CHAPITRE 1 : Retour au commencement :
Loryelle :
Ils avaient l'habitude de donner comme définition de prison, que c'était un établissement pénitentiaire clos, aménagé pour recevoir des individus condamnés par les tribunaux à une peine, les privant de liberté ou des prévenus en instance de jugement.
La prison existait depuis l'existence de l'Homme sur terre afin de le corriger et le rendre droit au chemin propre de la justice, mais au moins les premiers prisonniers n'étaient gardés que dans un simple vestibule où ils avaient la liberté de voir leurs parents, leurs amis et leurs proches. Moi, j'étais parmi ces individus condamnés pour avoir commis un crime, j'étais enfermée dans une cellule souterraine obscure, un espace étroit, à peine suffisant pour mettre un lit. Des murs épais pour empêcher les communications entre détenus ainsi que les évasions.
Je sursautai brusquement de mon lit de soie imaginaire à cause d'un coup dur et sec sur la porte métallique de ma cellule, les quelques pensées que j'avais, sont maintenant envolées avec la coccinelle qui m'avait tenu compagnie toute la matinée, je n'avais pas assez de temps pour lui demander de revenir, elle a choisi librement de voler loin de moi en m'abandonnant ici. Seule et misérable.
-Hey beauté! Lève tes fesses, ton brun est là pour te récupérer! Dit Hayena en ouvrant les multitudes de serrures qui assuraient bien mon séjour ici, elle s'approcha de moi en me signalant de me retourner et de faire face au mur devant moi, je m'exécutais sans prononcer un mot, ma joue contre le mur humide et froid, elle croisa mes mains derrière mon dos et entoura mes poignets avec des menottes métalliques.
Dire que les menottes me faisaient atrocement mal , c'était une plainte dépassée, je me suis habituée durant mes deux ans ici à l'intimidation et la maltraitance des gardiennes et leurs chefs supérieurs envers nous, nous n'étions que des déchets humains renvoyés par la société ici, l'État croyait qu'elle fasse bien son devoir en nous envoyant ici pour nous corriger mais elle était inconsciente du fait qu'elle semait un surplus de haine et de colère dans les cœurs de tous les prisonniers du monde envers le monde extérieur.
****
La voiture s'arrêta devant cette fameuse maison. La vue de mon ancienne résidence me procura d'horribles frissons qui se frayèrent un chemin le long de mon échine, j'avais envie de courir loin d'ici mais c'était impossible vu le nombre d'agents policiers qui nous accompagnaient. Ryan sortit de la voiture, j'imitai son geste et je fermai la portière de sa voiture.
Je m'avançais vers la porte d'entrée de notre ancienne maison et je me stoppai net, coincée, chaque muscle de mon corps était paralysé, mes pieds ne voulaient plus bouger. Une boule d'inquiétude se formait dans ma gorge. Cette maison me rapportait plusieurs souvenirs, plusieurs d'entre eux étaient douloureux et plusieurs autres avaient été des souvenirs de bonheur inoubliables, ils étaient trop beaux pour être réels, je ne serais pas capable de les revivre une autre fois.
Mon retour ici était contre mon gré, c'était l'idée de mon avocat : passer la durée qui me reste en prison dans ma maison ou comme Ryan disait : péter un câble dans la scène de meurtre, dans ma maison en compagnie des souvenirs de mon ancienne vie de roses. Ironique, tout dans cette histoire était contre moi.
Je pris une longue bouffée d'air, cet oxygène frais qui manquait à mes poumons, calma mes nerfs. Mes paupières se fermèrent sans que je ne m'en rende compte, savourant ce moment.
Devant moi, se trouve la maison où j'avais vécu deux ans plus tôt avec mon mari.
