The Principal
Pdv Gon
Kikyo Zoldyck, notre professeur, nous traînait par la peau des oreilles jusqu'au bureau du Principal.
- Comment osez-vous vous comportez ainsi jeunes gens ? La violence n'est pas tolérée !
Pitou se plaignit :
- Aïe! Ma mère a payé cher pour me faire cette oreille vieille vache !
La vieille vache nous hurla de posez notre cul sur les chaises du couloir, salle d'attente du bureau du Principal. Elle entra ensuite directement par la porte du bureau, nous laissant patienter là avec deux autres garçons.
Je soupira en voyant Pitou me lancer un regard noir puis détourner les yeux à l'opposé de ma personne. Elle montrait juste son manque de confiance en elle sur moi, ce n'était pas sa faute. J'étais sûr qu'elle pourrait être une bonne personne, si elle le voulait.
Je tourna la tête vers nos deux compagnies. Je reconnaissais Feitan, assis à côté de moi. Il sortit de je ne savais où un paquet de cachets roses.
- Qu'est-ce que tu avales ? lui demandais-je, curieux.
- Des pilules roses... Les médicaments les plus faibles qu'ils obligent les mauvais élèves à avaler.
- Pourquoi donc ? re-demandais-je, commençant à paniquer.
- Pour nous contrôler, me répondit mon camarade en tournant vers moi un visage flanqué d'un sourire forcé.
Je ne sus quoi répondre. Pitou cria à l'autre élève, Sharnalk d'après mes souvenirs, que ce qu'il faisait était Putain de dégueulasse. Le blond reposa alors son doigt couvert de glue hors de sa bouche. Je posa mon menton dans le creux de ma paume. On était pas sortis de l'auberge avec ces trois là. Voyons voir si ce qui se passait dans le bureau du proviseur était plus intéressant. J'utilisa mes pouvoirs pour entendre la conversation derrière ces murs.
~~
Face au bureau du Principal se tenait assise Monsieur Kastro. Elle se faisait appeler Mademoiselle, car elle était transexuelle. J'adorais cette prof. Et je n'étais pas le seul. Mlle Kastro se faisait apprécier par la majorité des élèves. Notre professeure Kikyo Zoldyck se tenait aux côtés du Principal, Silva Zoldyck. C'était le mari de la vieille vache, au cas où vous ne l'auriez pas compris. Beaucoup moins aimé à son opposé.
- Bien, expliquez-moi ce que c'est que cette attitude et cette façon de vous habiller Monsieur ? lui demanda cet homme en insistant bien sur le Monsieur.
Je reconnaissais la voix de Mlle Kastro qui lui répondait.
- Je fais ma transition en ce moment. Je me suis rendu compte il y a peu que j'étais une femme. Cela signifie beaucoup pour moi de m'exprimer librement.
- Vous comprenez bien entendu la politique de cette école, Monsieur Kastro ? s'incrusta Mme Zoldyck.
- Oui, je ne connais que trop bien votre manière d'enseigner. Mais s'il vous plaît, je vous pries de m'accepter comme je suis. Mes élèves m'adorent, et j'adore mon travail ! répliqua de tout son cœur Mlle Kastro.
Je perçus des rires chez les deux bourges, puis le Principal qui reprit la parole.
- Mademoiselle Kastro, vous êtes renvoyée.
~~
Fou de rage face à ce grotesque échange, j'attrapa un téléphone que j'avais fait apparaître du plafond pour pouvoir toucher deux mots à ce Principal de mes deux.
~~
Sournois, gourmand, cherchant de l'argent
Réclamant tout en rampant
Foutez les dans vos poches
Vous pensez gagner rien qu'en couinant
Que vais-je dire à votre mère ?
Son fils vient tout droit des enfers
Ce n'est pas moi qui le dit, tout le monde le pense
Que vous n'êtes pas très juste
Quand vous venez faire mal
Pour gagner un peu plus de pognon
Forcés de suivre le patron
Qui est possédé par des démons
J'essaie de vous faire comprendre
Mais vous n'écoutez pas, n'est-ce pas ?
Vous tuez les enfants jours et nuits
Pillules, ordonnances, combats en ligne
Vous tirez sur les anges tout en jurant être un gars brillant
Vous n'aimez que votre argent
"J'emmerde vos rêves" c'est indécent
Le principal
Où sont les principes de ce principal
Les principes
A-t-il seulement des principes, où est le principal
Trop compliqué, surestimé
Trop obsédé, surexcité
Par la séparation
De cet endroit que vous avez créé
J'emmerde vos règles à la con
Vous ne devriez même pas être des nôtres
Ne voyez-vous pas que vous nous tuez ?
On apprend rien quand vous enseignez
Excusez moi, combien vous gagnez ?
Vous ne savez pas la peine que vous causez
Vos actions font mal, les mots aussi
Plus vous essayez de nous mettre à terre
Plus l'on va venir crier derrière votre porte
J'essaie de vous faire comprendre
Mais vous n'écoutez jamais, n'est-ce pas ?
~~
Bien entendu, il avait raccroché avant même que je n'ai pu dire un mot. Mais je me promis qu'un jour, je ferais payer à cette ordure tout le mal qu'il provoquait ! Et peu importe la façon dont ça se règlait. Le Principal faisait parti de mes ennemis. Et je n'allais pas prendre de gants blancs.
