour est plus fort que la galaxie qui est infinis, qui nous fait sentir fourmis. L'amour est plus fort que nous, sans doute, mais si nous créons cet amour plus fort que tout, alors nous serons rois de cet Univers sans fin. K.
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Le vent se lève
Et le vent se lève. Le vent qui m'emmènera auprès de toi. Le vent, qui, avec toute la force de ces pauvres poumons fatigués, arrivent à souffler de toutes ses forces. Le vent qui portera le bonheur et me l'amènera. Le vent se lève... K.
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...
Tu me manques.
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Comprendre
Comprendre. Il faut toujours comprendre. Comprendre pourquoi il ne faut pas dire bonjour aux milliers de passants dans les rues. Comprendre pourquoi on ne peut pas aider le monde entier. Comprendre pourquoi les étoiles ne brillent que la nuit. Comprendre qu'il ne faut pas rire aux éclats à chaque phrase et sauter sans arrêt dans les flaques quand il pleut. Comprendre que les filles sont moins bien traité que les hommes et c'est comme ça. Comprendre que des gens se font la guerre et qu'on ne sait pas vraiment pourquoi. Comprendre pourquoi papi n'est plus là et où est ce qu'il est maintenant. Comprendre que la vie c'est dur. Comprendre pourquoi et comment, tout le temps. Moi je ne veux plus comprendre. Je veux juste faire ce qui me semble juste sans réfléchir avant. Faire le tour du monde sans rien prévoir et dire bonjour à tous les gens que je croisent si j'en ai envie. Pleurer si j'en ai le besoin sans raison particulière. Crier aussi. Et puis sourire, tout le temps, à la moindre occasion et étincelle de bonheur. Je veux vivre sans me poser toutes ces questions. Tant pis pour votre compréhension moi je fais, et ça me va comme ça. K.
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Je t'aime
Je t'aime. Je suis incapable de t'oublier parce que tu es là, à me regarder. Tu me fais vivre dans l'espoir. Tu fais ta vie sans moi mais tu reviens et tu en fais partie quand même. Tu me manques. C'est inévitable. Indéniable. Je le sais et ça me tue. J'ai l'impression que tu veux renouer avec moi. Que tu recommences à me regarder, et même des fois, à me parler. Subtilement, quand l'envie te prends de venir parler à mes proches. Tu en profites. Ça me bouffe. Ça me ronge de l'intérieur, me tue à petit feu. Parce que ouais je t'aime comme une folle et je suis incapable de t'oublier. Et pourtant je te déteste. Ce que tu me fais ressentir va au delà de l'amour. Et je te hais, pour la souffrance que j'ai vécu quand tu es partie. Je sais pas. Je sais plus. Je t'aime et putain je te hais. Je t'aime et même si tu m'as brisés je suis née pour ça. Mon cœur bat pour ton regard et ton sourire. Je t'aime. K.
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4
200
Souvenirs...
J'me souviens de nos mains entrelacés et de nos balades dans le parc. J'me souviens de nos fous rires et nos sorties au cinéma. J'me souviens. J'me souviens des heures que tu passais à me décrire ton monde imaginaire et de moi qui t'ecoutait un léger sourire aux lèvres. J'me souviens de ton regard qui croisait le miens quand on osait pas venir se voir, de tes sourires timides et puis de tes francs éclats de rire aussi. J'me souviens tellement de ta manière de percevoir la vie, et tes danses ridicules. J'me souviens... K. Le temps efface beaucoup de choses mais les réels moments qui restent gravé sont les grandes joies, les petites peines et ces petites routines de la vie qui font qu'elle est si belle. K. Je crois que je t'aime. Je ne suis pas sur de me souvenir de notre rencontre et pourtant je me rappelle avec précision ce regard que tu m'as jeté pour la première fois, et le premier sourire que tu m'as adressé. K. Écrire permet de sauvegarder des moments que l'on veut graver. Cela permet juste de les sauver de la tempête qu'est le temps qui passe. K.
7
4
169
Vous êtes un grain de sable et je suis le désert
Vous êtes le ciel, et moi je suis là Terre, Vous êtes de ce monde, et je suis l'Univers. Vous êtes le pigeon, et moi je suis le faucon, Vous êtes le chaton, et je suis le lion. Rien ne pourra être plus beau que mon commencement. Vous nous pourrez rien faire pour me stopper. Je m'en fous de vos commentaires, vos insultes et votre jugement. Rien ne m'empêchera de briller. Vous êtes un grain de sable et moi je suis le désert, Vous êtes une rivière et je suis la mer. Vous êtes les guerres et moi je suis la lumière, Vous êtes une étoile et je suis Jupiter. Rien ne sera plus beau, que ma détermination. Vous ne pourrez rien faire pour m'arrêter. Et tout ce que vous faites pour me balayer et me piétiner, Moi j'en fais une chanson. Vous êtes l'ordinaire et moi l'imaginaire, Je créer des monde entier, À l'encre de ma plume Moi j'invente la Lune, et je la rallume... K.
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184
Bonheur
Son bonheur n'était qu'illusion. Ce bonheur là, avait disparu un soir d'automne quand il était partit. Il l'a éclatée en des milliers de petits morceaux, explosant autour d'elle, comme la fine pluie qui tombait et mouillait son visage et accompagnait ses larmes. Il a emmené un bout de son âme dans sa valise, et c'était le bout qui la rendait heureuse. K. Le seul réel voyage qui nous transforme c'est quand on change de regard. K. Les gens s'ennuient parce qu'ils ne changent pas assez souvent de vies. K. Quand on était petit, On pensait que les grands étaient libres. Mais on ignorait tout le reste. Le permis, c'était pour faire le tour de la Terre et découvrir des pays nouveaux chaque jour. Pas pour aller bosser tous les matins dans la ville voisine. L'argent c'était pour gâter ces proches et s'offrir des bonbons et cadeaux chaques jours. Pas pour payer des impôts et remplir le frigo. Peut être que la vrais richesse c'est juste de savoir rester enfant tout étant grand. K. Tu étais mon ciel. Tes yeux étaient ma seule raison de me battre, ton rire la seule raison d'être heureuse. K.
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2
143
L'amour mensonger
Nous deux, c'était évident. On s'aimait si fort, si loin, sans jamais avoir l'audace de s'embrasser. On s'est aimé en silence, en secret. Espérant chacun de notre côté sans jamais s'avouer notre amour. Et puis on s'est perdu de vue, et on a continué à s'aimer malgré tout, malgré rien, malgré les non dits et la distance. C'était écrit dans les étoiles.... Mais aucun de nous ne savait lire les constellations. C'était évident mais nos lèvres n'arrivaient pas à se toucher, et à enfin, se lier... K.
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Ma vie en puzzles, combler par le pouvoir des mots... K.
Pardonnez moi de crier, pleurer, de souffrir puis de sourire. J'essaye juste d'extérioriser les maux coincés dans ma gorge. K. Un jour on m'a demandé si je l'aimais. Je n'ai rien répondu, parce que je trouvais ça tellement évident qu'aucun mot n'aurai pu décrire cet amour que je lui portais. Parce que oui, je l'aimais. Je l'aimais autant que le ciel est bleu et que le soleil brille le jour pour être remplacé par la lune la nuit. Je l'aimais plus que tout, que la vie, que ce monde, que moi même. C'était destructeur, mais rien n'aurait pu m'en empêcher, c'était mon oxygène. Et personne ne prive quelqu'un de son oxygène. K. Souvent, quand tu me demandes si je vais bien, je réponds par l'affirmative. Mais quand tu répètes ta question, avec plus d'insistance dans la voix, je ne peux que baisser la tête en haussant les épaules et en tentant désespérément de cacher mes yeux qui me trahissent à coup de larmes. K. Je voulais sourire, mais à chaque fois que j'essayais ton regard apparaissait et effaçait toute trace de joie en moi. K. L'amour est imparfait. Tu es imparfait et c'est parfait comme ça, car je suis imparfaite également, et c'est dans notre imperfection mutuelle que nous trouverons la perfection. Et alors on pourra être parfaitement imparfait ensemble. K.
7
7
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C'est le bordel dans ma tête et le bonheur dans mon cœur, K.
Ça hurle dans sa tête, Ça pleure dans son cœur, Mais c'est le silence dans sa vie. K. Je me suis rendue compte que mon pire ennemie était moi même et ce que j'étais capable de m'infliger pour me punir. K. La vie ce n'est qu'un enchaînement d'épreuves à gagner, de défis à relever. En vérité, ce n'est pas grave d'échouer. Car chaque échec me motive et me pousse à faire toujours plus pour pouvoir à nouveau essayer, puis réussir. K. La vraie richesse de la vie c'est de tomber mais de se relever. C'est d'échouer mais d'ouvrir grands les bras à ses erreurs pour pouvoir les enlacer, et nous faire retenir la leçon. K. Je crois que je t'aime. Je pense que j'arrive à y croire encore. Un peu moins fort mais j'y crois encore. Je crois que je t'aime... K.
