Вірші
Mentir
À quoi bon se mentir,
Si c'est pour au final souffrir,
Quand la seule chose qui me fait sourire,
Provoque une souffrance bien pire.
Une lame une amie,
Pour m'aider à ma survie.
Mais elle causera aussi ma perte,
Quand mon corps tombera inerte.
Sur mon corps les traits s'enchaînent,
Pour exterioriser ma haine,
Me libérer de ma peine...
On se ment chacun,
Au final, de nous, pour aucun,
La joie ne pourra être atteint..
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375
Mal
Tes mots sont douloureux,
Ça m'a rendu malheureux.
Ouais tu m'as fait mal !
Une douleur abominable...
Comment en est on arrivé là ?
Hésitais tu à le dire comme ça ?
Arriverais-je à oublier ?
Réussir à passer à côté ?
Loin des remarques passées..
Ironiquement racontées !
Est ce qu'on va vraiment ainsi continuer ?
Je vais tenter d'oublier...
Je ne devrais pas le savoir.
Comment ais-je pu croire,
Que des autres tu allais changer ?
Vous êtes tous pareils,
Je ne suis qu'un menteur !
Ce que vous me dites chaque heures...
Me donne envie de partir dans un éternel sommeil...
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Tu penses.
Le sang coule,
Les larmes s'écoulent,
Le temps avance,
Et toi tu penses...
Tu penses à toi,
Tu penses à moi,
Tu penses à la vie,
Tu oublies tes envies...
Et quand arrivera ma mort,
Tu te retrouvera seul.
Seul face à ton sort.
Tu t'souviendras plus d'ma gueule.
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Mots futiles
À quoi ça me sert,
De vivre comme ça ?
J'ai assez souffert,
Tu ne crois pas ?
J'ai mal tout simplement,
À l'intérieur comme à l'extérieur.
C'est avant tout à moi que je mens,
Et peu à peu j'en meur.
Ce soir j'ai bu,
Car je ne tient plus,
J'ai qu'une envie,
Mettre fin à ma vie...
Sauter du toit,
Se dire rien qu'une fois,
Que t'es plus là toi,
Qu'il ne reste que moi.
Ce vide créé,
Impossible de l'oublier..
On m'a dit de te remplacer,
J'arrive déjà pas à respirer.
Comment je peux faire ?
Quand au lieu de vivre,
Je ne fais que survivre !
Je devrais me taire...
Mes mots sont inutiles,
N'apportant que des maux futiles...
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Au bord
Debout au bord,
Sur le toit,
Je n'étais plus moi.
Il faisait froid dehors...
Ce n'est pas habituel
J'encaisse les coups
Je ne suis pas comme elle
Même si j'y tien plus que tout
Je me sens vide...
Mes larmes me brûlent,
Comme un acide.
Je sens que je bascule !
Si je saute maintenant,
Qui sera la ?
Qui me retiendra ?
Qui m'aura aidé à temps..?
Qui m'entendait hurler
Du temps où j'étais ?
Qui m'aimais
Du temps où j'étais abîmé ?
La tristesse me prend,
Elle s'empare de moi,
La vie me ment
Me disant que tu es là, toi.
Je sauterais pour te rejoindre,
Lorsque les résultats en seront moindres...
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Blessé
J'aimerais un peu de douceur,
Mais j'ai vécu dans la douleur.
À chaque instant mon coeur meurt,
Tout ce temps ce n'étais qu'un leurre.
Je n'ai jamais connu le bonheur,
Je subis en pleure.
Partirais-je avant mon heure ?
Je pense faire une grosse erreur...
Si je pars,
Qui me retiendra ?
Je n'ai plus de remparts !
Qu'est ce qu'il en adviendra ?
À qui pourrais-je manquer ?
Personne je crois...
Je serais bien vite oublié,
J'aimerais vivre pour toi..
