L'Espoir
(18+)
Des larmes sur le plancher, Perles cristallines de la fragile couronne ornée, De tes maux aux nuances de souffrance bleutées. Des joyaux vermeilles, Reflet irisé des démons qui s'éveillent, Au coeur de ton âme autrefois soleil, Glissent avec merveille, Sur le bois couleur corneille. Tes doux yeux amandes, Au souvenir d'offrandes, Ternies de réprimandes, Contemplent de vastes landes, Où avec une impatience malsaine t'attendent, Les loups affamés d'âmes errantes qui répandent Leur vies brisées au relent putride de viande. Ton esprit aux crevasses hurlantes, Déjà gambade de ses ténèbres élégantes, Dans les champs lavande d'agapanthes, De l'Enfer aux plaintes déchirantes. Mais ton cœur aux palpitations agitées, Lui bat toujours de sa langueur effrénée, Avec la conviction bornée, Qu'il ne faut pas s'abandonner. Cette chance risible s'accroche à ton être en perdition, Alors que lassée se fait la chanson, Ton être vibre à l'unisson, Pour l'Espoir d'une rédemption. Car l'Espoir te mène, Dans les traces d'une reine, Loin des déboires de la haine. Mais si l'Espoir qui t'entraîne, Dans les vastes plaines aériennes, Redevient poussière de graines, Alors le néant prendra les rennes, De ton corps abandonné à l'arène. Car l'Espoir valse dans tes veines, Il est l'essence même faisant pulser ton cœur en peine.
Des larmes sur le plancher, Perles cristallines de la fragile couronne ornée, De tes maux aux nuances de souffrance bleutées. Des joyaux vermeilles, Reflet irisé des démons qui s'éveillent, Au coeur de ton âme autrefois soleil, Glissent avec merveille, Sur le bois couleur corneille. Tes doux yeux amandes, Au souvenir d'offrandes, Ternies de réprimandes, Contemplent de vastes landes, Où avec une impatience malsaine t'attendent, Les loups affamés d'âmes errantes qui répandent Leur vies brisées au relent putride de viande. Ton esprit aux crevasses hurlantes, Déjà gambade de ses ténèbres élégantes, Dans les champs lavande d'agapanthes, De l'Enfer aux plaintes déchirantes. Mais ton cœur aux palpitations agitées, Lui bat toujours de sa langueur effrénée, Avec la conviction bornée, Qu'il ne faut pas s'abandonner. Cette chance risible s'accroche à ton être en perdition, Alors que lassée se fait la chanson, Ton être vibre à l'unisson, Pour l'Espoir d'une rédemption. Car l'Espoir te mène, Dans les traces d'une reine, Loin des déboires de la haine. Mais si l'Espoir qui t'entraîne, Dans les vastes plaines aériennes, Redevient poussière de graines, Alors le néant prendra les rennes, De ton corps abandonné à l'arène. Car l'Espoir valse dans tes veines, Il est l'essence même faisant pulser ton cœur en peine.
2021-01-26 11:16:15
6
3