Prologue
1 Poudlard
2 L'Ordre du Phoenix
3 Les confidences de Sirius
4 Enfin une idee
6 Une Nouvelle Recrue
7 Bienvenue chez les Maraudeurs
8 La Chambre des Secrets
9 La maison des Gaunt
10 Nuit d'été
11 La Caverne aux Inferi
12 le Médaillon de Salazar Serpentard
13 l'appel du désirs
14 Tergiversations
15 le Manoir Malefoy
16 Le Journal de Jedusor
17 La Lettre de Méredith
18 Gringott
19 Bellatrix Lestrange
20 l'ombre du Grand Sorcier
21 Adieu Dumbledore
22 Après la pluie vient le beau temps
23 Une Erre Nouvelle
24 Le Miracle de La Naissance
25 Le Temps est une Boucle Infernale
EPILOGUE
1 Poudlard
Le professeur Mcgonagall l'observait comme si elle avait vu le spectre de Voldemort se matérialiser devant elle.

- Qui êtes vous ? Répéta t'elle.

- Je m'appelle Hermione Granger, et je dois voir le professeur Dumbledore immédiatement. Répéta Hermione en tentant de garder son calme. En d'autres temps, elle aurait essayé de se mettre à la place du professeur, découvrant sur le parquet du hall, une jeune femme inconnue, tout droit sortie d'un film d'horreur. Mais elle n'avait pas le temps, pour ça.

- Que lui voulez vous ? Demanda le professeur, le ton inquisiteur, les sourcils froncés, le regard perçant. Et comment êtes vous entrée ?

- C'est ce que je dois expliquer au professeur Dumbledore. Dit Hermione, en fermant et ouvrant ses poings, convulsivement, pour se contraindre à demeurer impassible.

Un court instant, le professeur Mcgonagall la détailla, semblant réfléchir sur la conduite à tenir.

- Très bien, dit elle. Donnez moi votre baguette

- Ma...mais pourquoi ?

- Vous ne croyez quand même pas que je vais vous conduire armée, au professeur Dumbledore ?
C'était logique, bien sûr, mais Hermione redoutait de se démunir de son seul moyen de défense. Mais au château, en compagnie de Dumbledore, que risquait- elle ?
Avec un soupir résigné, elle lui donna sa baguette.
Le professeur tendit sa propre baguette dans sa direction, et malgré elle, Hermione frémit.

- Ne vous inquiétez pas, lui dit-elle, c'est juste pour vérifier si vous ne cachez pas une autre baguette...ou autre chose. Nous vivons des temps difficiles, la méfiance est de mise.

- A qui le dites-vous. Songea Hermione. La baguette crépita. Hermione sentit des picotements dans tout le corps.

- Bien, suivez moi. Dit alors le professeur Macgonagall.

C'était étrange, de parcourir ce couloir silencieux et désert, alors que quelques heures auparavant, s'y déroulait une terrible bataille.
Une larme roula sur sa joue, elle l'essuya d'un geste bref. Elle ne voulait pas y penser, pas pleurer. Ce n'était pas le moment.

L'escalier en colimaçon, elle retint son souffle. Elle allait le revoir. Son coeur s'emballait déjà.
Des petits coups frappés à la porte, et la voix du professeur Dumbledore.

- Entrez.
Le professeur Mcgonagall, passa la tête dans l'embrasure.

- Excusez moi, Albus. Mais...une jeune femme demande à vous parler.

- Une jeune femme ?

- Oui. Je l'ai trouvé couchée, par terre, dans le hall.

- Voilà qui n'est pas banal.

- Je ne vous le fait pas dire.

- Bien, bien, ne la faites pas attendre, Minerva.

Hermione avança d'un pas hésitant.
Le bureau n'avait pas changé. Les mêmes objets hétéroclites, les mêmes tableaux, et Fumsec, le phénix, sur son perchoir. Dumbledore était plus jeune. Mais c'était le même regard scrutateur brillant d'intelligence, derrière ses lunettes.
Il l'observa attentivement. Et elle dut faire un gros effort sur elle-même pour ne pas fondre en larme.

- Et bien, dit il, voilà une visite bien surprenante, Miss ?