Je ne tient qu'a un fil
Mes idées noires s'empilent
Blessé par vos critiques
Tué par toutes vos piques
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Oublié
Comme des pensées oubliées
Je me suis volontairement retiré
Je cherche la porte de sortie
Pour éviter d'y laisser ma vie
Si je veux continuer
Mes sentiments je vais devoir tuer
Si je veux pouvoir avancer
Je vais devoir t'oublier
Pardonne moi
Je perd la tête
Enfin je crois
Du moins, ce n'est pas la fête
Je craque, je sens que je lâche
Je ne veux qu'une chose
Que ton souvenir je me l'arrache
Quitte à voir la vie en rose
Je ne veux plus vivre comme ça
Je ne me l'impose pas
Je subit
Plus que je n'apprécie
Je veux vous rejoindre
Au lieu de me plaindre
Je ne veux plus craindre
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De simples mots
De simples mots
Peuvent éveiller un énorme fléau
Ils ont beau être beaux
Ils sont souvent la cause de mes maux
Je ne peux plus vivre
Enfermé de votre fautes
Je voudrais être libre
Rien qu'un temps avant que je ne saute
Je vais mal je l'admet
Je suis perdu
Comme au cœur d'une foret
Je pourrais finir pendu
Ma mort viendra
Rapidement elle m'emmenera
Comme une bonne amie
Je lui donnerais ma vie.
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Taisez vous
Je perd la tête
Je suis seul au fond
Je sais que je vous embêtes
Alors seul je me morfond
Perdu dans mes sentiments
C'est à moi même que je ment
Et même avec le temps
Jamais on ne m'entend
Un pauvre corps vide
Une carapace humide
Dénué d'amour propre
Ne voulant vous interrompre
Alors je reste en silence
Caché dans mon coin
Vous regardant de loin
Avant de ne rentrer en transe
Mon esprit s'enfuit
S'envolant dans la nuit
Une sage décision
Pour quelqu'un sans ambition
Une simple illusion
Qui disparaît pour affiché la réalité
La solitude, la seule à m'aimer
Sonne le carillon
Mon heure sonne
Je l'entend qui résonne
Et quand enfin je serait parti
Vous ne direz plus rien chers amis
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Sentiments
Entre tes doigts
Dans le creux de tes mains
Encore sous ta voix
Noyant mon corps en vain
Complètement recouvert
Hautement atteint
Loin d'en être débarrassé
Ouragan de souffrance
Entourant mon corps en vain
Longtemps j'ai enduré
Oubliant mes sentiments
Une vie de gâché
Irrité de ton absence
Souriant pour de faux
Enivré de tes mensonges
Complètement absorbé
Habitué désormais
A subir ce manque
Riant de tout cela
L'oubliant à ton tour
Innocemment, il te regarda
Envouté par ta beauté
Écoutant tes mots
Croyant qu'ils sont faux
Horriblement désorienté
Occupé à t'écouter
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Comme un oiseau
J'éparpille cette douleur
Dans les peines que je sème
Et quand viendra l'heure
Je récolterais tout moi même
Comme un oiseau tombant du ciel
Habilement rattrapé
A l'aide de mes faibles ailes
Restant fébrile
Loin de toi encore
Irremplaçable dans me tête
Encore trop accroché à toi
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Une passion
Ma lame source de mon bonheur
Laissant ses traces sur mon corps
Qui m'entraînera quand sonnera mon heure
Sûrement la cause de ma mort
C'est comme une addiction
C'est devenu une passion
M'entraînant dans sa folie
Jusqu'à en prendre ma vie
Les cicatrices s'entassent
Sur mon corps creux
Je ne me sens pas mieux
Mais jamais je ne m'en lasse
Un faux sourire
Pour cacher cette douleur
C'est bientôt mon heure
À la dépression je vire
Un jour sûrement
Je lâcherais mon accroche
Morte silencieusement
Je n'entendrai plus vos reproches
Dans cette boîte qui jamais ne me quitte
Se cache ma lame, mon amie
Toucher mon corps elle seule le mérite
De même que me prendre ma vie.