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4
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L'écriture
L'écriture c'est les larmes qui montent mais qui ne peuvent pas couler. L'écriture c'est l'âme qui répond au coeur mais qui ne sait pas parler. L'écriture c'est l'encre de nos veines, et les racines de nos vies. L'écriture c'est le cœur qui éclate et laisse tomber les masques. L'écriture c'est pleurer, crier, sourire, hurler, rire. L'écriture c'est le vent qui souffle le soir, la pluie qui se fracasse contre la vitre de la voiture, c'est les étoiles qui brillent, la lune qui danse, les oiseaux amoureux et l'océan destructeur. L'écriture c'est un tout et un rien. Quelque chose qui ne peut s'attraper à la main, mais qui parle aux cœurs et fait monter les émotions, pour montrer au monde qu'il n'y a rien de plus beau. C'est la vie à l'encre d'un stylo.
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Toute ma vie
Toute ma vie j'ai pleuré les gens qui étaient partis, ceux que j'avais perdu, que j'aimais mais dont l'amour n'était pas réciproque. Tout ma vie j'ai attendu, sans me rendre compte que, sous mes yeux, les bonnes personnes étaient là. Des gens qui sont là depuis des années et qui n'ont pas besoin de bonnes paroles, de discours pleins d'amours ou de folies entre les mots envoyés pour me prouver qu'ils sont là et qu'ils tiennent à moi. Je me suis juste rendue compte que la vie c'est pas d'attendre les gens qu'ont a perdu, c'est de regarder ceux qui sont toujours là et de profiter de leurs présences avant qu'ils ne partent à leur tour. Et puis y en aura d'autres qui resteront, jusqu'au bout, jusqu'à la fin de ce monde et plus loin encore. Il n'y a pas de secret pour deviner qui sont les bonnes personnes pour sois. Quoiqu'il arrive, le temps saura ce qu'il a à faire... K.
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J'ai toujours été
J'ai toujours été celle qu'on oublie facilement, qu'on jette à la poubelle quand on en a plus besoin, qu'on laisse prendre la poussière sur une vieille étagère quand on se rend compte que j'aime un peu trop fort. J'ai toujours été celle qui danse, sourit, chante et éclate de rire même quand ça va pas, comme pour me persuader et me prouver que je sais encore le faire même quand mon âme est brisée et mon cœur piétiné. J'ai toujours été celle qui va vers les autres quand elle les voit seul, qui déteste voir les gens tristes et qui compatis et aide toujours, quoi qu'il arrive. Peut être un peu trop chez les autres et pas assez pour moi. J'ai toujours été celle qui rêve en levant les yeux vers le ciel, me faisant des films aussi fabuleux qu'effrayant, imaginant des univers et mondes nouveaux, loin des ces réalités. J'ai toujours été celle qui travaille pendant des semaines sans m'arrêter, puis d'un coup être au fond du trou et tout arrêté, comme si rien n'avait existé. J'ai toujours été celle qui se motive le matin et va super bien, puis sans que je comprenne vraiment pourquoi, devient triste à en crever. J'ai toujours été celle qui n'abandonne jamais, même quand j'en meurs d'envie, je me relève parce que la vie vaut mieux que ça. J'ai toujours été celle qui donne milles conseils aux gens qui passent, alors que je suis incapable de m'aider moi même. J'ai toujours été celle qui aime trop vite, trop fort, et m'attache tellement que les gens en prennent peur. J'ai toujours été celle trop démonstrative un coup, et pas assez le lendemain. J'ai toujours été cette fille qui aime inventer et créer, écrire. Et lire aussi, m'évader loin de ce monde, m'inventer une vie plus douce, quand rien ne va. J'ai toujours été cette fille un peu perdue, aimante et souriante, dynamique et motivée à rendre le monde meilleur. Une adolescente qui avance malgré tout, et qui apprécie chaque petits bonheurs de la vie. K.
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Tu es
Tu es le monde qui s'arrête de tourner. Tu es la vie passé à douter et à pleurer. Tu es la tempête de neige en hiver. Tu es la canicule en été. Tu es les étoiles qui brillent si fort que je me mets à les détester. Tu es mes pas qui courent et frôlent le béton de ma rue. Tu es une porte qui claque. Tu es le complexe jamais oublié. Le cœur jamais réparé. La fissure jamais ressoudée. Tu es rien quand je parle de toi. Tu es tout quand je rêve de nous deux. Tu es l'amour et la haine à la fois, Tu es la mort de mon bonheur et la fuite de mon sourire. Tu es le "je t'aime" que je te disais et le "tu n'es rien" que tu m'as jeté à la figure. Tu es la fuite et l'abandon. Tu es le verglas sur la route. Tu es la pluie un soir d'été. Tu es la fin de ce monde triste. Tu es les livres montés au grenier. Tu es les photos prenant la poussières. Tu es les biblots oubliés. Tu es les cris, tu es les larmes. Tu es la seule personne pour qui je me suis jamais battu, Tu es l'oubli, la mort, l'amour, la haine, la vie, le monde, les larmes, les lames, les sourires et les regards, les étoiles, la lune solitaire, les rêves, les gens, le visage qui me hante, tu es le chagrin d'amour jamais effacé, La peine de coeur jamais oublié, Les milles morceaux de mon âme jamais recollé. Tu es tellement tout et rien à la fois, que je n'arrive plus à différencier, Qui Tu Es Vraiment. K.
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Je pensais
Je pensais être ton âme sœur, ta moitié. Je pensais être cet amour dont tout le monde parle, celui qui guérit les blessures du passée et répare les fissures des âmes. Je pensais être la fille parfaite pour toi, la fille que tu aimerais jusqu'au bout, pour qui tu aurais tout sacrifier. Je pensais être le baume réparateur, le pansement sur ton cœur. Je pensais être ton tout, ton monde. Je pensais être amoureuse d'un garçon qui m'aimais encore plus, mais la vie est une blagueuse et une arnaqueuse, Un peu comme toi. K.
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Rupture
Le pire c'est le matin. Quand tu remets doucement les pieds sur Terre et que tu te rappelle que c'est finis. Et tu revis la rupture une deuxième fois. Jusqu'à que le prochain réveil arrive et que tu le revives, indéfiniment...
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Mensonge
Ce serais mensonge de te dire que je t'ai oublié. Ce serais mensonge de te dire que tu ne me manques pas. Ce serais mensonge de te dire que j'ai assumer. Ce serais mensonge de te dire que ça va et que je tiens le coup, depuis ce jour Où Tu Es Partit... K.
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La vérité
"La vérité ? Tu veux la vérité ? Et bien la vérité c'est que j'en peux plus ! La vérité c'est que chaque matin je me lève en me disant que ce n'est qu'une journée parmis tant d'autres, qu'un jour de plus à sourire pour de faux et à faire semblant. Mais chaque soir je me couche en me disant que ça ne peut plus continuer comme ça parce que je suis vide et trop pleine en même temps. Parce que je t'aime et que je te déteste. Parce que je n'arrive pas à rentrer dans ces putains de cases de la société. Parce que je déteste les gens et leurs règles à la con et que ce monde est remplis de haine et d'hypocrisie. La vérité c'est que j'ai besoin de me barrer d'ici. La vérité c'est que j'en ai tellement marre de cette vie que j'envisage un putain de sucide ! La vérité c'est que je suis fatiguée de tout encaissé sans rien dire. Fatiguée de faire semblant et fatiguée de ne plus me supporter, moi et ce monde à la con. La vérité c'est que je veux redevenir moi même et t'aimer sans ces limites qu'on s'impose... Mais c'est impossible n'est-ce pas ?" K.
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L'amour
Je me suis moi même surprise à recommencer à m'attacher. À aimer. Trop fort sans doute, beaucoup plus que je ne le penses et que je ne le devrais Trop vite, sans vraiment que je m'en aperçoive, cela me tombe dessus. J'observe ses yeux rieurs et sa bouche pulpeuse. J'apprécie son rire et ses regards moqueurs. J'attends un message ou un câlin. Et sans que je le remarque vraiment, je me mets à penser à lui De Plus En plus. Et sans que je ne fasse vraiment attention il se met à me manquer Et Je Me Mets À Espérer. Je me fais des films et rêve de lui Et D' Un Coup Me Voilà Amoureuse. C'est ça l'amour. Il te tombe dessus au moment où tu t'y attends le moins. Et ça te surprend tellement que quand tu t'en aperçois, Tu ne peux plus T' En Débarrasser. K.
