chapitre 1
Isia
Jean
Albert
Chapitre 2
Isia
Jean
Albert
Jean
Jean
Au son du sifflet je me suis mis à courir, le plus vite que j'ai pu, évitant des obus ou toutes sorte de danger mortel.
J'ai tellement courus que je me suis retrouvé seul dans une forêt, avec en son de fond , le bruit du champ de bataille. Soudain j'entends du bruit, c'est très dangereux de rester dans une forêt pour un soldat, n'importe quel ennemi peut se cacher facilement. Je prend mon arme, prêt à tirer. J'avance sur mes gardes, le plus vite possible, retourner sur un terrain lisse . Maintenant, je devais revenir à l'endroit que je fuyais quelques instants auparavant.

- Fliehen wir vor dem Krieg?
Demanda une voi dans mon dos asser sarcastique.

Un allemand ! J'allais tirer mais au même moment j'aperçus le soldat que j'avais sauvé. Je voyais qu'il était près à tirer, mais que pour se protéger. Je descendis alors légèrement mon arme en signe de paix et il fit la même chose, mais aucun de nous ne lâcha complètement son arme .

-Merci, moi pas bien parler français mais je ai des bases .je appelle Erich.

Me dit l'allemand avec un fort accent.

-Euh...C'est pas grave . Moi je m'appelle Jean . Euh...Fröhliche Weihnachten .

Joyeux Noël... Oui, nous étions le 24 . Normalement c'est véritablement demain mais je ne sais pas si je serai encore en vie pour le souhaiter à quelqu'un, même à un Allemand.

- Fröhliche Weihnachten . On fait paix aujourd'hui ? Tien pour remercier toi.

Il me tendit une cigarette que j'accepte volontiers. J'allais enfin savoir si les Allemands fessaient de meilleurs cigarettes. C'est un grand débat avec mes camarades. Je m'aperçus alors que c'était exactement la même. Nous ne sommes pas si différents, nous ne sommes pas inférieurs ou supérieurs, nous sommes égaux.

La cigarette arrêta instantanément mes douleurs, ça fait 3 semaines que je n'en ai pas eu . On fit le route ensemble vers le champ de bataille où le bruit avait cessé et on se sépare au bord de la forêt .

- Auf Wiedersehen

-Au revoir .

On se souris avant de partir . Je ne serrai dir si cette rencontre m'avais ou pas réchauffé le cœur . Je savais juste maintenant, que je pourrai sans le savoir tuer un ami .
Nous avons convenu avec mes camarades que nous ne tiront pas demain . Aucun combat.
Toute la soirée je dû m'occuper des blessés, tirer dans un camion les corps de ceux que je n'ai pas pu sauver.

Le landemain, alors que chacun ce souhaitait joyeux Noël, certains avec mélancolie, on entendit un chant Allemand. Un chant de Noël connu. Les larmes me monta aux yeux sans le vouloir. J'aurai du être auprès de ma femme et de mes enfants, j'aurais du jouer au piano des chanssons de Noël pour ma famille . Alors aujourd'hui, je n'avais peut-être pas de famille auprès de moi, mais j'avais des amis, français mais aussi Allemands. Je commence alors doucement à avancer vers l'ennemi, au loin je peux voir Erich faire la même chose que moi . Les autres soldats nous regarde . Ce que je vis moi, c'était une arme ennemie braquée sur moi.  D'un geste de main, son voisin abbesse l'arme . C'est Noël aujourd'hui, pas de morts, alors ont se met à chanter . Erich en Allemand et moi en français, suivis de touts les autres .

© Just_axelle just_axelle,
книга «La seconde guerre mondiale ; nos âmes perdues».
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