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Dormir
J'aimerais ne plus me réveiller
Ne plus avoir à supporter
Ou alors ne plus le faire seul
Ne plus être comme les gens le veulent
Un jour peut-être
Je ne serais plus là
De votre faute ou pas
Je n'aurais rien laissé paraître
J'aimerais partir
Je veux pouvoir respirer
Je veux enfin m'envoler
Laissez moi m'enfuir
Ma vie n'a aucune importance
Elle est dénuée de sens
Recouverte d'une peine immense
Je veux dormir
Et en finir
Ou me réveiller
Avec quelqu'un à mes côtés
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Plongeon aux enfers
Je retombe dedans
Mon vieil ami revient
Rien ne me retient
Cette vie n'a rien de marrant
Ma meilleure amie
De retour également
Depuis toujours elle me ment
Cherchant à prendre ma vie
Ils se connaissent tout deux
Reliant de tout point
Se retrouvant à chaque coins
Nous faisant croire que l'on est heureux.
La dépression et l'alcool
Tout deux liés par un étroit lien
Piégé entre leurs mains
Je crois que je deviens folle
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Adieux
Envie de rien
Juste de partir
Laisse moi m'enfuir
Je ne suis pas quelqu'un
La vie n'est pas si importante
Pourquoi s'emmerder à la supporter
Bon sang mais laissez moi respirer
Rejoindre la mort me tente
À cause d'un simple amour
Je sens que je vais le faire
Oui partir pour toujours
Pour enfin vous faire taire
Ne pouvez vous pas
Simplement comprendre
Que je ne veux plus être là
Que ma seule envie est de me pendre
S'en est enfin fini
Je m'en vais
Je vous dis merci
Vous ne me reverrez plus jamais
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Alex
Tu es partie
En ce jour triste et gris
Je subis seul ton absence
Et je me noie dans mon silence
J'entends encore ta voix
Je vois encore ton sourire
Une illusion devant moi
Mon état est de pire en pire
Mon cœur se brise
Je crois que je sombre
Je ne suis plus qu'une ombre
Qui voit la vie toute grise
Ta courte vie fût si triste
Tu n'as pas eu ce que tu mérites
Un simple mot ou un sourire
Aurait pu t'empêcher de partir
Tu étais ma vie,
Tu étais mon bien,
Je replonge dans la folie
Je n'entend plus rien
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4
313
Un moment
Voilà un moment que tu es parti,
Voilà un moment que tu as perdu la vie,
Un moment que je n'ai plus aucune envie,
Je suis désormais détruit et fini.
Mes habitudes avec toi,
À jamais disparu,
Je n'en ai plus le choix,
Je me sens complètement perdu.
Me pèse ton absence
Perdu dans le silence
Ça y est je recommence
J'ai perdu mes sens
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Malheur
Je sens que je me noie
Sous les événements que j'endure
Depuis le temps que ça dure
Pourrais je peut être avoir un peu de joie ?
Pourquoi toutes ses lettres que l'on m'envoie
Apporte des nouvelles toutes plus dure
Malgré mon allure
Je suis faible, ce n'est pas mon choix
Ainsi je me traîne
Et lorsque je n'ai plus peur
Reviennent bien vite mes peines
Voulant pouvoir rejeter ma haine
Je crois que c'est mon heure
Je replonge dans mon malheur
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0
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Help me
On passe notre vie
À dire que ça va
Pour le prouver on sourit
Même si au fond ça ne va pas
Pourquoi s'enfoncer
Pourquoi se pourrir encore plus
Essayons de remonter
N'y a t'il vraiment aucune astuce ?
Je l'avoue le cœur gros
Je vais mal sans le dire
Ce mensonge est loin d'être beau
Je risque d'en périr
Pourquoi s'enfoncer
Pourquoi se pourrir encore plus
Essayons de remonter
N'y a t'il vraiment aucune astuce ?