Une multitude de souvenirs malheureux se répandirent consécutivement dans mon esprit comme le sang rouge qui souillait une eau pure. Mon cœur se serra rien qu'en pensant à tout ce que j'avais vécu dans cette bâtisse, maintenant abandonnée. Cette même maison qui m'avait apporté paradoxalement, de la joie ainsi que de la tristesse. Mes bonheurs et mes malheurs et tous mes souvenirs provenaient de là, remplissant chaque recoin.
J'ouvris les yeux pour contempler les alentours. Deux ans. C'était largement suffisant pour apporter du changement, maintenant, il y avait une supérette, des salons de beauté ainsi qu'une librairie et beaucoup de boutiques.
- « Profite bien de ce moment, j'ai su que t'avais pas vu le soleil depuis 730 jours » Lança Ryan, l'inspecteur policier qui était chargé de mon affaire au tribunal, le brun dont Hayena m'avait parlé, et surtout il était le meilleur ami de mon mari.
Je tournai ma tête dans sa direction et le regardais impassiblement sans dire un mot. Il s'avança vers moi, empoigna mon bras pour nous faire entrer.
Il me poussa à l'intérieur, j'heurtai durement le mur derrière moi, un gémissement involontaire s'échappa de mes lèvres, cet homme m'effrayait, il n'était plus gentil, pas après que j'ai tué son ami.
Mes yeux tombèrent sur la tâche de sang sur le mur maintenant séchée et puis une larme solitaire émanant de mon œil coula sur ma joue. Je ne pus pas nier le fait que j'étais encore brisée après son départ.
-« Assieds-toi là » M'ordonna-t-il en m'apportant une chaise.
J'exécutai sans riposter.
Un homme habillé d'une veste noir portant le slogan « NYPD » vient s'accroupir devant moi, il prit ma jambe et plia le tissu de mon pantalon pour découvrir ma peau pâle qui manquait de rayons de soleil. Comme Ryan l'avait mentionner, je manquais de rayons de soleil depuis sept cent trente jours, j'avais décidé de refuser à chaque fois la proposition d'une gardienne de m'amener dehors à prendre l'air à la compagnie des autres prisonnières depuis le jour où deux d'entre elles ont failli m'assassiner lorsqu'elles surent que j'étais la dame de celui qui était la cause de leur arrestation en plus de ça, j'étais emprisonnée dans la partie de prison la plus dangereuse, donc, il était préférable pour moi de rester seule, déprimée, malheureuse dans ma cellule avec un crime que je n'avais pas commis. Plus au moins.
Il entoura un soit disant bracelet de cheville épais en plastique noir autour de ma cheville, je grimaçai légèrement lorsque l'homme serra l'objet sur ma peau. Il finit de le régler, ce petit bracelet de cheville m'empêchera de m'enfuir.
Je levai mon regard vide et désespéré vers Ryan, il se tient là, la haine qu'il portait envers moi était indescriptible, elle rendait ses yeux bleus étincelants plus foncés et sombres.
-« Alors tu es libre à la limite de 200 mètres à partir de cette machine qui en quelque sorte une alarme qui se déclenchera, si tu la dépasses cette distance, ton bracelet sonnera et s'il dépasse trois minutes, les flics débarqueront et détecteront ton emplacement rapidement et tu ne seras jamais capable de ruiner ton bracelet » expliqua-t-il et je hochais la tête en signe d'acquiescement.
- « Et rappelle-toi, même si le courant est coupé, cette machine qui va détecter ton emplacement, elle sera activé H24 et comme ça tu ne pourras pas t'enfuir. » Dit-il avant de prendre sa valise métallique et de s'en aller, je le regardais marcher vers le haut, sûrement pour fixer la petite machine alarmante sur le mur.
-« Pour la millième fois, je te demande de m'aider Ryan » Ce sont les premiers mots qui sortaient de ma bouche, je levai les yeux vers Ryan, les plongeant dans les siens, qui maintenant, étaient sombres.
-«Et pour la millième fois, je refuse, je m'amuserai bien à te regarder pourrir ici, au moins les souvenirs vont te hanter et tu vas finir par te suicider un jour, je te l'assure » Lança-t-il.
