Prolongement du rocher, harmonie
Debout, elle est comme un prolongement du rocher. Autour d'elle, tout n'est que douceur, pureté, rêve, accueil. La légère brise caresse sa peau immaculée. Elle soulève ses mèches s'échappant de ses cheveux attachés, les faisant voleter autour d'elle, encadrant son visage, comme des milliers de petits êtres. La neige se dépose sans bruit, dans sa chevelure blonde. Dans ses yeux, bleus clair, comme glace, une lueur. La lueur d'espoir, d'une rêveuse. De son corps émane une impression de bien être, de passion. Elle ne porte pas de robe ou de jupe, ni pantalon, ni legging, elle n'est pas dénudée non plus, non. Elle est tout. La tête légèrement rejettée en arrière, elle admire. Elle rayonne d'une force qu'elle ne reconnaît pas elle même. La force d'une détermination folle, de celle qui se bat pour ce qu'elle croit véritablement. Celui qui la regarderait pourrait presque percevoir quelques notes d'une mélodie jouée par un violon provenant d'elle, de son corps. Celui qui l'approcherait et l'observerait sans jugement se ferait happer dans son monde.
Une fourrure grise se fondant parfaitement dans le paysage, une queue rousse en panache,un museau rose, de grandes oreilles blanches apparaissent de derrière une écorce, un buisson de houx, s'avancent vers elle, viennent s'asseoir à quelques mètres, parfois contre ses jambes. Elle sort un carnet et dépeint de ses mots, de son crayon et de ses couleur un portrait de ce qu'elle voit, ressent.
Une fourrure grise se fondant parfaitement dans le paysage, une queue rousse en panache,un museau rose, de grandes oreilles blanches apparaissent de derrière une écorce, un buisson de houx, s'avancent vers elle, viennent s'asseoir à quelques mètres, parfois contre ses jambes. Elle sort un carnet et dépeint de ses mots, de son crayon et de ses couleur un portrait de ce qu'elle voit, ressent.
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