chapitre 1
Isia
Jean
Albert
Chapitre 2
Isia
Jean
Albert
Jean
Jean
J'ai appris à me mettre au garde à vous, à tenir une arme et à tirer . J'ai pris l'habitude mais pour moi, le son des bombes et des mitrailleuses reste source de frayeur. Chaque jours nous marchions des kilomètres, la boue rentrait dans mes bottes soldat, le froid de l'hiver passait entre les mailes de mon uniforme.
Sur notre route nous avions pu croiser des corps, étendu sur le côté. Alors nous savions, nous savions qu'il y avait eu des bombardements .

Aujourd'hui j'aimerai vous raconter une histoire, alors que j'etais en mission avec deux camarades, que nous marchions sur un terrain accidenté par des trous d'obus, deux avions, français et Allemand se battaient.  On se mit à l'abri, attendant que le combat finisse. Finalement on entendit un bruit d'avions qui chute . On jeta alors un regard méfiant hors de notre abris. Là, à quelques mètres de nous, un avions Allemand était en train de brûler . Mon camarade alors sortie et courue vers le pilote
"Tu es fou !"
Avait crier l'autre soldat avec nous . Mais mon camarade ne l'écoutait pas. Il pris soin d'enlever toutes armes à l'Allemand et le tira hors des flamme . À l'époque j'avais travaillé dans un hôpital, pas longtemps mais j'avais eu le temps de travailler les gestes de secours de base.
Pendant que mon autre camarade fouillait son sac, moi je découvrais la blessure de l'ennemi. Elle était asser profonde mais j'arriverai à la soigner, asser pour qu'il puisse se lever. 

Pendant que l'Allemand se reposait nous nous fîmes un bon petit repas avec ce qu'il nous restait. Nous prîmes garde à ne pas faire de feu, pour ne pas attirer les ennemis . La nuit nous nous étions touts le trois endormi et à notre réveil l'Allemand était partie, il ne nous avait rien volé, un bon gars.  Et il nous avait aussi laissé une lettre . Elle était écrite en Allemand et ni moi ni mes deux camarades ne parlions cette langue mais je réussi à déchiffrer tout de même "Merci" . Ce ne fût qu'à notre retour que je pus entièrement la déchiffrer. Ce soldat nous remerciait sincèrement, il était reparti du côté Allemand. Celui était un bon gars, mais je savais que les histoires comme celle-ci ne finissent pas toujours bien, nous aurions dû nous méfier d'avantage, le soldat aurait pue nous tuer.

© Just_axelle just_axelle,
книга «La seconde guerre mondiale ; nos âmes perdues».
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