-« Tu ne connais pas la vérité. Je ne suis pas coupable. Essaye au moins de m'écouter!» Dis-je d'une voix vide et faible.
-« La seule vérité que je connaisse est qu'il est mort à cause d'un plomb dans le cœur et tes empreints digitales étaient sur l'arme avec lequel tu as tiré dessus, tu l'as tué! » Cria-t-il, causant, à mes larmes, de perler sur mes joues.
Je me contentai de me taire, gardant cette horrible vérité pour moi, Ryan s'avança vers moi et débloqua, à l'aide d'une clé, la petite serrure qui libéra mes poignets de ces menottes froides et douloureuses, deux cercles rouges entouraient mes deux poignets à force d'être menottée.
Il prit mon bras d'un geste brusque et nous nous dirigeâmes vers la porte, là où nous trouvâmes le jeune homme qui finissant son travail.
-« Enfin je crois que tout est en règle. » dit-il en brisant le silence.
- « Bien. Casse-toi d'ici. » Cracha-t-il durement.
-Merci à toi Ryan. Dit le jeune homme en roulant ses yeux. La porte se ferma derrière lui et Ryan se tourna vers moi, il agrippa soudainement mon coude et serra son emprise en m'approchant de lui, ses yeux n'étaient qu'à quelques centimètres des miens.
- « Tu sais que je veux que tu pourrisses éternellement dans cette foutue maison et que tu sortes d'ici un cadavre immobile.»
-« Lâche-moi... » Le suppliai-je, il me regarda droit dans les yeux, ses yeux bleus qui me lançaient des éclairs, contre les miens, il me poussa sèchement puis il s'en alla.
Quand je m'aperçus qu'il m'ignorait, je tournai mes talons. Je m'assis sur la marche et pleurais silencieusement.
Putain je ne voulais pas ça, je ne voulais pas revenir ici, il savait bien que cela me heurtait et me rendait dépressive.
FIN DU CHAPITRE 1.
Ils avaient l'habitude de donner comme définition de prison, que c'était un établissement pénitentiaire clos, aménagé pour recevoir des individus condamnés par les tribunaux à une peine, les privant de liberté ou des prévenus en instance de jugement.
La prison existait depuis l'existence de l'Homme sur terre afin de le corriger et le rendre droit au chemin propre de la justice, mais au moins les premiers prisonniers n'étaient gardés que dans un simple vestibule où ils avaient la liberté de voir leurs parents, leurs amis et leurs proches. Moi, j'étais parmi ces individus condamnés pour avoir commis un crime, j'étais enfermée dans une cellule souterraine obscure, un espace étroit, à peine suffisant pour mettre un lit. Des murs épais pour empêcher les communications entre détenus ainsi que les évasions.
Je sursautai brusquement de mon lit de soie imaginaire à cause d'un coup dur et sec sur la porte métallique de ma cellule, les quelques pensées que j'avais, sont maintenant envolées avec la coccinelle qui m'avait tenu compagnie toute la matinée, je n'avais pas assez de temps pour lui demander de revenir, elle a choisi librement de voler loin de moi en m'abandonnant ici. Seule et misérable.
-Hey beauté! Lève tes fesses, ton brun est là pour te récupérer! Dit Hayena en ouvrant les multitudes de serrures qui assuraient bien mon séjour ici, elle s'approcha de moi en me signalant de me retourner et de faire face au mur devant moi, je m'exécutais sans prononcer un mot, ma joue contre le mur humide et froid, elle croisa mes mains derrière mon dos et entoura mes poignets avec des menottes métalliques.
Dire que les menottes me faisaient atrocement mal , c'était une plainte dépassée, je me suis habituée durant mes deux ans ici à l'intimidation et la maltraitance des gardiennes et leurs chefs supérieurs envers nous, nous n'étions que des déchets humains renvoyés par la société ici, l'État croyait qu'elle fasse bien son devoir en nous envoyant ici pour nous corriger mais elle était inconsciente du fait qu'elle semait un surplus de haine et de colère dans les cœurs de tous les prisonniers du monde envers le monde extérieur.
