Вірші
Solitude
Le pire dans la vie, ce n'est pas de souffrir
Ni de se heurter à un mur.
Mais finir seul.
On peut en baver,
Mais avoir des proches sur qui compter.
La solitude nous envenime.
Notre douleur semble minime
Elle est invisible,
Et vicieuse,
Mais horriblement pernicieuse.
Sous peine de ne pas déranger,
On ne fait que s'isoler,
Et la boucle s'enclenche encore,
Nous sommes remplis de pensées moroses.
Même accompagné,
On se sent seul.
Même avec mille personnes,
Nous sommes seuls.
Personne n'est là.
Personne ne viendra.
Le monde est ainsi.
Et c'est loin d'être fini.
Il y a certainement nos pensées,
Elles peuvent parfois nous aider,
Mais cela demeure illusoire
La réalité revient toujours à la barre.
Je tire ma révérence,
Repart dans la danse
Avec mon amie-ennemie
La solitude
Dans le vide.
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Clairvoyance cristallisée
Je suis enfermée,
Enfermée dans un magnifique cristal
Il brille de mille feux,
Et ses couleurs reflètent toutes sortes de moments merveilleux.
Des souvenirs,
Ils ne sont pas de moi,
Mais ils sont soudés dans mon âme.
Je ne peux rien faire pour les détruire.
Cette tempête du temps se déchaîne en moi,
Si bien que je n'arrive plus à distinguer quoi que ce soit...
Du rêve ou de la réalité.
Qu'est-ce qui est faux ou vrai ?
Je ne sais plus
Mon histoire s'est effacée,
Je n'ai plus aucun passé.
Dans ma prison de temps,
Je ne peux pas penser correctement.
Je ne peux pas marcher,
Ni penser,
Ni rêver.
Je vois tout
Je sais tout.
J'aimerai hurler,
Mais mes lèvres sont scellées.
Songer à fuir est illusoire.
Je n'aurai jamais de victoire.
Même mon identité est fondue,
Dans les flammes infernales de ma peine
Je peux juste me rappeler de mon nom Nour
Mais il ne va pas rester pour toujours.
Les espoirs sont illusoires,
Je perds ma propre mémoire.
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Pureté trompeuse
Je suis une créature hors du temps,
Une personne pourtant semblable autant aux humains,
Bien que je n'aie aucun mystère.
J'avais été mis au rang d'élu,
Ma famille comptait sur moi
J'ai vécu dans l'émoi
Une petite marionnette ?
Ou alors une personne un peu simplette ?
Je n'ai jamais su.
On m'a dit que tout était noir ou blanc...
J'ai grandi en pensant que j'étais pur.
Innocent.
Parfaitement blanc.
C'était trompeur.
Une illusion,
Une coquille sans existence
Que j'ai rempli sans me soucier des conséquences.
Je me croyais parfait
Mais je n'avais en fait aucun attrait
J'étais vide
Vide d'existence
Vide de sens
Puis un tache noire est apparue
Sur mon coeur elle s'est étendue.
Balayant tout le reste comme un ouragan.
J'avais créé un monde,
Que j'ai finis par trouver immonde.
Toute cette perfection,
Pour enlever au final ce qu'il y avait d'amusant.
Mon équilibre a été brisé,
Je suis maintenant plus noir que blanc.
Apathie,
Tel est mon nom.
Mon monde j'ai brisé.
Je n'ai eu aucune pitié.
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Pensée personnelle
Par ces temps-là,
Les moments sont durs.
Par ces temps-là,
La vie n'est plus si sûre.
Je ne suis pas du genre optimiste,
Mais plutôt fataliste.
Mais je me rends compte à présent,
Que le soutien devient plus qu'important.
Primordial même.
« L'union fait la force », hein ?
Ça n'a jamais été aussi vrai.
Un sourire cache souvent des larmes,
Ceux restants forts peuvent avoir souvent un coeur brisé.
Quelle ironie cette réalité.
Donc à tous les lecteurs passant par là,
Peu importe si vous êtes en émoi ou pas,
Moi,
Je vous envoie une grosse dose d'amour.
En espérant que votre journée soit meilleure et l'année aussi.
Gardez la détermination,
Et tout finira par s'arranger ❤️
C'était la simple pensée peut-être utopique d'un petit auteur.
Et Jeylwenny, si tu passes par là, je te dédicace ce poème. Pour m'avoir amené le sourire dans les moments difficiles, à me faire oublier la peine que j'ai enduré parfois.
Merci, l'amie.
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Mon petit soleil
Tu as beau être loin de moi,
Je sens ta chaleur demeurer dans mes bras.
Toi mon petit soleil,
Ma lumière parmi ces ombres impitoyables,
Qui me protège et me soigne de ma propre folie,
Quand tu souris,
Tout va mieux dans la vie.
Tu es ma définition du bonheur,
Ma huitième merveille du monde,
Sans toi je ne suis plus rien,
Même pas l'ombre de moi-même.
Alors quand je t'ai vue la dernière fois,
Avec cette corde autour de ton cou délicat,
Mon monde s'est effondré.
Qu'avais-je fait pour qu'il t'arrive une telle destinée ?
Beaucoup de remords j'ai eu,
Les ombres sont revenues me tourmenter,
Et j'avais beau hurler,
Personne n'est venu m'aider.
Mon petit soleil,
Toi qui est parti vers les cieux,
J'espère que tu seras bien plus heureux.
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