Chapitre 18
-- Je refuse d'y participer ! M'écriais-je, toujours dans mon pyjama trempé. Désinscrit moi ! >>
-- Comment dire..., hésita Kurenai. Tu ne peux plus te désinscrire. La liste des participantes est déjà annoncée ! >>
-- C'est une blague ?! M'exclamais-je. Je m'affale sur mon lit et me masse les tempes. C'est pas vrai...
Au pire, je me désisterais au dernier moment.
-- Mais si tu te désistais, Kakashi sera encore plus déçu, rajouta mon amie comme si elle avait deviner le fond de mes pensées. Il a précisé qu'il est content d'avoir autant d'admiratrices.
Le rouge me monta aux joues. Non mais elle allait se taire oui ? Je crois que je n'ai pas trop le choix...
***
Je sors enfin de chez moi au pas de course. Je ne veux pas le croiser sur le palier. Je descends les escaliers et sors en ville. Effectivement, il y avait plein d'affiche pour ce tournoi débile. Et les villageois semblait excités d'y assister. Sérieux, quelle idée débile.
Je comprends qu'elle s'inquiétait pour moi mais de la à faire ça..
C'EST ABSURDE !
Je regardais la liste des participantes. Il y avait des personnes de toutes âges. Des jeunes de mon âge principalement mais il y en avait qui devait avoir la quarantaine. Je plains Kakashi.
D'après ce que m'avait dit Kurenai, il fallait que j'achète une robe de soirée. Nan mais sérieux, un défilé de robe de soirée ! Je suis une ninja, j'ai pas le temps à perdre avec ce genre de truc ! Je n'en ai jamais mis une de ma vie. Ensuite, faire de la cuisine. Je ne sais absolument pas cuisiner ! Et la dernière fois que j'ai essayé...disons que Kushina est...Comment dire...tombée dans les pommes tellement c'était horrible. Du coup j'ai goûté, et il m'est arrivé le même sort. Apres, y a la tenue à table. Ça, ça devrait aller. Il y aura une course et des combats ninjas. Les deux dernières épreuves, je suis sûre de les réussir.
Je soupire.
-- Pourquoi tu soupires ? Me demande Kurenai qui m'avait suivie. >>
-- Qu'est-ce que tu fais encore là toi ? Demandais-je, plus qu'exaspérée. >>
-- C'est évident non ? Je vais t'aider à choisir une robe voyons ! S'enthousiasma Kurenai. >>
Elle me prit par le bras et m'entraîna dans des magasins. C'est parti pour une longue après-midi shopping bien chiante.
Ça y est, je suis fichue.
***
Mon heure est venue.
Je suis toute stressée et tendue. Je suis dans ma robe de soirée. C'est véridique, je hais les robes. C'est trop serré et encombrant ! Les participantes se foudroient du regard. Le tournoi a commencé.
Les participantes vont sur le podium une à une et reviennent. C'est mon tour.
Je m'avance sur le podium. Il est au fond de la pièce. J'ai tellement envie de m'enfuir mais c'est trop tard. Je soutiens son regard avec défi. Je n'oublie pas ces mots froids. Je ne dois pas paraître faible. Je dois lui faire ravaler ses paroles.
Même si pour cela, je dois lui mettre mon poing dans sa gueule.
Je m'avance fièrement. Je lui ferai ravaler coûte que coûte. J'ai un peu de mal à tenir sur des talons. J'en ai jamais mis de ma vie. Je marche sans faire exprès sur ma robe..Oh merde. Je tombe. Je m'éclate le visage contre le podium dur.
Il ne pouvait pas m'arriver pire. Surtout devant lui.
-- Comment dire..., hésita Kurenai. Tu ne peux plus te désinscrire. La liste des participantes est déjà annoncée ! >>
-- C'est une blague ?! M'exclamais-je. Je m'affale sur mon lit et me masse les tempes. C'est pas vrai...
Au pire, je me désisterais au dernier moment.
-- Mais si tu te désistais, Kakashi sera encore plus déçu, rajouta mon amie comme si elle avait deviner le fond de mes pensées. Il a précisé qu'il est content d'avoir autant d'admiratrices.
Le rouge me monta aux joues. Non mais elle allait se taire oui ? Je crois que je n'ai pas trop le choix...
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Je sors enfin de chez moi au pas de course. Je ne veux pas le croiser sur le palier. Je descends les escaliers et sors en ville. Effectivement, il y avait plein d'affiche pour ce tournoi débile. Et les villageois semblait excités d'y assister. Sérieux, quelle idée débile.
Je comprends qu'elle s'inquiétait pour moi mais de la à faire ça..
C'EST ABSURDE !
Je regardais la liste des participantes. Il y avait des personnes de toutes âges. Des jeunes de mon âge principalement mais il y en avait qui devait avoir la quarantaine. Je plains Kakashi.
D'après ce que m'avait dit Kurenai, il fallait que j'achète une robe de soirée. Nan mais sérieux, un défilé de robe de soirée ! Je suis une ninja, j'ai pas le temps à perdre avec ce genre de truc ! Je n'en ai jamais mis une de ma vie. Ensuite, faire de la cuisine. Je ne sais absolument pas cuisiner ! Et la dernière fois que j'ai essayé...disons que Kushina est...Comment dire...tombée dans les pommes tellement c'était horrible. Du coup j'ai goûté, et il m'est arrivé le même sort. Apres, y a la tenue à table. Ça, ça devrait aller. Il y aura une course et des combats ninjas. Les deux dernières épreuves, je suis sûre de les réussir.
Je soupire.
-- Pourquoi tu soupires ? Me demande Kurenai qui m'avait suivie. >>
-- Qu'est-ce que tu fais encore là toi ? Demandais-je, plus qu'exaspérée. >>
-- C'est évident non ? Je vais t'aider à choisir une robe voyons ! S'enthousiasma Kurenai. >>
Elle me prit par le bras et m'entraîna dans des magasins. C'est parti pour une longue après-midi shopping bien chiante.
Ça y est, je suis fichue.
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Mon heure est venue.
Je suis toute stressée et tendue. Je suis dans ma robe de soirée. C'est véridique, je hais les robes. C'est trop serré et encombrant ! Les participantes se foudroient du regard. Le tournoi a commencé.
Les participantes vont sur le podium une à une et reviennent. C'est mon tour.
Je m'avance sur le podium. Il est au fond de la pièce. J'ai tellement envie de m'enfuir mais c'est trop tard. Je soutiens son regard avec défi. Je n'oublie pas ces mots froids. Je ne dois pas paraître faible. Je dois lui faire ravaler ses paroles.
Même si pour cela, je dois lui mettre mon poing dans sa gueule.
Je m'avance fièrement. Je lui ferai ravaler coûte que coûte. J'ai un peu de mal à tenir sur des talons. J'en ai jamais mis de ma vie. Je marche sans faire exprès sur ma robe..Oh merde. Je tombe. Je m'éclate le visage contre le podium dur.
Il ne pouvait pas m'arriver pire. Surtout devant lui.
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