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La voiture s'arrêta devant cette fameuse maison. La vue de mon ancienne résidence me procura d'horribles frissons qui se frayèrent un chemin le long de mon échine, j'avais envie de courir loin d'ici mais c'était impossible vu le nombre d'agents policiers qui nous accompagnaient. Ryan sortit de la voiture, j'imitai son geste et je fermai la portière de sa voiture.
Je m'avançais vers la porte d'entrée de notre ancienne maison et je me stoppai net, coincée, chaque muscle de mon corps était paralysé, mes pieds ne voulaient plus bouger. Une boule d'inquiétude se formait dans ma gorge. Cette maison me rapportait plusieurs souvenirs, plusieurs d'entre eux étaient douloureux et plusieurs autres avaient été des souvenirs de bonheur inoubliables, ils étaient trop beaux pour être réels, je ne serais pas capable de les revivre une autre fois.
Mon retour ici était contre mon gré, c'était l'idée de mon avocat : passer la durée qui me reste en prison dans ma maison ou comme Ryan disait : péter un câble dans la scène de meurtre, dans ma maison en compagnie des souvenirs de mon ancienne vie de roses. Ironique, tout dans cette histoire était contre moi.
Je pris une longue bouffée d'air, cet oxygène frais qui manquait à mes poumons, calma mes nerfs. Mes paupières se fermèrent sans que je ne m'en rende compte, savourant ce moment.
Devant moi, se trouve la maison où j'avais vécu deux ans plus tôt avec mon mari.
Une multitude de souvenirs malheureux se répandirent consécutivement dans mon esprit comme le sang rouge qui souillait une eau pure. Mon cœur se serra rien qu'en pensant à tout ce que j'avais vécu dans cette bâtisse, maintenant abandonnée. Cette même maison qui m'avait apporté paradoxalement, de la joie ainsi que de la tristesse. Mes bonheurs et mes malheurs et tous mes souvenirs provenaient de là, remplissant chaque recoin.
J'ouvris les yeux pour contempler les alentours. Deux ans. C'était largement suffisant pour apporter du changement, maintenant, il y avait une supérette, des salons de beauté ainsi qu'une librairie et beaucoup de boutiques.
- « Profite bien de ce moment, j'ai su que t'avais pas vu le soleil depuis 730 jours » Lança Ryan, l'inspecteur policier qui était chargé de mon affaire au tribunal, le brun dont Hayena m'avait parlé, et surtout il était le meilleur ami de mon mari.
Je tournai ma tête dans sa direction et le regardais impassiblement sans dire un mot. Il s'avança vers moi, empoigna mon bras pour nous faire entrer.
Il me poussa à l'intérieur, j'heurtai durement le mur derrière moi, un gémissement involontaire s'échappa de mes lèvres, cet homme m'effrayait, il n'était plus gentil, pas après que j'ai tué son ami.
Mes yeux tombèrent sur la tâche de sang sur le mur maintenant séchée et puis une larme solitaire émanant de mon œil coula sur ma joue. Je ne pus pas nier le fait que j'étais encore brisée après son départ.
-« Assieds-toi là » M'ordonna-t-il en m'apportant une chaise.
J'exécutai sans riposter.
Un homme habillé d'une veste noir portant le slogan « NYPD » vient s'accroupir devant moi, il prit ma jambe et plia le tissu de mon pantalon pour découvrir ma peau pâle qui manquait de rayons de soleil. Comme Ryan l'avait mentionner, je manquais de rayons de soleil depuis sept cent trente jours, j'avais décidé de refuser à chaque fois la proposition d'une gardienne de m'amener dehors à prendre l'air à la compagnie des autres prisonnières depuis le jour où deux d'entre elles ont failli m'assassiner lorsqu'elles surent que j'étais la dame de celui qui était la cause de leur arrestation en plus de ça, j'étais emprisonnée dans la partie de prison la plus dangereuse, donc, il était préférable pour moi de rester seule, déprimée, malheureuse dans ma cellule avec un crime que je n'avais pas commis. Plus au moins.