Hermione passa sa langue sur ses lèvres sèches.

- Granger, professeur, dit elle d'une voix tremblante d'émotion. Hermione granger, et... je viens du futur.

Il fronça les sourcils.
Elle retira sa bague, et la posa sur le bureau.

- Vous reconnaissez ceci ?
Les yeux du vieux sorcier, se posèrent alternativement sur la bague, et sur elle.

- Ou avez vous eu ceci ? Demanda t'il d'une voix grave ?

- C'est vous, qui me l'avez donné. Dit elle.

- Asseyez vous Miss Granger, je pense que vous en avez besoin. Et racontez moi tout.
Hermione se laissa choir dans un fauteuil.

- Avant tout, pourriez vous me dire en quelle année, nous sommes, s'il vous plaît ? Demanda t'elle.

- Nous sommes le 1er juillet 1979. Et vous, de quelle année, venez vous ?

Hermione réfléchissait à toute vitesse. 79, cela faisait dix neuf ans, avant la bataille de Poudlard.
Elle déglutit.

- Je viens du 2 mai, 1998. Dit elle dans un souffle.

- je vois. Si vous êtes là, c'est que les choses n'ont pas tournés en notre faveur.

- C'est le moins que l'on puisse dire.

- Voldemort ?

Elle acquiesça.

- Alors la guerre dure depuis près de trente ans !

- Ce n'est pas tout à fait exact. Professeur. Mais....je ne sais pas si je dois vous en dire plus. Vous m'avez assez répèté que je ne devais parler à personne du futur, parce que les conséquences, pourraient être désastreuses. Même si la situation l'est déjà.

- C'est un sage conseil, en effet. Cependant, si vous êtes là, c'est parce que j'ai pensé, que vous pourriez changer les choses, n'est ce pas ?
Elle hocha la tête.

- Et vous ai je prévenu, des conséquences que ce voyage aurait sur votre vie ?

Hermione déglutit.

- Je sais que je ne pourrais jamais retourner à mon époque. Dit elle dans un souffle.

- Mais vous êtes quand même venue.

- Plus rien ne me retenait, et....je...je...je n'avais pas le choix.

L'image fugace du corps sans vie de Harry, de celui de Ron, traversa son esprit. Une larme silencieuse, roula sur sa joue.

- Hum, je vois. Répondit Dumbledore.

- Vous revenez d'une bataille, êtes vous blessée ?

- Non, enfin, rien de sérieux.
Je vais quand même demander à Madame Pomfresh, de vous examiner.

- C'est inutile, je vous assure.

- J'insiste.

Elle était si fatiguée. Elle rêvait juste de poser sa tête sur un oreiller, et de dormir.
Un bref instant, elle ferma les yeux.

- Le professeur Mcgonagall, va vous conduire à l'infirmerie, Ensuite, elle vous conduira à votre chambre. On vous apportera un repas, vous devez mourir de faim. Oh, et nous vous fournirons également des vêtements propres. Il semble que vous en avez grand besoin..Nous reprendrons cette conversation demain matin, les choses vous paraîtront sans doute plus claires, après un bon repas et une nuit de sommeil...

- Je...non,... Ça va, je vous assure.

- Voyons, vous ne parvenez même plus à garder les yeux ouverts. Vous n'arriverez à rien, dans l'état d'épuisement dans lequel vous vous trouvez.

Elle aurait voulu protester, lui dire qu'elle se sentait bien, mais son estomac choisit ce moment, pour se manifester bruyamment.
Dumbledore, lui adressa un regard éloquent, et elle hocha la tête.

Le professeur Mcgonagall, la conduisit à travers le dédale de couloirs et d'escaliers. Jusqu'à l'infirmerie. Elle marchait près d'elle, en silence, comme un automate, trop fatiguee, pour parler. Luttant pour retenir la souffrance, qui pointait sa langue venimeuse, sur son coeur malmené. Ne pas penser, ne pas pleurer. Chasser les images en forme de flash back, qui surgissaient, importunes et douloureuses. Harry, Ron, Ron !

- Je t'aime Hermione. Ses derniers mots.
Les larmes, encore. Non ! Elle ne peut pas se permettre de pleurer, d'être faible.