~~
Kikyo Zoldyck, notre professeur, nous traînait par la peau des oreilles jusqu'au bureau du Principal.
- Comment osez-vous vous comportez ainsi jeunes gens ? La violence n'est pas tolérée !
Pitou se plaignit :
- Aïe! Ma mère a payé cher pour me faire cette oreille vieille vache !
La vieille vache nous hurla de posez notre cul sur les chaises du couloir, salle d'attente du bureau du Principal. Elle entra ensuite directement par la porte du bureau, nous laissant patienter là avec deux autres garçons.
Je soupira en voyant Pitou me lancer un regard noir puis détourner les yeux à l'opposé de ma personne. Elle montrait juste son manque de confiance en elle sur moi, ce n'était pas sa faute. J'étais sûr qu'elle pourrait être une bonne personne, si elle le voulait.
Je tourna la tête vers nos deux compagnies. Je reconnaissais Feitan, assis à côté de moi. Il sortit de je ne savais où un paquet de cachets roses.
- Qu'est-ce que tu avales ? lui demandais-je, curieux.
- Des pilules roses... Les médicaments les plus faibles qu'ils obligent les mauvais élèves à avaler.
- Pourquoi donc ? re-demandais-je, commençant à paniquer.
- Pour nous contrôler, me répondit mon camarade en tournant vers moi un visage flanqué d'un sourire forcé.
Je ne sus quoi répondre. Pitou cria à l'autre élève, Sharnalk d'après mes souvenirs, que ce qu'il faisait était Putain de dégueulasse. Le blond reposa alors son doigt couvert de glue hors de sa bouche. Je posa mon menton dans le creux de ma paume. On était pas sortis de l'auberge avec ces trois là. Voyons voir si ce qui se passait dans le bureau du proviseur était plus intéressant. J'utilisa mes pouvoirs pour entendre la conversation derrière ces murs.
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Face au bureau du Principal se tenait assise Monsieur Kastro. Elle se faisait appeler Mademoiselle, car elle était transexuelle. J'adorais cette prof. Et je n'étais pas le seul. Mlle Kastro se faisait apprécier par la majorité des élèves. Notre professeure Kikyo Zoldyck se tenait aux côtés du Principal, Silva Zoldyck. C'était le mari de la vieille vache, au cas où vous ne l'auriez pas compris. Beaucoup moins aimé à son opposé.
- Bien, expliquez-moi ce que c'est que cette attitude et cette façon de vous habiller Monsieur ? lui demanda cet homme en insistant bien sur le Monsieur.
Je reconnaissais la voix de Mlle Kastro qui lui répondait.
- Je fais ma transition en ce moment. Je me suis rendu compte il y a peu que j'étais une femme. Cela signifie beaucoup pour moi de m'exprimer librement.
- Vous comprenez bien entendu la politique de cette école, Monsieur Kastro ? s'incrusta Mme Zoldyck.
- Oui, je ne connais que trop bien votre manière d'enseigner. Mais s'il vous plaît, je vous pries de m'accepter comme je suis. Mes élèves m'adorent, et j'adore mon travail ! répliqua de tout son cœur Mlle Kastro.
Je perçus des rires chez les deux bourges, puis le Principal qui reprit la parole.
- Mademoiselle Kastro, vous êtes renvoyée.
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Fou de rage face à ce grotesque échange, j'attrapa un téléphone que j'avais fait apparaître du plafond pour pouvoir toucher deux mots à ce Principal de mes deux.
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Sournois, gourmand, cherchant de l'argent
Réclamant tout en rampant
Foutez les dans vos poches
Vous pensez gagner rien qu'en couinant
Que vais-je dire à votre mère ?
Son fils vient tout droit des enfers
Ce n'est pas moi qui le dit, tout le monde le pense
Que vous n'êtes pas très juste
Quand vous venez faire mal
Pour gagner un peu plus de pognon
Forcés de suivre le patron
Qui est possédé par des démons
J'essaie de vous faire comprendre
Mais vous n'écoutez pas, n'est-ce pas ?
Vous tuez les enfants jours et nuits
Pillules, ordonnances, combats en ligne
Vous tirez sur les anges tout en jurant être un gars brillant
Vous n'aimez que votre argent
"J'emmerde vos rêves" c'est indécent
Le principal
Où sont les principes de ce principal
Les principes
A-t-il seulement des principes, où est le principal
Trop compliqué, surestimé
Trop obsédé, surexcité
Par la séparation
De cet endroit que vous avez créé
J'emmerde vos règles à la con
Vous ne devriez même pas être des nôtres
Ne voyez-vous pas que vous nous tuez ?
On apprend rien quand vous enseignez
Excusez moi, combien vous gagnez ?
Vous ne savez pas la peine que vous causez
Vos actions font mal, les mots aussi
Plus vous essayez de nous mettre à terre
Plus l'on va venir crier derrière votre porte
J'essaie de vous faire comprendre
Mais vous n'écoutez jamais, n'est-ce pas ?
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Bien entendu, il avait raccroché avant même que je n'ai pu dire un mot. Mais je me promis qu'un jour, je ferais payer à cette ordure tout le mal qu'il provoquait ! Et peu importe la façon dont ça se règlait. Le Principal faisait parti de mes ennemis. Et je n'allais pas prendre de gants blancs.
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