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Tu n'es plus
Je m'en fous si je tombe à terre, si je tiens pas le coup. Si le monde s'écroule, si je te revoie pas. Rien n'importe plus, que ton sourire. Que tes bras qui m'entourent, quand le ciel est bas. Est-ce que le monde à une telle importance ? Quand la personne qui nous portait n'est plus. Est-ce que tu me voies pleurer ma souffrance ? Depuis que tu as mis fin à mon insouciance. Je sais que le monde est toujours beau. Qu'il n'a pas tellement changer aux yeux des autres. Mais pour moi, tout est différent, La vie et le monde ne sont plus rien, sans ma maman. Est-ce que cette vie vaut la peine d'être vécue ? Quand la personne qui nous portait n'est plus. Est-ce ce que tu vois mon monde s'écrouler ? Depuis que mon bonheur à été battu. J'ai bien conscience, que la haut tu me dis pardon. Que tu es toujours là, toi et ton regard brun. Je m'en fous des milliers de messages me disant que ce n'est pas un abandon. La seule chose que je retiens, c'est ton parfum. K.
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Flocons de neiges
~ Je ferme les yeux et tire la langue pour essayer en vain, de goûter un flocon de neige. Des morceaux de nuages qui quittent le ciel pour rejoindre la terre ferme et le monde malheureux. ~
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Ces insultes
Chaque jour, je me dis que préférerai qu'on me frappe, Plutôt que ces mots puissants qui m'échappent. Chaque je me dis que c'est bientôt terminé, Que les insultes finiront par cesser. Jalousie, haine, terreur ou inconscience, Je n'ai jamais compris ce que les poussent à détruire mon enfance. Pute, salope, crève tu sers à rien, Sans le savoir, ils signent ma fin. Chaque insulte dessine sur mon cœur, De terribles peintures. Chaque mot trace sur mon corps, De terribles blessures. Je ferme les yeux et me laisse tomber, Le vide m'engouffre sans me rattraper. Je regarde ce monde une dernière fois, Cette vie où je n'y suis pas. K.
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La vie
La vie nous met souvent des stops qui nous font tomber. Mais il y a toujours quelque chose à quoi de raccrocher. La musique, la danse, la course ou le dessin, L'inspiration est un tableau qui se peint à la main. La vie est une toile vierge de couleurs, Qui au fur et à mesure, ce remplis de notre cœur. Nos émotions éclaboussent et crient notre douleur, Ce n'est plus ce blanc neige mais des milliers de nos peurs. La joies, la colère, la haine et l'amour, Chaque émotion trace à la main ces contours. La terreur, l'adrénaline, les rires et les larmes. Créer petit à petit, notre vie et nos armes. Des épées, des couteaux, et des tranchants sanglants. Défendent nos cœurs, de toutes douleurs. Mais bien sûr, ces couleurs ne sont qu'illusion, Car nos âmes sont brisés et le resteront. Chaque blessure, chaque coup est indélébile, Nous marquent pour toujours, nous rendant fébrile. Mais la musique, la danse, la course ou le dessin, Seront toujours là pour nous tendre la main. Mon soleil à moi, c'est le pouvoir des mots. Qui m'aide et m'entraîne toujours plus haut. Un cahier, une plume et le monde est plus beau. Je retrace ces contours à l'encre de mon stylo. K.
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Chère Nuage
Chère nuage, toi qui aime tant voguer et voyager dans les cieux, j'aimerais t'adresser cette lettre. Tu es l'habitation de rêve de tous les enfants, toi, petit duvet cotonneux et doux. Tu vole dans le ciel, parcours les océans, visite le monde sous toutes les formes différentes. Tu peux te transformer en bateau, en tigre, en licorne et château. Toi petit nuage rêveur, qui cache la lune silencieuse et chasse le soleil moqueur. Toi qui gronde toute ta colère et ton désarroi avec ton tonnerre et tes éclairs. Toi qui pleure ta souffrance et ta peine avec tes torrents de pluies. Toi, petit morceau de coton, j'aimerais t'adresser ces mots, pour te remercier d'être toujours là, où que je sois. Chère Nuage... K.
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Des cris
Des cris. Des cris. Des cris. Je les entends cogner à l'intérieur de moi. Ils s'entrechoquent dans ma gorge, coulent dans mon estomac, bloquent mes poumons. Des cris. Des cris. Des cris. Ils sont là tout le temps. Jamais ils ne s'arrêtent. Des cris qui m'insultent, qui me dévalorisent, qui me disent quoi faire et qui me rabaissent. Des cris. Des cris. Des cris. Je ne peux pas les ignorer, ils font trop de bruits, et moi, je fais trop attention à ce qu'ils me disent. Des cris. Des cris. Des cris. Qui me font doucement sombrer dans la folie. K.
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Le manque
Le manque, définition : Fait de manquer, absence ou grave insuffisance d'une chose nécessaire. Tu étais beaucoup plus qu'une chose nécessaire. Tu m'étais indispensable. Et maintenant que tu es partit, ce manque là je le ressens, en versions tellement, tellement plus puissante. Chaque secondes, chaques minutes, chaques heures, chaques jours, chaques semaines sont comptés pour savoir combien de temps je peux encore tenir sans t'avoir à mes côtés. 5 mois et 9 jours. Et je compte, pour savoir combien de temps je parviendrais à ne pas couler à mon tour... K.
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Prendre le temps
J'ai besoin de prendre le temps. De prendre le temps pour moi, pour mon corps, ma peau, mes cheveux, ma santé mentale. De prendre le temps pour avoir du recul sur ma vie, pour pouvoir me poser les bonnes questions, pour savoir ce que je veux pour le futur. De prendre le temps pour crier sans que mes cris sois étouffés, de pleurer sans m'arrêter, de me libérer de toute cette pression que je ressens au quotidien. De prendre le temps de retrouver le bonheur, mon envie de faire des choses, de rire, de sourire, d'à nouveau faire confiance aux gens et à moi. De retomber amoureuse. Mais surtout, De me retrouver moi. Je me sens partir, couler et ne jamais revenir. Mais je ne veux pas que cela arrive, parce que je suis battante et je vais continuer à nager pour remonter à la surface. J'ai juste besoin de prendre le temps.
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Écrire
Écrire c'est déterrer ces émotions. Et il y a des moments où je préfère les laisser bien enfouis là où elles sont et me laisser croire que je les ai oubliées. K.
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Je te promets
Je te promets le monde coloré. Je te promet les nuages dans les cieux, voguant. Je te promets les étoiles pour te faire briller. Je te promets la vie sur un tapis volant. Je te promets mon amour à jamais gravé. Je te promets ce regard que tu n'as jamais eu. Je te promets l'Univers tout entier. Je te promets ces paroles entendues. Je te promets la vie, je te promets le monde. Je te promets le bonheur et le tonnerre qui gronde. Je te promets tes pas dansant quand la nuit tombe. Je te promets un voyage différent à chaque seconde. K.
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Ton silence
Ton silence n'avait qu'un seul but : te venger. Tu voulais me faire souffrir, m'ignorer, me réduire à néant en me faisant croire que tu m'avais oublié. Tu ne me regardais plus. Tu ne me parlais plus, Et moi Je m'enfoncais dans ma culpabilité. Je souffrais, Je pleurais, Je criais. Je criais alors que personne n'était là pour m'entendre. C'est ton silence qui me répondait. Tu étais partis, et tu avais emmené un morceau de mon cœur, de mon âme. Je n'étais plus rien. Rien n'avait plus d'importance que tes yeux. Que les souvenirs qui m'écrasaient quand je fermais les paupières. Rien ne vais plus la peine, Que Ton Silence. Je n'étais plus que ton silence. K.
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Il y aura toujours
Il y aura toujours des moments où ça ira pas, comme maintenant. Des moments où je me roulerai en boule sous ma couette, sautant des cours pour pleurer toute une journée. Il y aura toujours des moments où j'aurais envie de crever. Des moments où je serais lassée de vivre, de manger, de dormir, de voir des gens, de travailler. Il aura toujours, je dis bien toujours, des moments où je vais vouloir abandonner. Mais ces moments là, on les oublie avec le temps, pour ne garder que les bons souvenirs. Les rires. Les amis. La famille. Les soirée à danser. Les sourires. Les regards. Les rencontres. Tous... Tous ces moments là, ils comptent. Pas les autres. Je me promets juste de ne pas m'écrouler et ne plus avancer. Parce qu'il y aura toujours ces moments, ceux où ça ira mieux. Ceux qui te font réaliser que la vie n'est pas si misérable. Toujours... K.
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Et tu dansais...
Et tu danses. Tu danses avec grâce et colère. Chaque pas, chaque mouvements, sont un prétexte pour exprimer ce que tu ne peux dire avec des mots. Tu ne sais pas parler, Tu ne sais pas aimer, Tu ne sais pas être heureux. Tout simplement parce qu'on ne te l'a jamais appris. Mais quand tu danses; Tu parles, Tu aimes, Tu es heureux. Quand tu danses, Tu vis. Je ne te demande pas de m'aimer en retour, De m'aimer autant que tu aime la danse et cette façon que tu as de t'exprimer. Parce que je te comprends. Mais je te demande juste d'accepter cet amour. D'accepter l'admiration, l'affection et tous ses sentiments que je ressens envers la personne que tu as été, que tu es, que tu vas devenir. Continu de danser, De vivre, Comme tu sais si bien le faire, Car je sais que c'est seulement de cette manière que tu arrives à être heureux. Et moi, j'arrive à être heureuse seulement quand toi tu l'es. Je m'excuse pour le mal que je t'ai fait, Mais je t'aime. Et ces choix qui t'ont tant éloignés de moi ont été fait seulement par amour. Et tu dansais... K.