La porte de l'infirmerie, et une madame Pomfresh, si jeune !

- Par Merlin, s'écria t'elle. Que m'amenez vous là, Minerva.

- Cette jeune personne est l'invitée du professeur Dumbledore, je vous la confie.
Puis, se tournant vers Hermione, je viendrais vous chercher dans un petit moment.

La porte se referme. Elle reste plantée là, incapable de penser.

- Et bien, venez là. Lui dit l'infirmière. Elle obéit.
Quelques coups de baguettes habiles, quelques potions qu'elle boit sans protester.

- Hum, vous avez l'air d'en avoir vu de dures, vous. Vous avez l'air bien jeune, pour vous retrouver mêler à ces horribles événements. Hélas, cette guerre n'épargne personne. Vivement qu'on attrape ce mage noir.
Hermione laisse échapper un rictus amer. Si elle savait !
Le professeur revient la chercher, et elles repartent, en silence.

- Voilà, dit le professeur Mcgonagall.
Nous vous avons fait préparer une chambre. Reposez vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin
Elle met toute sa chaleur et sa bienveillance dans ses propos, mais,Hermione ne l'entend pas.
Elle entre. Le fumet d'un bon repas lui flatte les narines. Elle s'assoit devant le bureau. Ça a l'air delicieux, comme toujours. Les elfes ont fait un excellent travail. Les elfes, Dobby, Mort, lui aussi, tué par cette garce de Bellatrix, comme Sirius, comme Ginny, comme Molly Weasley. Je t'aime Hermione !
Elle gémit, repousse son assiette. La nausée, la gagne. Elle se rue dans les toilettes. Et avec la bile, les larmes jaillissent. Elle les retient depuis si longtemps. La douleur qu'elle n'a plus la force de refouler lui brûle le coeur.
Elle se roule en boule. Ferme les yeux, Et les souvenirs, de cette terrible nuit, qu'elle vient à peine de vivre, affluent, comme une vague, interminable, de souffrance inimaginable.
La voix de Harry.

- si j'échoue, s'il me tue, et qu'il gagne, tu es la seule, à pouvoir changer ça. Je sais que ça demande un énorme sacrifice, de ta part, Hermione, mais...on ne peut pas le laisser gagner. Quoique tu fasses, quoiqu'il se passe, reste en vie. On a besoin de toi. J'ai besoin de toi.

Le corps sans vie de Harry, flottant dans les airs, comme un vulgaire ballon de baudruche. Cette envie de hurler

Neville, qui coupe la tête du serpent, son regard, si fier, à la fois surpris d'avoir réussi, et triomphant, la lueur verte, qui sort de la baguette de Voldemort le sourire de Neville, qui se fige, son corps qui tombe.
Et la bataille, qui reprend, de plus belle, à l'intérieur de l'école.
Pas le temps de pleurer les morts,
La bas, dans la grande salle, Ginny affronte Bellatrix.
La rumeur enfle, Remus Lupin et sa jeune épouse, l'Auror Nymphadora sont morts, tous les deux. Une pensée, rapide, car elle affronte Dolohov, au moins, Harry, n'est plus là pour le voir. La nouvelle l'aurait dévasté. Il n'est pas là non plus, pour voir Ginni tomber, près du corps de sa mère, qui a tenté de s'interposer, entre Bellatrix et sa fille.
Dolohov stupéfixé, le regard d'hermione croise celui de Ron, il a prit la place de sa soeur, et affronte Bellatrix, mais la haine et la souffrance l'aveugle. La lueur verte jaillit, de la baguette de la mangemort le regard surprit de Ron, tandis qu'il tombe.
Le hurlement déchirant d'hermione,
Elle se rue sur lui, sur elle, cette ignoble garce, qui la regarde en riant. quelqu'un l'a retient, elle se retourne, le regard de Dean Thomas lui brise le coeur. Barbouillé de sang, des larmes pleins les yeux, il l'implore. Autour d'eux, la bataille fait rage, les membres de l'Ordre, tombent, les uns après les autres. Elle comprend que tout est perdu. Ils vont tous mourir.
Une poignée de survivants, se masse autour d'elle, et la voix de Harry, qui la poursuit. Reste en vie. Sauve nous.