C'est ainsi que nous vivons
Cachant en nous le tous
Perdu tout au fond
Nos mensonges dans ce trou
Pourquoi s'enfoncer
Pourquoi se pourrir encore plus
Essayons de remonter
N'y a t'il vraiment aucune astuce ?
Malgré tout ce qu'on dit
Jamais je n'arrêterais
Parce que c'est comme ça qu'elle est
Ma triste vie
J'ai vécu le pire
J'ai encaisser les erreurs et les pertes
Pourquoi ne pas en rire ?
Entendez mon cri d'alerte !
Je vous cris à l'aide
Bien qu'en silence uniquement
Vite avant que je ne décède
Et qu'on ne se retrouve à mon enterrement...
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1
501
Je t'aime
C'est à travers tes yeux que je l'ai vu
En buvant tes paroles que je l'ai entendu
Quand à toi je me suis rendu
C'est là que je m'en suis aperçu
Je t'aime, c'est ce que j'en conclu
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L'amour
Derrière mon masque froid
Une grande peur se cache
Te perdre, être loin de toi
Je t'aime, je veux que tu le saches
L'amour est terrible
Quand en silence il nous attire
Il est irrésistible
Et quand on s'attache il se tire
Dans mon cœur étroit
Remplis par ta simple présence
Comme quoi sans toi
Ce serais la fin de mon existence
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Maux d'amour
Oublions la douleur que tu m'as affligé
Laissons derrière toute ma tristesse
Mon cœur désormais allégé
Bien que tes mots me blessent
Avant que tu ne retournes à ta paresse,
Dis moi quels sont ces sentiments anormaux,
Dis moi pourquoi, à toi, je m'intéresse.
Comme deux cœurs jumeaux.
Laissons la destin nous juger
Nous amener la sagesse,
Comme deux étranger
Que nos querelle cessent
Que me revienne ta tendresse,
Pour qu'enfin je retrouve mes mots.
Mais tu t'en désintéresses.
Ces événements paranormaux.
Je ne peux plus bouger
Tes paroles m'agresse,
Elles ne pourront changer
M'affaiblissant à toute vitesse,
Quel drôle de caresses,
Tout ces maudits mots,
Qui, sans cesse me rabaissent
La cause de tout mes maux.
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408
Toi
Qui m'ont poli l'imparfait de mon âme
Le targui se targuait de tâter de l'orgue
Le mal dont j'ai souffert s'enfuit comme un rêve
L'amour s'en va comme cette eau courante
Qui font que j'aimerais chaque douleur présente
Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté
Habitant d'un monde où sans toi je n'ai rien
La fausseté de l'amour même
Je reste sur le cul
Par le soleil de plomb sur un nuage d'or
Leur sang ressemble aux vins des mauvaise années
Les sanglots de la lyre et les pleurs de nos âmes
Le plus grand jour de ma vie, toujours
Ma bien aimé
Je te fais briller de tout ton éclat
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Libres
Nous sommes fait pour être libres
Il n'est pas vrai qu'on nous vainquit
Ainsi mon amour au coeur de la vie
La pudeur du language est un dernier orgueil
On rêve sur un poème comme on crève sur un être
Bon nombre d'hommes qui sont femmes.
Je suis ta ruine
Le ciel est facile à comprendre
L'ombre à plus de secrets que le coeur vert des eaux
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À en crever
Je t'aime à ne plus en respirer
Je ne peu me séparer
De ton image dans ma tête
Qui surpasse les forces de mon être
Je t'aime au point de te voir
Dans tous les coins de couloir
D'entendre ta voix sans cesse
Sans qu'elle ne me laisse
Je t'aime tout en te haïssant
Ton regard me déstabilisant
Ta figure m'éblouissant
Tout ton être terriblement attirant
Je t'aime sans fin
Tu me haït, enfin
Je ne peux le supporter
Alors, ouais, je t'aime à en crever
J'en fini donc avec la vie
Je poursuis mes envies
Loin de toi qui me retient
Je ne suis plus rien
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Seule
La plume glisse sur le papier,
Les larmes ne cessent de couler,
L'impression qu'elle ne s'arrêteront jamais,
Je pensais que la douleur s'estomperait,
J'écris pour me libérer,
J'écris pour rêver,
J'écris pour m'exprimer
J'écris pour oublier,
Que le monde est noir et qu'il fait mal,
Que tout est dérisoire, mais que c'est normal,
Je sais que le monde peut-être beau,
Je sais que c'est à nous de reprendre le flambeau,
Il faut que notre vie soit belle,
Essayer d'oublier les problèmes qui s'amoncellent,
Pendant quelques heures,
Ne laisser place qu'au bonheur,
Mais c'est dur, et parfois quand on y arrive,
On se dit "Est-ce pour ces petits instants heureux qu'on doit vivre ?"