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Le silence
Les larmes, permettent d'exprimer notre chagrin. D'extérioriser notre peine. De se vider de notre mal être. Crier permet de montrer au monde notre colère, notre souffrance, notre désarroi. Et il y a le silence. Le silence qui en vérité, hurle dans notre cœur. Il nous ravage, nous détruit, ce silence. Mais on le laisse nous envahir. On le laisse se déverser jusqu'à polluer la moindre goûte de notre sang. C'est un poison. Un fois qu'il est installé, il reste. Jusqu'à nos enterré dans notre solitude. Il est immortel, le silence, et c'est peut être pour ça qu'on l'accepte. K.
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Et mon monde s'écroulait
Les nuages dansaient, Le ciel étincellait, Le temps pleurait, Le monde s'écroulait. Tu m'as dit un jour, Que la vite était belle, Seulement quand on le voulait. Alors j'ai souris, parce que je t'aimais et que j'aimais la vie. Tu voulais vivre, Tu voulais être heureuse. Mais tu ignorais qu'à ce moment là, L'Univers devenait poussières. J'ai essayée de te garder précieusement. De te sauver. Mais tu as finis par te noyer, Dans ce dénis et cette bulle que tu te créais. Tu as sombré dans la folie, Et mon cœur s'est brisé. Tu as sombré dans ta rêverie, Et tu m'as oublié. Les nuages dansaient, Le ciel étincellait, Le temps pleurait, Le monde s'écroulait. Et mon monde, S'é crou lait. KAYSEE.
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Sombrer
J'en peux plus. J'en peux tous simplement plus. S'il vous plaît, ne m'en voulez pas si je finis par abandonner, et par arrêter d'avancer. Ne m'en voulez pas si je finis par me rouler en boule par terre pour pleurer. Pour sombrer, Définitivement. Pardonnez moi, je vous assure que j'ai essayée. Mais je n'y suis pas arrivée.
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Tu me manques
Tu me manques. J'ai pas envie de savoir si ce manque est réciproque. J'ai pas envie de savoir si toi aussi tu as l'envie folle de me serrer fort dans tes bras quand tu me vois. Si tu as envie de m'embrasser et d'oublier notre passé si douloureux. J'ai pas envie de savoir si tu m'aimes encore de cet amour destructeur. Je voulais juste que tu saches que toi, tu me manques. Que je ne peux vivre sans toi, mais je sais que je n'ai pas le choix. Si tu vois ce message, s'il te plaît ne réponds pas. Même si tu te reconnais entre ces mots, ton silence sera mieux que n'importe quels mots pour parvenir à t'oublier. Je t'aime. Et tu me manques. Mais c'est trop tard, on ne pourra plus revenir en arrière. Merci pour tout, K.
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Il était une fois
Il était une fois, une petite fille. Une petite fille malheureuse. Une petite fille avec le ventre vide. Une petite fille devant faire face à la haine injustifiée. Une petite fille portant une étoile jaune. Une petite fille enfermée dans ce qu'on appel "ghetto". Une petite fille qui mourra sans jamais comprendre pourquoi. Une petite fille détestée tout ça parce qu'elle est juive. Il était une fois, un petit garçon. Un petit garçon malheureux. Un petit garçon avec les larmes aux yeux. Un petit garçon devant faire face à la haine injustifiée. Un petit garçon portant des bleus sur son corps. Une petit garçon devant survivre face aux coups de ses parents. Un petit garçon qui mourra sans jamais comprendre pourquoi. Un petit garçon détesté tout ça parce qu'il est née. Il était une fois, un bébé. Un bébé malheureux. Un bébé hurlant à la mort. Un bébé devant faire face à la haine injustifiée. Un bébé abandonné avant même qu'on lui ait donné une chance. Un bébé seul face au reste du monde. Un bébé qui mourra sans jamais comprendre pourquoi. Un bébé détesté tout ça parce qu'il est noir. Il était une fois, le monde. Le monde malheureux. Le monde souffrant de la pollution et des guerres des êtres humains. Le monde devait faire face à la haine injustifiée. Le monde bousillé par des êtres remplis de jalousie et de violence. Le monde face aux déchets et aux fumés noirs des usines. Le monde qui mourra sans jamais comprendre pourquoi. Le monde détruit tout ça parce qu'il ne peut pas se défendre. Il était une fois... K.
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Aurore
La vie est pleine de surprise. Il suffit juste de savoir les accueillir. C'est ce que tu me disais. Chaque fois que le monde t'envoyait une merde tu souriais et tu encaissais. Tu disais que ça allait passer. Que c'était une juste un obstacle à franchir. Je pensais que tu étais forte. Je pensais que tu étais incassable. Je pensais tellement de choses. Je pensais que je te connaissais, J'étais loins de m'imaginer à quel point c'était faux. Tu es le mystère qui restera sans solutions. Sans réponses. Je pensais que tu pouvais porter toutes la misère du monde sur tes épaules, que ça ne te ferais rien. Je pensais trop. Mais je ne disais jamais. Il suffisait que tu m'embrasses pour que tu fasses disparaître mes interrogations. Il suffisait d'un sourire pour effacer mes doutes. Tes yeux étaient et resteront la plus belle choses que l'univers est connu. Ton rire, tes cheveux, ton regard, tout en toi était un prétexte pour continuer à vivre. J'étais si loin de voir que toi, tu n'en avais plus, de prétextes. J'étais si loin de m'imaginer que tu allais mourir. Délibérément. Intentionnellement. Ma mère appelle ça un suicide. Moi j'appelle ça abandonner. Parce que la vérité, est là, tranchante, douloureuse, impensable et pourtant elle est là. Je n'étais pas suffisant. Je n'ai pas réussis à guérir ta douleur. Et tu as abandonnée. Tu m'as abandonné. Je suis... Désolé. J'espère que tu sauras me pardonner. Aurore, Je t'aime, inconditionnellement. K.
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Voler dans tes cieux
Voler était le rêve de la plupart des enfants. Voler était le moyen de transport des oiseaux. Voler était pour certains la meilleure sensation qui existe. Voler en avion. Voler en montgolfière. Voler à travers les nuages de ses rêves. Tu aimais voler. Plus que n'importe quelle personne sur cette planète. Tu étais attirée par le ciel... Non. Tu étais obsédé par lui. Je n'ai jamais compris cette passion que tu avais pour la lune. Pour les étoiles. Pour les nuages. Tu n'a jamais dit un mot à ce sujet. Te refermant sur le mystère de tes secrets. Puis, Le soir où j'ai appris que c'était ta mère que tu cherchais dans les cieux, Je suis allée te voir. Je n'ai jamais pu t'en parler, je n'ai jamais pu te réconforter, je n'ai jamais pu effacer tes larmes et ton chagrin. Parce que c'est ton corps, Inerte et sans vie, Que j'ai trouvé sur le parquet de ta chambre. Tu étais morte. Tu as rejoint ta maman qui te manquait tant, Sans jamais cesser de te battre contre les démons qui avaient pris possession de ton cœur. Sans jamais cesser d'avancer, à la recherche de la dernière pièce de puzzle. Je t'aimais, inconditionnellement. Et tu m'aimais aussi, je le sais. Mais l'amour maternelle est bien plus puissant. Tu as rejoint ta mère, Et tu m'as donner en échange, Cette obsession pour les étoiles, pour le ciel. Tu as pris ton envole, Et si tu es heureuse là haut, Alors je suis heureux également. Je t'aime. Ne l'oublie pas s'il te plaît. K.
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Mourir
Je me suis toujours demandé, À quoi cela servait, D'être née. De vivre. Nos parents nous mettent au monde en pensant crée une vie qui sera utile. Mais on est tous inutile. Nous ne sommes que poussières dans l'Univers. Nous ne sommes rien. Nos vies misérables ne servent qu'à combler ne serait ce qu'un instant le silence qui nous entoure. Le vide de la Galaxie. Nous détruisons tout. Nous ne sommes jamais content. On souffre et on rit alors que nous ne valons pas mieux qu'une vulgaire fourmis. Nous sommes même plus misérables qu'elle. Parce que la fourmis ne détruit pas. Elle ne vit pas. Elle survit. Nous sommes tous compléments cons. Parfois je me dis que si je mourais, Cela n'aurait aucun n'impacte. Et c'est vrais. Je ne sers à rien. Comme tous les êtres humains sur cette planète. Le soleil qui se couche et la lune qui se lève, Est bien plus importante que n'importe quelle tristesse, souffrance, joie et accomplissement que nous pouvons avoir. Vivre ne veut rien dire. La mort sonne comme une libération pour la planète. Cette Terre complètement détruite, par notre faute. Cette Terre qui n'a rien demandé, et qui va périr parce que nous sommes juste des incapables. Cette Terre malheureuse et souffrante, qui finira par Juste Mourir. Comme nous tous. K.
