Вірші
Heart
Tu te souviens de ton cœur ?
Dans la tourmente, sur l'a sûrement oublié.
Tu sais, celui qui est brisé.
Celui que tu ne trouves pas à la hauteur.
Tes pensées sombres occupent ta tête,
Tes cicatrices rouges occupent tes bras,
Tes larmes occupent tes yeux,
Et des fragments de ton cœur brisé occupe l'espace où, autrefois, il y avait ton cœur en un seul morceau.
Oui, je pense que tu l'as un peu oublié dans l'histoire.
Après tout, c'est celui qui te permet de vivre.
Ton cœur, c'est celui qui se tort en deux quand tu es triste.
C'est celui qui loupe en battement quand tu apprends une mauvaise nouvelle.
C'est celui qui accélère quand tu as peur.
C'est celui qui s'adapte à toi, car il est là grâce à toi et et il supporte tout ça pour toi.
Imagine si il te lâchait ?
Si, d'un coup, il arrêtait de battre ?
Car il a eu trop mal ?
Imagine l'inverse.
Tu le lâches d'un coup, après tout ce qu'il a fait pour toi ?
Il vit pour toi, et toi tu vis de lui.
Alors, sèche tes larmes,
Recolle ces petits morceaux de cœurs,
Cicatrise tes blessures,
Chasse tes idées noires,
Et souris à la vie.
Parce que la vie est belle, il faut juste la regarder.
Avec une pointe d'imagination.
Et d'amour.
Et de joie.
Et
Vivre
Ses
Rêves
Hihi
Legean_34 ❤️
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Glittering eyes
Si tes yeux brillent, disent-ils,
Ce n'est pas parce que tu es triste,
C'est juste le reflet des étoiles.
Si tes lèvres tremblent,
Ce n'est pas ta bouche qui te trahit,
C'est juste la fraîcheur de la nuit.
Si tes larmes s'échappent de tes yeux,
Ce ne sont pas tes émotions qui fuient,
C'est juste le vent qui te souffle dans les yeux.
Si ton souffle te manque, le soir, dans ton lit,
Ce n'est pas ton désespoir qui bloque tes poumons,
C'est juste un fantôme qui t'a bouché le nez.
Si tes oreilles n'entendent que des chansons tristes,
Ce n'est pas parce que c'est le seul genre de musique qui te comprend,
C'est juste celle qui s'accorde le mieux avec une nuit pluvieuse d'été.
Si ton esprit n'est plus capable de positiver,
Ce n'est pas parce que rien n'arrive de joyeux dans ta vie,
Mais parce que tu vois toujours le verre à moitié vide.
Si tous les soirs, tu n'as plus d'espoir pour le lendemain,
Ce n'est pas parce que tu es à bouts,
C'est seulement parce que tu manques de créativité.
Si personne ne t'aime,
Ce n'est pas parce que tu es différente,
C'est juste parce que les gens ne s'aperçoivent pas de ta présence.
Si tu ne veux jamais voir personne,
Ce n'est pas parce que tu es associable,
C'est juste parce que tu es fatiguée.
Si personne ne te comprends jamais,
Ce n'est pas parce qu'ils ne te voient pas,
𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮'𝐢𝐥𝐬 𝐧𝐞 𝐜𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞.
Quoi que tu essaies de leur expliquer, tu auras toujours tort de toute façon.
Tu n'es jamais triste, tu n' es jamais à bout, tu ne manques jamais d'amis.
C'est ce qu'ils préfèrent croire.
C'est bien plus simple de voir quelque chose de simple, parce que, vous comprenez, personne n'a envie de se coltiner une amie dépressive.
C'est bien plus simple de voir quelque chose de simple, plutôt que de remarquer le désarroi de la personne et d'intervenir pour elle.
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Fine
Pourquoi dans la vie, faut il toujours aller bien ?
Pourquoi a-t-on toujours peur de se confier à quelqu'un ?
Pourquoi tout le monde nous laisse tomber au moment où nous avons le plus besoin d'eux ?
Pourquoi n'est-ce pas si simple d'être heureux ?
Pourquoi suis-je associable ?
Pourquoi ai-je l'impression d'être un grain de sable ?
Pourquoi est-ce que j'accorde toujours trop facilement ma confiance aux gens ?
Et pourquoi eux ne s'excusent-ils jamais platement ?
Pourquoi je ne fais jamais ce que l'on attend de moi ?
Pourquoi ne suis-je même pas capable de me réjouir de ce que l'on a ?
Pourquoi je ne suis pas jolie ?
Pourquoi est-ce que je ne ressens que de la mélancolie ?
Pourquoi on dit que je suis cruelle ?
Alors que je fais tout pour ne pas l'être ?
Pourquoi je n'ai pas de réponses à ces questions ?
Pourquoi n'ai-je pas la perfection ?
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Past
Quand j'étais enfant, j'écrivais des poèmes.
Des poèmes, semblables à milles autres poèmes.
Pourtant, moi seul les voyaient comme ils étaient réellement.
Je voyais la légèrement ondulation de la feuille, là où de douces gouttes s'étaient échappées de mes yeux,
J'entendais le cris de douleur que ces phrases reflétaient.
Je sentais le désespoir à travers mes mots hargneux.
Je me souvenais de ces pensées, qui n'arrivait même pas à traduire ce que je ressentais.
Quand j'ai eu le courage de le montrer,
Les gens ont répliqués :
꧁- Comment peux-tu décrire cette tristesse, si tu ne la ressens pas ? ꧂
Leur moqueries m'avait faite réfléchir à ça.
Je n'étais pas triste ;
J'étais désespérée
Et personne ne me comprenait.
J'ai alors pris la route de la neutralité
Où l'on arrêtait de me prendre en pitié.
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