- Venez.
La course éperdue, jusqu'à la salle sur demande.

Dans les toilettes, de la chambre, Hermione n'est plus qu'une masse de souffrance.

Elle ignore, comment elle s'est retrouvée dans le lit. Mais elle s'y réveille, des larmes séchées, sur ses joues, les yeux rouges et gonflés.
Elle soupire. Refuse de bouger. Elle veut rester là. Fermer les yeux, et ne plus les rouvrir, jamais.
Mais...elle a une mission...les morts, comptent sur elle. Et elle n'a pas le droit, de les décevoir. Alors. Avec un soupir résigné, elle se glisse sous la douche, et s'aprête, à affronter sa première journée, dans cette époque inconnue, dont le seule point commun, avec la sienne, est cette guerre, contre ce même mage noir, qui a décimé les siens.

Elle s'habille, et attend. Que doit elle faire ? Allez trouver Dumbledore ? Attendre, qu'il la fasse venir ?
Le déjeuner vient de lui être apporté. Elle mange du bout des dents. il faut qu'elle reprenne des forces.
Pour la première fois, elle jette un coup d'oeil, sur la chambre, aux couleurs neutres. Pas de tableau, ni de décoration, d'aucune sorte. Un lit, un bureau, une armoire. Ses livres lui manquent, ses fioles aussi. Elle n'a rien préparé, cette fois, elle n'en a ni eu le temps, ni les moyens. Elle ne sait même pas par quel bout s'y prendre. Elle est là, à cette époque, sans savoir, ce qu'elle doit faire. Pour les sauver tous. A dit Dumbledore. Oui, mais comment ? Parce que ça, bien sûr, il ne l'a pas précisé. C'est à elle de trouver toute seule, comme pour les horcruxes..
Elle marche de long en large, dans la chambre, la colère la gagne. Dumbledore et ses mystères. Alberforth n'a pas tord, c'est facile, de confier le sale boulot aux autres, sans leur dire comment ils doivent s'y prendre.

La porte s'ouvre, sur le sourire chaleureux de Minerva Mcgonagall.
- Vous êtes prête ? Le directeur vous attend.
C'est pas trop tôt. Songe t'elle.

Dumbledore n'est pas seul. Et le coeur d' Hermione fait un bond dans sa poitrine. L'homme est plus jeune, mais son visage porte déjà les stygmates d'une vie de combats, il n'a pas encore son oeil magique, mais son regard perçant, semble fouiller jusqu' au plus profond de votre âme il boîte légèrement, sûrement une blessure récente. Ses cheveux, bouclés font une crinière, autour de sa mâchoire carrée, et de ses traits taillés à la serpe, Alastor Maugrey l'observe, méfiant.
Elle se retient de se jeter dans ses bras, se souvient à temps, que lui, ne la connait pas encore. Elle le toise alors, de ce regard d'indifférence, qui désormais, sera son lot quotidien. Que disait Sirius, quand on lui demandait comment il faisait pour paraître aussi nonchalant, en toute circonstance ? Tu souris, quoiqu'il arrive, et tu hurles, à l'intérieur. Il n'y à rien de pire, pour tes ennemis, que l'indifférence.
Voilà, ce qu'elle serait, désormais, indifférente. Merci, Sirius, pour ce conseil, avisé
Elle fixe Maugrey, et retient le soupir qui lui vient spontanément. C'est logique qu'il soit là. A cette époque, il était le directeur du Bureau des Aurors. Il dirigeait aussi l'Ordre du Phénix. Et...il était mort, en protégeant Harry... Mort, comme tous ceux qu'elle croiserait, désormais.

- Bonjour Miss Granger. La salua Dumbledore. J'espère que vous avez bien dormi. Je vous présente...

- Je connais monsieur Maugrey. Hermione Granger. Se présenta r'elle.

Il ne lui serra pas la main, logique, il se méfiait.

- Bien, asseyez vous, je vous pries.

Elle s'exécuta.

- Miss Granger, il est probable, que vous n'aimerez pas, ce que nous allons faire, et croyez bien, que cela ne nous enchante pas non plus. Mais..cette situation, pour le moins inhabituelle... nous contraint à des extrémités...