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Poussières dans l'Univers
Et tu marchais. Tu aimais ça, Marcher. Je n'ai jamais compris cette obsession, À vouloir marcher, Sans T'arrêter. Tu aimais courir aussi, Tu courais, Comme si, Le temps qui passe, Il fallait l'utiliser, Le Plus Vite Possible. Tu avais peur du temps. Tu étais terrifié par les secondes qui mouraient, Et qui ne revis, Jamais. Qui Ne Deviennent Que Poussières. Mais tu aimais tellement le gaspiller ce temps. Un paradoxe, jamais expliquée. Tu aimais, l'ignorer, et Jouer Avec Lui. Pour lui montrer, que parfois, C'était Toi Qui Décidait. Mais Ce que tu adorais Par dessus tout, Par dessus moi, C'était le ciel. Les Étoiles Et La Lune Solitaire. Cette lune, solitaire, Qui te rappelait, Ses souvenirs enfouit, Enfouit dans les cendres perdues, Gaspillée, Par Le Temps. Ses souvenirs qui t'ont À Ton Tour, Réduit à la poussière. Réduit à ce tas De cendres, Mélangé à ses souvenirs Oublié. Mélangé, À mon amour, Celui Que Je Te Portais. Celui que je te portes toujours. K.
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Si seulement tu étais encore là
À la recherche de mon identité, je vagabonde sur un chemin escarpé. Je tombe, je souffre, je me prends les pieds dans un tourbillon de non-dits et de silences déguisés. Je ne sais pas sourire, car personne ne m'a appris à le faire. Je ne sais pas aimer, car moi même je ne me sens pas entière. Je ne me déteste pas, je me suis indifférente. En revanche, je déteste ce vide que je ressens en moi. Une pièce manque à mon organisme. Mon cœur est un puzzle que personne n'a su achever, Parce que c'est toi qui l'avait, cette dernière pièce. Tu es partit de ce monde, tu t'es envolée, si haut, si loin, il y a si longtemps. Je ne me rappelle pas avoir été heureuse un jour. Ma vie est un enchaînement d'actions et de routine. Cela fait longtemps que j'ai arrêté de chercher la pièce manquante. Cela fait longtemps que j'ai arrêté de me retenir afin d'éviter de dévaler la pente. Je chute, sans jamais m'arrêter, j'ai cette impression de tourner en rond. Je tombe dans un trou noir sans fin, sans fond. Je me suis laissée enfermé dans la prison macabre et sans issue, de mes propres sentiments. Si seulement tu étais encore là, maman. K.
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Je suis désolée
Pardonnez moi. Pardonnez moi de ne pas être celle que vous auriez voulu que je sois. Pardonnez moi de ne pas faire toujours ce que vous voulez que je fasse. Pardonnez moi de ne pas me laisser me marcher sur les pieds. Pardonnez moi de ne pas ignorer vos petits commentaires. Pardonnez moi de ne pas être souriante chaque jour. Pardonnez moi pour mes crises d'angoisses qui se manifeste beaucoup trop pour vous sans doute. Pardonnez moi de ne pas toujours réagir comme vous l'auriez espérer. Pardonnez moi de ne pas toujours être heureuse pour vous alors que vous le méritez. Pardonnez moi pour mes notes pas toujours bonne. Pardonnez moi d'avoir cette rage qui bouillonne en moi. Pardonnez moi de me prendre autant la tête. Pardonnez moi pour ma mélancolie des jours gris. Pardonnez moi d'être positive même quand rien ne va. Pardonnez moi d'avoir cette énergie impossible à canaliser. Pardonnez moi cette passion à dévorer chaque livre qui se trouve sur mon chemin. Pardonnez moi à toujours vouloir remplir les lignes vides de mes carnets. Pardonnez moi de ne pas plaire à tout le monde. Pardonnez moi de vouloir abandonner parfois. Pardonnez moi de toujours garder un peu d'espoir au fond de moi. Pardonnez moi d'être terrifié quand le jour fait place à la nuit, quand la lumière fait place à la sombre terreur de mes cauchemars. Pardonnez moi de prêter autant d'attention aux autres. Pardonnez moi d'aimer autant la pluie. Pardonnez moi d'être une éternelle rêveuse. Pardonnez moi de trop douter, parfois. Je suis désolée. Désolée d'être moi, de ne pas être celle que vous voulez que je sois, de ne pas être parfaitement parfaite à chaque seconde. Je suis juste désolée, et j'espère que vous me pardonnerez. KAYSEE
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Je t'aime
Je t'aime. Je t'aime à en faire trembler le monde entier. Je t'aime d'un amour plus grand que la taille de l'univers. D'un amour qui me prends les tripes, me broie l'estomac, me retourne la tête. Je t'aime plus que mon cœur est possible de le faire. Je t'aime de tout mon être. Quand je te vois, tes yeux qui brillent, si expressifs me font t'aimer encore plus. Des yeux bleus. D'un bleus semblable à celui du ciel d'été, si beau, si coloré, si émouvant. Ton sourire, qui pourrait réchauffer n'importe quel coeur endormis, n'importe quelle âme qui rôde. Tes cheveux blonds, que j'aime tellement, que j'adore ébouriffés alors que tu as pris tant de temps à les coiffer. Tu es si attachant. Tous les êtres humains devraient être amoureux de cette gentillesse, de cette douceur, de cet amour que tu portes aux gens, de cette énergie, de cette sensibilité. Et puis il y a ce regard, qui m'est adressé. Un regard qui exprime tellement... Tellement tout... Je n'oublierais jamais cette façon que tu as de me regarder, si un jour, nous avons le malheur de nous perdre de vue. Cette façon là, que même ma mère n'a jamais eu. Ton rire, un rire tout sauf discret mais si communicatif. Avec une simple parole, tu pourrais mettre le monde à tes pieds. Mais ce n'est pas ce que tu recherches, c'est de l'amour dont tu as besoin. Un amour, celui que tu as temps quémander pendant toutes ces années, je te promets de te le donner. Ce cœur qui bat dans ta poitrine, est celui d'un adolescent qui a temps souffert, et qui souffre tant encore. C'est celui d'un garçon incompris, imprévisible, instable. C'est celui d'un enfant qui a été placé dans le monde des adultes trop rapidement, qui a encore besoin de grandir, mais, surtout, qui a tant d'amour à donner et qui reçoit si peu. Ce cœur là, il est en or. Il a doré avec ces années à souffrir, aussi étrange soit il. Et il bat, il ne s'arrête jamais de battre, pour défier la vie, cette tristesse, cette souffrance. Et je vais encore le faire battre pendant des années, car ce cœur là, je l'aime. Je t'aime. Je t'aime à en faire trembler le monde entier. Je t'aime d'un amour plus grand que la taille de l'univers. D'un amour qui me prends les tripes, me broie l'estomac, me retourne la tête. Je t'aime plus que mon cœur est possible de le faire. Je t'aime de tout mon être KAYSEE
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La Solitude
Je me sens seule. C'est un soir de plus que j'entame en pleurant. Mais aujourd'hui, c'est pire que tous, la solitude m'a envahis. Elle me sert le cœur, et me fait sentir atrocement mal. Ce soir, ma solitude c'est décuplée, car j'ai cette impression que je n'ai plus personne sur qui compter. On s'est lassé de moi, une nouvelle fois. Je ne suis jamais assez bien, jamais assez drôle, jamais assez aimante. Je finis toujours par tout détruire autour de moi, où que je mette les pieds, ça se finit de la même manière : je pleure. Mes proches respirent le bonheur, et avance toujours plus haut, toujours plus loin. Tandis que moi, je m'enfonce dans ma solitude, et tombe dans cette obscurité sans fin. Je n'ai pas touché le fond, la vérité c'est qu'il n'y en a pas. Ma chute ne s'arrêtera jamais, elle est éternelle. Comme ce sentiment atroce que je ressens. Cette solitude, est devenue ma seule et unique amie, confidente. Elle est devenue mon ombre. Une ombre, accueillante de surface, mais destructrice sous ce masque bienveillant. Et je tombe. Je continue inlassablement de tomber, dans le trou noir qui me mènera à ma perte. Ce trou noir qui m'ouvrira les portes enflammé de l'enfer. KAYSEE
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J'ai vu
Je suis une fille. Une adolescente parmis les milliers d'adolescents sur cette Terre. Une humaine parmis les millions d'humains sur cette planète. Un être vivant parmis l'infinis des autres êtres vivants dans cet univer. Et je regarde. Et je vois. Et j'observe toute cette vie qui peuple ce petit bout de l'immensité sombre qu'on appel espace. J'ai vu les étoiles, amies de la Lune, remplaçante du Soleil. J'ai vu les nuages danser dans le ciel, cachant les secrets de ce dernier. J'ai vu les arbres frémir et les feuilles murmurer quand le vent sifflait son mécontentement. J'ai vu les oiseaux voler vers une liberté, un avenir, toujours plus beau, toujours plus loin. J'ai vu des femmes se faire battre par leurs maris, et se taire face à la honte que leurs procurait les bleus. J'ai vu des couples s'aimer, beaucoup plus qu'il n'est possible et se détruire ensuite. J'ai vu des hommes chanceler, l'alcool coulant dans leurs veines et le malheur faisant battre leurs cœurs. J'ai vu des amitiés indestructible, que rien ne pourrait briser même pas ce sentiment que l'on nomme "amour". J'ai vu des adolescents brisés, que rien ne pourrait reconstruire, se laissant emporter par le temps. J'ai vu des tas de non-dits et de promesses non-tenu. Qui n'ont fait que retarder l'explosion de ces paroles qui finissent par tout casser sur leur passage. J'ai vu des enfants rires et chanter, sans se soucier de la misère du monde. J'ai vu des parents pleurer, la perte d'un bébé qui ne verra jamais le jour. J'ai vu des cœurs en morceaux, impossible à recoller. J'ai vu des yeux pleins de larmes, impossible à sécher. J'ai vu des coups pleuvoir, impossible à effacer. J'ai vu des sourires disparaître, impossible à faire revenir. J'ai vu des gens aller et venir. Des animaux se faire détruire. Le soleil se lever, Et des paupières se fermer. Du haut de mon perchoir, de mon abri cacher des regards, je ne me lasse jamais de regarder, La vie, peu à peu, laisser place à la mort. Je ne me lasse jamais d'observer, un sourire triste sur les lèvres, La solitude, semblable à la mienne, s'installer et ne plus jamais s'en aller. KAYSEE