Il entoura un soit disant bracelet de cheville épais en plastique noir autour de ma cheville, je grimaçai légèrement lorsque l'homme serra l'objet sur ma peau. Il finit de le régler, ce petit bracelet de cheville m'empêchera de m'enfuir.
Je levai mon regard vide et désespéré vers Ryan, il se tient là, la haine qu'il portait envers moi était indescriptible, elle rendait ses yeux bleus étincelants plus foncés et sombres.
-« Alors tu es libre à la limite de 200 mètres à partir de cette machine qui en quelque sorte une alarme qui se déclenchera, si tu la dépasses cette distance, ton bracelet sonnera et s'il dépasse trois minutes, les flics débarqueront et détecteront ton emplacement rapidement et tu ne seras jamais capable de ruiner ton bracelet » expliqua-t-il et je hochais la tête en signe d'acquiescement.
- « Et rappelle-toi, même si le courant est coupé, cette machine qui va détecter ton emplacement, elle sera activé H24 et comme ça tu ne pourras pas t'enfuir. » Dit-il avant de prendre sa valise métallique et de s'en aller, je le regardais marcher vers le haut, sûrement pour fixer la petite machine alarmante sur le mur.
-« Pour la millième fois, je te demande de m'aider Ryan » Ce sont les premiers mots qui sortaient de ma bouche, je levai les yeux vers Ryan, les plongeant dans les siens, qui maintenant, étaient sombres.
-«Et pour la millième fois, je refuse, je m'amuserai bien à te regarder pourrir ici, au moins les souvenirs vont te hanter et tu vas finir par te suicider un jour, je te l'assure » Lança-t-il.
-« Tu ne connais pas la vérité. Je ne suis pas coupable. Essaye au moins de m'écouter!» Dis-je d'une voix vide et faible.
-« La seule vérité que je connaisse est qu'il est mort à cause d'un plomb dans le cœur et tes empreints digitales étaient sur l'arme avec lequel tu as tiré dessus, tu l'as tué! » Cria-t-il, causant, à mes larmes, de perler sur mes joues.
Je me contentai de me taire, gardant cette horrible vérité pour moi, Ryan s'avança vers moi et débloqua, à l'aide d'une clé, la petite serrure qui libéra mes poignets de ces menottes froides et douloureuses, deux cercles rouges entouraient mes deux poignets à force d'être menottée.
Il prit mon bras d'un geste brusque et nous nous dirigeâmes vers la porte, là où nous trouvâmes le jeune homme qui finissant son travail.
-« Enfin je crois que tout est en règle. » dit-il en brisant le silence.
- « Bien. Casse-toi d'ici. » Cracha-t-il durement.
-Merci à toi Ryan. Dit le jeune homme en roulant ses yeux. La porte se ferma derrière lui et Ryan se tourna vers moi, il agrippa soudainement mon coude et serra son emprise en m'approchant de lui, ses yeux n'étaient qu'à quelques centimètres des miens.
- « Tu sais que je veux que tu pourrisses éternellement dans cette foutue maison et que tu sortes d'ici un cadavre immobile.»
-« Lâche-moi... » Le suppliai-je, il me regarda droit dans les yeux, ses yeux bleus qui me lançaient des éclairs, contre les miens, il me poussa sèchement puis il s'en alla.
Quand je m'aperçus qu'il m'ignorait, je tournai mes talons. Je m'assis sur la marche et pleurais silencieusement.
Putain je ne voulais pas ça, je ne voulais pas revenir ici, il savait bien que cela me heurtait et me rendait dépressive.
FIN DU CHAPITRE 1.
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