La réponse est non,
Je sais qu'il ne faut pas dépérir,
Même si ça paraît facile, au fond,
Et je sais qu'il me faudra du temps pour guérir,
Mais je me battrais,
Je me battrais pour aller mieux,
Je me battrais pour réussir,
Je me battrais pour rendre des gens heureux,
Je me battrais pour mon avenir,
Je veux m'en sortir mais je ne veux pas oublier,
Oublier qui je suis, tout ce qui m'a fait avancer,
Oublier la route longue et ardue que je n'ai pas encore terminée,
Oublier la solitude qui m'a accompagnée pendant des années,
Oublier les mensonges, les coups bas, les mauvaises surprises,
Oublier les pleurs et la sensation d'être incompris,
Je commence peu à peu à m'en sortir et j'en suis fier,
Et quand ce sera enfin fini et que je regarderais derrière,
Je me dirais que j'ai réussi,
Et que mon caractère reflète ma vie.
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2
485
Douce douleur
La guerre dans mon cœur
Sentiment de pure douleur
Un attentat dans mes yeux
Je suis déjà tombé amoureux
Dans mon torse rien ne bat plus fort
Toutes mes pensées avaient torts
J'ai changé aujourd'hui
Je suis insensible, un gentil
Je veux y croire à contre courant
On nagera dans les plus beau océans
Et si le mal dominera
Je sais que se détruire on aimera ça
J'ai besoin de comprendre
Voir un bout de moi à tes lèvres se pendre
Eclair moi encore un peu
Que je sache d'où viennent mes bleus
Le passé trop alourdi
Pour un futur moins assombri
Je continuerai d'aimer la vie
Si elle même me donne envie
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Addiction
Un manque difficile à gérer
De tout petit j'y suis tombé
À 12 ans en boîte je fumais
Merci papa d'avoir tout ruiné.
C'est dur il me manque ma nicotine,
Ma dose d'endorphine
Cette fumée et cette odeur que je trouve divine
Lorsque je dis ça d'autre hallucinent
Je sens la différence depuis que je ne fume plus
Je fais du sport jusqu'à être abattu
Mais ces taffes que j'aime même si elles tuent
Sont durs à combler mais je me suis abstenu
Je me bats avec moi même
Mais bordel qu'est ce que j'aime
Et même si avec ça mes poumons je les sèment
J'ai besoin de mes clopes plus ou moins saines
Message à moi même : ne pas craquer
Très facile à dire difficile à appliquer
Plus aucun joint ça j'ai juré
Mais un peu de tabac...
Va me tuer
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Souvenirs
Comment fera-t-on quand tu seras parti,
Quand à jamais nous t'aurons oublié ?
Comment fera-t-on quand ça sera fini,
Quand des nouveaux arriveront ?
Les images passent et défilent
Aussi rapidement qu'un battement de cil.
On aimerait s'y rattacher
Mais le lendemain il disparaît.
Comment fera-t-on quand tu seras parti,
Quand on ne sera que des corps sans âmes
Quand en tête nous n'auront que les drames ?
Si et seulement si
Certains restaient ?
Laisseraient mon esprit en paix
Comme si l'espoir revivait.
On aimerait les joyeux
Mais c'est souvent les malheureux
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