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N'oublie pas
N'oublie pas. N'oublie pas nos sourires complices et nos regards entrelacés. N'oublie pas nos heures passées à s'écrire et à se téléphoner quand nous étions séparés. N'oublie pas ces mots échangés, qui m'avait permis de me construire, de m'aimer. N'oublie pas ces moments où je faisais exprès de "te bouder" rien que pour t'embêter. N'oublie pas que tu finissais par faire pareil, et qu'au final on revenait l'un vers l'autre, pour mieux se retrouver. N'oublie pas nos rires, nos délires et nos moments de folies. N'oublie pas nos câlins, et nos " je t'aime". N'oublie pas nos amis qui riaient et se moquaient de notre complicité, qui, montrait que l'on "était en couple". Ce n'étais pas de l'amour, mais c'était beaucoup plus que de l'amitié. Enfin si, peut être que l'on était amoureux, mais qu'on était trop fière pour se l'avouer. N'oublie pas cette soirée entre potes, qu'on avait finit par passée à deux, regardant les étoiles et en se confiant des choses que l'on n'avouera jamais aux autres. N'oublie pas ces larmes versées à deux, ce réconfort que l'on s'offrait. N'oublie pas que, j'étais là, pour te reconstruire après ce passé qui t'avais achevé. N'oublie pas lorsque j'avais pris ta défense, que j'ai crié sur un amis à nous car il t'avait fait souffrir. Que j'ai essayer de recoller les morceaux, juste pour te voir sourire à nouveau et effacer ces larmes sur tes joues. N'oublie pas que j'étais toujours là, pour toi. Pour tes sautes d'humeur, pour tes crises de larmes. N'oublie pas la manière dont tu calmais mes crises d'angoisse, mes peurs, mes colères. N'oublie pas mes yeux se reflétant dans les tiens, mon sourire quand je t'appercevais, la manière dont je te sautais dans les bras. N'oublie pas mon rire, mon énergie impossible à canaliser, mes blagues pourris, mes danses ridicules, mes câlins. N'oublie pas mon bonheur, et celui que tu m'apportais. Ne m'oublie pas moi, tout simplement. S'il te plaît, ne jette jamais ce livre que nous avons écrit à deux, celui qui conte notre histoire. Garde le fermé, pour toujours peut être, mais garde le... Dans l'espoir idiot mais immense qu'un jour, nous pourrons commencer un nouveau chapitre. KAYSEE
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Ça ne va pas.
Je n'ai jamais compris, pourquoi tu es partit. Et je sais que je ne comprendrais jamais. Je crois que c'est ça le pire, cette incompréhension. Elle me ronge, fait naître milles questions. Milles questions, qui n'auront jamais de réponses. Je ne vais pas encore raconter le passé. Écrire ce que tu me faisais, ce que je ressentais quand j'étais avec toi. Je ne vais pas encore raconter ce que tu m'as dit. Toutes ces paroles qui resteront gravés dans mon esprit. Ni tes rires, tes je t'aime et tes câlins. Non. Je ne suis pas là pour ça. Aujourd'hui, c'est le présent. Ce qui me tue à petit feu, c'est l'impression que tu donnes. Cette impression qui me fait penser que tu tiens toujours à moi. Tes regards, tes silences, tes coups d'oeils. Mais putain, pourquoi tu m'as laissé comme ça ?! Si seulement je savais au moins la raison... Y en a t'il une ? Si seulement je ne nageais plus dans ce brouillard infini. Ce brouillard, qui m'empêche d'apercevoir l'autre bout du tunnel. Je continue à avancer. Les joues trempées de larmes, des pas maladroits, mes genoux écorchés. Je suis incapable d'expliquer à qui ce soit ce que je ressens. Je marche seule, dans le noir, mes cris tuant le silence, attendant une réponse qui ne viendra pas. Je repense souvent à la moi d'avant. D'avant tout ça. Je trouve ça fou, qu'il n'y a pas si longtemps que ça, j'étais si heureuse. Je vivais mes meilleurs instants, à tes côtés. Puis mon bonheur à dégringolé. Pour finir écrasé au sol. Comme trahis et brisé, Tu l'as poussé. Et il n'arrive plus à remonter. Il essaye mais il en est incapable. Parce que la seule personne qui pourrait lui tendre la main pour l'aider, c'est toi. Mais toi, tu es partit, sans te retourner. Le pire, c'est que tu as l'air heureux. Alors que je sais reconnaître que tu ne vas pas bien. Et ça me brise encore plus, de savoir que tu tenais si peu à moi pour être au moins un peu touché. Je suis si hypocrite bordel ! Je fais semblant que tout va bien et je me plains que personne ne voit que en réalité, ça ne va pas. Non.... Ça Ne Va Pas. Ça ne va pas du tous ... KAYSEE
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LGBT+
Qui êtes vous, pour décider de ma vie ? Qui êtes vous pour choisir ce que je dois faire ou non ? Qui êtes vous pour décider de ce qui est contre nature ? Les voitures sont contre nature. Les téléphones sont contre natures. Vos propos le sont. Mais aimer n'est pas contre nature. J'aime qui je veux. De la manière que je veux. Et vous n'avez rien à dire. Je suis une femme et j'embrasse une femme ? Et alors ? Est ce vous que j'embrasse ? Non. Alors ça ne vous regarde pas. Je suis un homme. Et je tiens un homme par la taille. Mais qu'est ce que ça peut vous foutres ? Ce n'est pas votre vie, c'est la mienne. Et je la mène comme je l'entends. Vous dites que ça vous dégoûte. Mais au final, qu'est ce qui dégoûte le plus. Mon amour, ou votre haine ? Vous êtes homophobes. Vous vous pensez supérieur. Très bien. C'est VOTRE problème. Ce n'est pas le mien. Vos commentaires, vos reproches, vos insultes, vous vous les gardez. On a rien fait. Et vous nous insultez. C'est VOUS qui êtes idiots. Nous, nous nous aimons, et c'est tous. Vous as t'on demandé votre avis ? Non. Alors laissez nous tranquille, et allez distribuer votre haine là où vous ne ferez du mal à personne. Merci 🏳️‍🌈 KAYSEE
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Ça ira
Je suis sur que vous avez déjà penser que c'était trop. Trop d'informations. De douleur. De souffrance. De larmes versées. De cris oubliés. Vous avez même surment déjà penser, que c'en était finis. Que c'était la fin. La fin de votre vie, la fin de tout. Vous avez sûrement déjà penser à abandonner le combat. À quitter le champ de bataille. Vous avez déjà eu cette envie de vous rouler en boule. D'oublier et de pleurer. Jusqu'à s'endormir, pour toujours. Vous savez, votre tristesse ne vous définis pas. Vous avez le droit d'aller mal, de vouloir tout abandonner, de juste vouloir pleurer. Mais vous avez aussi le droit de vous relever. Enfaîte non, vous en avez le devoir. On est tous déjà tombés. Des centaines de fois, pour des chutes plus ou moins douloureuses. Tous. On a tous déjà eu ce sentiment de trop pleins, de ne plus vouloir se battre. Mais à chaque fois, est ce qu'on ne s'est pas relever ? Est ce qu'on ne s'est pas dit que non, ça ne pouvait pas se terminer comme ça ? Se battre, ça fait partie de la vie. Souffrir et rire aussi. C'est comme ça. Ok, tu n'as rien demandé. Ce n'est pas toi qui à choisis de naître, mais si tu es né, autant continuer à vivre. Ok, tu n'as pas choisis ta famille, mais quitte à être du même sang, autant faire des efforts pour apprendre à la connaître, à l'aimer. Tu n'as peut être pas choisi de croiser cette personne, d'être sur le même chemin qu'elle. Mais c'est toi qui à choisis de rester. Tu n'es pas seul. Tu n'es jamais seul. Tu peux peut être, en être persuadé. Mais ce n'est pas la réalité. Il y a forcément une personne sur cette Terre , qui t'aime. Qui ferait tout pour toi. Et si non, c'est que tu ne l'as pas encore rencontré. Mais tu n'es pas seul. Point. Moi aussi j'ai déjà eu ce sentiment. Mais a chaque fois, la vie elle m'a montrer que j'avais tort. Donc tu as tort. Tu sais que la seule personne qui te mets réellement des barrières, c'est toi ? Tu es ton pire ennemie. C'est toi qui possède les clefs de ton avenir comme c'est toi qui possède le pouvoir de te relever ou non. Tu ES la seule personne capable de te guérir. De continuer à avancer et ne pas abandonner. Alors s'il te plaît, toi, derrière ton écran qui lis ce message, souris et continue à te battre. Quoi qu'il arrive. Parce que tu le mérites ce bonheur qui finira par arriver. Je te promets que ces efforts ne seront pas vain. Tu finiras par aller mieux. Fait confiance au temps, vraiment. Ça ira. Je le souhaite de tout cœur. KAYSEE
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Abandonner
Si j'abandonne. Si je n'y arrive plus. Si je baisse les bras. Vous ne m'en voudrez pas ? KAYSEE
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Je n'en peux plus...