- Faites ce que vous avez à faire, professeur. Coupa t'elle.

- J'admire votre détermination, Miss Granger.

- Je n'ai pas le choix. Admit elle.

- Monsieur Maugrey, est un légilimens. Reprit le directeur, savez vous ce que c'est ?

- C'est une personne qui peut lire vos pensées, voir vos souvenirs.

- En effet. Vous acceptez donc, qu'il s'immisce dans votre esprit, afin de vérifier vos dires ? Nous vivons une époque troublée, et nos ennemis, sont puissants.

- Allez y. Dit elle, froidement. Je n'ai rien à cacher. Mais toute son âme, se révoltait à l'idée que l'on fouille son esprit.

Maugrey sort sa baguette, et la pointe sur elle. Malgré elle, elle frémit.

- Legilimens. Prononça t'il de sa voix grave.

Les souvenirs que depuis son réveil, elle tente de refouler affluent de nouveaux. Implacable, Maugrey les remonte, et elle revit sa rentrée â Poudlard, Ron et Harry dans le train, Ron, tentant un malefice sur son rat, la répartition, le troll, qui avait scellé cette amitié indéfectible, qui allait les unir jusqu'à la mort, la pierre philosophale, la chambre des secrets. Elle tente. malgre elle de bloquer la troisième année, cherchant à protéger Sirius, mais Maug, rey, jugeant qu'il en a assez vu. Revient à une époque plus récente, il voit Dumbledore, lui remettant la bague.
Et enfin, elle sent son emprise sur son esprit, se relacher, la laissant exsangue, et en larmes.

- Je vous demande pardon, Miss Granger. Je n'ose imaginer à quel point cela doit être difficile, pour vous. Mais malheureusement, nous n'avions pas le choix. Nous vivons une époque bien trouble.

Incapable de parler, elle hoche la tête.
Il lui tend un mouchoir et elle se mouche discrètement.

- Tenez, je pense que vous avez besoin d'un petit remontant.
Petit ! Elle aurait besoin d'un seau de remontant, d'une fontaine.
Néanmoins, elle le boit. Le liquide ambré, lui coule dans la gorge, la réchauffe. Elle prend une profondeur aspiration.

- Comment vous sentez vous ? Demande Dumbledore.

- Ça va, professeur. Je vais bien. Non, elle ne va pas bien. Elle n'ira plus jamais bien.

- Bien, si vous vous sentez en état, peut être pouvez vous nous dire ce dont vous avez besoin, pour accomplir ce pourquoi vous êtes venue.

Elle le regarda, interloquée. Elle n'en a aucune idée.
- À vrai dire, je ne sais pas trop.

- Je pense, dit Maugrey, qui n'avait pas ouvert la bouche, jusque là, qu'elle devrait aller au QG.

- Je ne sais pas, si c'est une bonne idée, Alastor. Avec ce qu'elle sait du futur...

- Vous n'avez rien à craindre, je n'ai pas l'intention de révéler quoique ce soit. D'autant plus que je suis là, pour le changer, ce futur.

- Vous avez bien conscience des risques, que vous encourrez ?

- Oh oui, professeur. Dit elle d'un ton déterminé. Mais, je n'ai pas le choix.

- Au QG, elle trouvera tout ce dont elle a besoin, des renforts, au cas ou, et un accès à toutes nos informations. Insiste Maugrey.

- Ça me semble une bonne idée, approuve hermione.

- Bon, il reste à savoir comment nous allons vous présenter aux autres membres de l'ordre.

Ils discutèrent près d'une heure, pour trouver une couverture que les membres de l'ordre du Phénix, ne pourrait pas remettre en cause.

- Bon, dit Dumbledore au bout d'une heure de tergiversations, il ne reste plus qu'à affronter les autres membres. Vous vous en sentez capable ?

- Il faudra bien, professeur.

- Dans ce cas, allons y. Dit Maugrey en se levant.

© Ecrivaillon Imaginaplume,
книга «pour les Sauver Tous».
2 L'Ordre du Phoenix
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Willow
1 Poudlard
Je me suis un peu lâchée sur les applaudissements mais ça le mérite !
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2020-10-22 07:32:47
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