Tu me manques tellement... Je ne savais même pas que c'était possible, de s'attacher autant à quelqu'un... Qu'on pouvait autant pleurer pour une personne... Y a des moments, je me demande comment je vais pouvoir aller mieux, Ça me paraît impossible de guérir. Tellement de gens sont partis avant toi. Je ne compte même plus. Mais qu'est ce qui cloche chez moi ? Pourquoi tous le monde finis par s'en aller ? Je ne suis pas assez bien ? Je m'attache tellement vite, j'aime tellement fort. Mais on finis toujours par me briser. Mais cette fois c'est différent. Parce que tu m'as dit des choses que personne ne m'avait dit. Parce que tu avais un passé sombre, que je t'ai reconstruit petit à petit. Mais ça à finis par dégénérer. Et tu es partit. Comme tous les autres. Mais je n'arrive pas à t'en vouloir. Je n'arrive pas à te détester. À être en colère. J'ai autant mal moralement, Que physiquement. Et je suis fatiguée, épuisée, de toutes ses émotions, de toute cette tristesse, Qui ne veut pas partir. Et peu à peu Je Perds Espoirs. KAYSEE
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Étoiles
Mon espoir est si immense que, même la plus éloignée des étoiles finit par croire en moi. KAYSEE
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Mes pensée en poésie
Je suis pas différente, c'est vous qui êtes tous pareil. KAYSEE Les pieds sa sert à danser. Les mains à écrire. Les voix à chanter. Les lèvres à sourire. Et les regards à se croiser. KAYSEE Je ne suis pas folle. Je fais juste attention à ce que moi je veux en vous ignorant totalement. KAYSEE J'ai dansée sous la pluie en riant plutôt que de la regarder tomber en pleurant. Après j'allais mieux. KAYSEE
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Juste le bonheur
(Petit poème que j'ai écrit en octobre, vous comprendrez surment pas grand chose au sens mais moi je me comprends xD) Les zèbres sont rayés, La lune argentée. Les étoiles brillent de milles feux, Le soleil fait de son mieux. Un sourire à un passant, Un bonjour à la fermière. Une pensée pour la maman, Un signe à la boulangère. L'espoir il lui arrive de partir, Mais il finit toujours par revenir. La motivation et l'ambition, toujours là ! Et le courage arrive au pas. Emmitouflés sous les couvertures, Une tasse fumante à ses côtés. Il est tard mais on en a cure, Même si non paupières sont lourdes à porter. KAYSEE ✨ Je respire tristesse. J'écris tristesse. Je suis tristesse. Mais j'ai décidé de changer ça ✨ KAYSEE ✨Juste une personne qui a l'audace de croire en ses rêves et tout faire pour qu'ils se réalisent ✨ KAYSEE
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Souffrir
Conjugaison du verbe souffrir : Je souffre. Je vais mal. J'accepte. Je ne sais pas. Ça va mieux. Ça va vraiment. Je pète la forme. C'est derrière moi. KAYSEE Tu peux parler dans mon dos. M'insulter. Te moquer de moi. Me bousculer. Je m'en fiche. Parce que c'est toi qui va continuer à souffrir, moi je vais avancer, sourire, entourée de vrais amis. Alors, vas y, détruit toi :) KAYSEE
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Souffrance
Te rends tu compte du mal que tu m'as fait ? De cette douleur que tu as laissé en partant ? C'est la seule chose que tu as laissé, De la douleur. J'ai mal. Affreusement mal. Je m'étais attachée à toi. Trop, visiblement. Tu me répétais que tu me lâcherais jamais, J'étais trop incroyable pour ça. Belle, intelligente, drôle... Mais tu es partis, et tu as brisé cette confiance en moi que j'avais mis des années a construire. Tu m'as répéter des " Je t'aime", Des fois tu faisais que ça. Tu me prenais dans tes bras, et tu me le répétais. Et moi je fermais les yeux, Et je t'écoutais Ça me rassurai, Ça m'appaisais. Je ne doute pas de ton affection pour moi. Je sais qu'elle à existée, Mais a t'elle disparu ? Quand je fais des crises d'angoisse, Ton regard qui s'accroche au mien, Comme pour me dire que tu es là, Que tout va bien. Mais sais tu, Que c'est toi, Qui les provoquent ? Mes larmes coulent, je suffoque. Et j'attends que ma souffrance, Cicatrise. KAYSEE
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Je suis seule
J'ai beau crier. Appeler de toutes mes forces. Demander de l'aide. Je suis seule. Je me débats, Essaye de me libérer de ces chaînes. Mais je n'y parviens pas, Je suis seule. Je hurle maintenant. Mes poumons me brûlent, Mais je ne m'arrête pas. Je suis seule. Personne ne vient. Personne ne viendra, Jamais. Je Suis Seule. KAYSEE
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Sommeil éternel
Quand la seule personne, qui pour toi, ne partirais jamais, s'en va, Cela fait si mal mentalement que ça devient de la douleur physique. On m'a dit qu'on finissait par oublier. Que le temps faisait les choses. Ça fait plus d'un mois, et rien n'a changé. J'ai juste finis par être vidée. Voilà ce que je suis : Une coquille vide. Mon quotidien est maintenant rythmée par mes angoisses nocturne, mes cauchemars, mes larmes et mes insomnies, la nuit. Et les faux sourires, les crises d'angoisse, les contrôle indésirables, les cours devenu ennuyant, et mes amis qui s'inquiètent, le jour. Mes pensées ce bousculent, mes sentiments aussi. Je ne sais plus si je suis triste, en colère, déçu, indifférente, joyeuse, ou juste fatiguée. Je ne sais plus rien. Ma souffrance reste. Elle ne part plus. Mais je suis à bout. Combien de temps il reste avant que je n'explose ? Le temps est compté, je sais que ce moment approche... Mais moi je veux juste me rouler en boule, pleurer jusqu'à l'épuisement et m'endormir pour ne plus jamais me réveiller... Est ce si compliqué ? KAYSEE
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Aimez vous
Je suis et serais la tempête ✨ KAYSEE Je souris parce que j'ai envie de sourire. Je pleure parce que j'ai besoin de pleurer. Alors vos jugements à deux balles vous pouvez les mettre là où je pense. ✨ KAYSEE J'ai des amis. Des vrais . Sur qui je peux compter. Qui ont fait au lieu de parler. ✨ KAYSEE Tu ne pourras jamais changer les cons, alors arrête de te concentrer sur eux et utilise ton énergie pour aller mieux. ✨ KAYSEE Je Vous Aime Comme Vous Êtes 💛
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Irréparable
La tête dans les étoiles et les pieds sur terre. Un coup tu gagnes, un coup tu perds. Parce que c'est ça la vie, faut pas abandonner. Faut nager pour s'empêcher de couler. Personne ne pourra m'empêcher de rêver, Et surtout, de tous réaliser. Je ne te conviens pas ? Mais je ne te retient pas, je n'ai pas besoin de toi ! J'ai des tonnes d'amis sur qui compter, Une ambition et une motivation impossible à casser. Tu m'as peut être briser le cœur, mais ce sera pas la première fois Que je ressentirais cette douleur, Alors sache que si tu veux me briser tu n'y arriveras pas, Alors abandonne, avant de te casser toi même. Et les dégâts Seront Irréparables. KAYSEE ✨Mon cœur a déjà été fissuré des milliers de fois, alors c'est pas celle que tu as rajouté qui va réussir à le briser ✨ KAYSEE ✨Je n'ai ni les pieds que terre, ni la tête en l'air. Je regarde ni derrière moi, ni devant moi. Je suis seulement un fragment d'humain parmis les autres fragments d'humains, en ne regardant rien, seulement en vivant l'instant présent ✨ KAYSEE ✯✯✯✯
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Un simple sourire
Aujourd'hui j'ai vu quelqu'un sourire. Ça m'a fait sourire aussi. Aujourd'hui j'ai vu quelqu'un rire. Ça m'a rendu heureux. Aujourd'hui j'ai vu quelqu'un danser sans se préoccuper du regard des autres. Ça m'a encourager à le faire à mon tour. Aujourd'hui j'ai vu quelqu'un vêtue de toutes les couleurs. Ça m'a mis des étoiles dans les yeux. Un simple sourire, un simple bonjour, et êtres sois même Ça Peut Faire Beaucoup. Beaucoup plus que l'on ne le pense. Alors faites le. KAYSEE
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Avancer
J'ai la tête qui tourne. Je me sens mal. Beaucoup. Trop. Mal. Mais j'avance encore. Je tiens de moins en moins sur mes pieds. Mon souffle est court. Je sens que je vais m'évanouir. Mais je continue à avancer. C'est horrible. Je sens mon déjeuner remonter dangereusement. Mes yeux s'embument. Mais je ne m'arrête pas. Je finis par tomber. Je m'écroule sur le sol. J'ai envie de me rouler en boule. Mais je me relève. Et je finis, Par Y Arriver. J'ai Réussi. N'abandonnez jamais, Quel que soit la difficulté. Vous serez toujours Récompensé. KAYSEE
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Le vent
Le vent souffle sur tes volets, Les fait claquer bruyamment. Brise le silence et la paix, T'empêche de dormir et de penser tranquillement. Il fouette le visage du voisin courageux, Fait craquer les branches du chêne malheureux. Fait danser et virevolter les feuilles aux couleurs chatoyantes, Te fait trembler de peur et te hante. Il chasse les nuages, Il tourne les pages, Il balais les déchets, et les reste de ton jardin, Et nettoie ce qu'il reste de ce matin. Le vent est comme ça, Bruyant et doux À la fois. KAYSEE
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Avec toi
Je ferme les paupières, Et imaginent ma nouvelle vie. Je rouvre les yeux et sourit, En observant la mer. Puis tu me rejoins, le sourire en coin, Je te fais un clin d'œil, ça te fait rougir. Tu t'assois a mes côtés en me prenant la main, Tu me fais une grimace, et j'éclate de rire. Collé l'un contre l'autre, Dans un moment d'amour et de joie. On observe la marrée basse faire place a la marrée haute, Dans les moments comme ça, le silence est roi. Alors je me blottit encore plus contre toi. Le silence est remplacé par les battements de ton cœur, Rien ne me rends plus heureuse que d'être avec toi, Je n'ai pas plus peur. KAYSEE
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Une Ombre Criminelle
Dans la nuit noir et mystique, Une sombre créature est en mouvement. Les étoiles brillent de manière poétique, Rien ne seras plus jamais comme avant. Une ombre se déplace dans le noir, Dansant, fuyant, sautant par dessus le comptoire. Elle est rusée et se nourrit de la peur, Elle entre dans la chambre pour que la victime meurt. La petite saute de son lit. Ses doigts tremblent, elle n'arrive pas à crier. Elle se met à regarder le ciel pour prier, Elle prit,prit, prit. Mais la bête comme elle, sait que c'est trop tard, Elle se laisse tomber dans un comas éternel. Alors la sombre creature repart, L'étiquette posée, c'est une criminelle.                                             _KAYSEE
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Fort
Texte que j'ai écrit en mars, j'avais envie de vous le partager. ~ "Les hommes ne pleurent pas par ce qu'ils sont faibles mais par ce qu'ils ont été forts trop longtemps" _ Anonyme Par ce que celui qui sourit le plus, est souvent celui qui pleure le soir... En réalité que sait on des hommes, des humains ? Pourquoi les garçons devraient rester fort et retenir ses larmes mais pas les filles ? Pourquoi quelqu'un qui pleure, que ce soit souvent ou pas, est forcément faibles et quelqu'un qui ne pleure jamais est forcément fort ? C'est quoi cette histoire d'être plus solide, d'être un dur à cuir, un vrais homme ? Vous savez ce que j'en pense de tout ça moi ? J'en pense que c'est des connerie ! Des idioties qu'on a rentré dans la tête des petits garçons et des petites filles pour qu'ils s'en souviennent et qu'ils racontent les même balivernes aux futurs enfants. On est tous égaux, qu'on le veuille ou non ! Qu'on soit gros, petits, Noir, blancs, maigres, grands, hétérosexuels, homosexuel, qu'on pleure souvent ou pas ! On a tous un cœur qui bat et on devrait se soutenir plutôt que de se rejeter et se cracher dessus. Les gens qui pleurent sont ceux qui ressentent, qui vivent, qui ont un vrais cœur en or ! On ne devrait pas retenir ses larmes, on devrait les laisser couler pour se libérer de toutes cette crasse qu'est la société. On devrait s'aimer plutôt que se détester. KAYSEE
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Un rêve
C'est un rêve d'enfant. Un rêve pour les plus grands. Il suffit juste d'une pincée de magie. Pour qu'il prenne vie. Pour qu'il se réalise il suffit d'y croire. D'espérer fort et de se battre avec passion. Une petite touche d'espoir, Et beaucoup de courage qui vole telle un papillon. Fermer les yeux ne suffit plus. Maintenant il faut se lever. Le temps où l'on fait que rêver est résolu. C'est l'heure de tout changer. KAYSEE
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Inspiration
Les mots se bousculent dans mon coeur. J'ai le besoin de les crier, de les sortir, de les expulser. Ils vibrent dans mes côtes. Percutent mon esprit, Me fait frémir jusqu'à la pointe de mes orteils. Je crie. Je pleure. Je danse. Je ris, Et chante a tue tête, à travers mes mots. Des poèmes qui tranchent. Qui coupent. Qui brûle. Qui me détruit le cœur, Jusqu'à me faire pleurer De douleur. KAYSEE
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Écrire
Écrire remplace mes larmes. Écrire remplace mes cris. Écrire ce que je tais. Écrire ce que mon cœur souhaite dire. Écrire mes joies. Écrire mes sourires. Écrire mon éclat de rire. Écrire mon cœur en morceaux. Écrire ma larme retenue. Écrire ma vie en lambeaux. Écrire la beauté du ciel. Écrire la tristesse et la joie de la vie. Écrire l'espoir et le courage. Écrire l'abandon et la peur. Écrire mes pas de danses. Écrire mes traits de crayon. Écrire ce que ma voix rêve de dire. Écrire ce que je ne peux révéler. Écrire. Écrire. Écrire. KAYSEE
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Amis
Sourire : Sert à masquer les cicatrices émotionnelles. Colère : Sert à masquer la peur et la souffrance en rejetant tout ceux qui veulent t'approcher. Amis : Sert à démasquer les faux sourires, à retirer le masque de la colère, et à t'enlacer de toute ses forces. KAYSEE
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Tout va bien...
J'ai du mal à respirer, je suffoque. Je souffres à la poitrine, pourquoi ça fait si mal ? J'ai fait quoi de mal pour mériter ça ? Tous ça . Mes joues sont trempées de larmes. Personne ne remarque jamais rien quand je vais mal. Je vais tout le temps bien. Quand mon père est malade, je vais bien. Quand toute ma famille se dispute sans arrêt, je vais bien. Quand les gens de ma classe parle derrière mon dos et me jugent, je vais bien. Quand j'ai rien dormis de la nuit parce que faisais crise d'angoisse sur crise d'angoisse, je vais bien. Quand je pense à mes notes en chutes alors que je bosse comme une malade, je vais bien. Quand un de mes meilleurs amis me fait souffrir en partant sans explication, je vais bien. JE VAIS BIEN ! Bah oui,je suis là fille a l'écoute de tous le monde, qui sourit tout le temps, qui fait le pitre qui rit et déborde de positivité, je suis pas censée aller mal ! " ça va ? Tu as pas l'air bien " " Oui je vais bien, comme toujours !" Comme Toujours ..... Évidemment... Puisque Tout va bien. K. ~~
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