Prologue
1 Poudlard
2 L'Ordre du Phoenix
3 Les confidences de Sirius
4 Enfin une idee
6 Une Nouvelle Recrue
7 Bienvenue chez les Maraudeurs
8 La Chambre des Secrets
9 La maison des Gaunt
10 Nuit d'été
11 La Caverne aux Inferi
12 le Médaillon de Salazar Serpentard
13 l'appel du désirs
14 Tergiversations
15 le Manoir Malefoy
16 Le Journal de Jedusor
17 La Lettre de Méredith
18 Gringott
19 Bellatrix Lestrange
20 l'ombre du Grand Sorcier
21 Adieu Dumbledore
22 Après la pluie vient le beau temps
23 Une Erre Nouvelle
24 Le Miracle de La Naissance
25 Le Temps est une Boucle Infernale
EPILOGUE
15 le Manoir Malefoy
La prairie. Sirius posa la moto, et Régulus descendit.
- J'en veux une. Dit il.
Sirius leva les yeux au ciel.
James, Remus Lily et Hermione étaient déjà là.

- Va les rejoindre. Dit il à son frère. Et pas de bêtise.
- Pour qui tu me prends ? Je te l'ai dit. Je veux aider.
- J'espère, Reg. Parce que si on réussit, il faudra de sérieux arguments, pour assurer ta défense, auprès du magenmagot.
- Tu es très encourageant, mon frère.
- J'essaie juste de te convaincre de rester sur le bon chemin, cette fois.
- Message reçu.

Sirius eut un bref sourire, et se dirigea vers le chêne.
- Salut Mery, je... Voulais juste te dire que j'étais désolé. Je... J'ai pas tenu ma promesse. Je sais, je suis un sale con..
Je t'aime Mery. Je sais pas pourquoi j'agis comme ça. Tu me manques, mon amour.
- Arrête de te flageller !
Sirius sursauta.
Régulus le toisait, un sourire ironique aux lèvres.
- Bon sang, Reg !
- Tu comptes la pleurer toute ta vie ?
- De quoi je me mêle ?
- Tu es jeune, en bonne santé, si tu ne te fait pas tuer par un Mangemort, tu as une longue vie devant toi. Alors, tu comptes la passer seul, à te morfondre sur ton bonheur passé ? Ou tu comptes vivre pleinement ta vie ?
- Fiche moi la paix, Reg.
- Tout le monde te regarde avec compassion, et personne n'ose te dire que tu déconnes.
Sirius se jeta sur lui et le plaqua contre le tronc, l'air furieux.
- JE T'AI DIS DE TE MELER DE TES AFFAIRES.
-J'en ai marre de te voir pleurnicher sur ton sort. ELLE EST MORTE, SIRIUS. C'EST TRAGIQUE, C'EST TRISTE, MAIS C' EST COMME ÇA, ET TOUTES TES PLEURNICHERIES NE LA RAMENERONT PAS. elle n'aurait pas voulu que tu la pleures indéfiniment.
Elle aurait voulu te voir heureux.
Sirius lâcha son frère.
- Que sais tu de ce qu'elle aurait voulu ?
- Elle t'aimait, plus que tout. Tu étais tout pour elle.
Des larmes brillaient dans les yeux de Sirius.
- Qu'est ce que tu en sais ?
- Elle me l'a dit, il y a longtemps.
- Quoi ? Mais quand ?
Régulus soupira.
- C'était sa sisième année, je l'ai surprise en train de pleurer dans le parc. J'ai bien sûr tout de suite compris que c'était à cause de toi.. On a parlé et elle me l'a dit. Elle m'a dit que tout ce qu'elle voulait, c'était ton bonheur.
Sirius se laissa glisser au pied du chêne, et prit sa tête dans ses mains. Il pleurait à présent.
Régulus s'accroupit près de lui.
- Sirius. Tu as eu la chance de vivre quelque chose d'exceptionnel, avec Meredith. Mais c'est fini, il faut que tu l'acceptes, et que tu tournes la page.
- TAIS TOI. Tais toi,
Régulus soupira.
- Je sais que ça fait mal, et que tu ne veux pas entendre ça. Mais il faut bien que quelqu'un te le dise. Tu es pathétique ! Allez, relève toi ! T'es un Black, Putain, tout le monde te regarde. MERDE SIRIUS. DIS LUI ADIEU ET PASSE À AUTRE CHOSE !
Sirius se jeta sur lui, le plaqua au sol, et le frappa.
Soudain, il fut projeté violemment sur le côté. Il se releva, l'air furieux, crispé, sa baguette brandit.
- Experlliarmus !
La baguette de Sirius s'envola jusqu'à la main d'hermione.
- Si vous avez fini vos enfantillages, on vous attend, pour des choses autrement plus sérieuses.

- Écoute la dame.. Dit Régulus..
Sirius lui jeta un regard noir, s'épousseta, et rejoignit Hermione.
- Sirius ... Dit James.
Mais il ne répondit pas. Il le bouscula au passage et s'adossa au mur, à l'intérieur.
Régulus se releva d'un bon souple, et entra à son tour, dans la maisonnette.

- Bon, dit James, en coulant un regard vers Sirius dont le visage fermé, était insondable. Reg tu vas au Manoir Malefoy.
- Ouep.
- Tu ne prends pas de risque inutile. Tu nous dis qui est présent, et combien ils sont. Rien de plus.
- OK. C'est gentil de vous inquiéter pour moi. Dit il d'un ton ironique. . Mais ça va aller.
- Si jamais tu nous trahi.. Poursuivit James.
Il sourit.
- C'est vrai que vous la Trahison, vous avez déjà donné, dit Il.
- Ça y est ? Dit Sirius. Tu t'es assez fichu de nous ? Alors vas y. On t'attendra dans la rue à droite de celle du manoir. Et tâche de revenir entier
- T'inquiètes. Je gère. Et toi, n'oublies pas ce que je t'ai dis. La vie est trop courte pour s embarrasser de regrets inutiles.

Et avant que son frère ait eu le temps de répondre il transplana.
- Tu crois qu'on le reverra ? Demanda James, peu convaincu.
- Il a l'air sincère. Répondit Sirius.
- Bon, bein, on y va.
Avant de transplaner, James posa sa main sur le bras de Sirius.
- Ton frère à été un peu brutal, mais il n'a pas tord. C'est tragique, mais la vie continue. Et... Elle n''aurait pas voulu que tu la pleures indéfiniment.
- Pourquoi est ce que tout le monde croit savoir ce qu'elle aurait voulu ? Dit il avec amertume. Et il transplana, sans laisser à James le temps de répondre.

Régulus prononça la formule et apposa son poignet qui portait la marque des ténèbres sur le portail. Celui ci s'ouvrit. Première étape, accomplie avec succès. Il soupira.
"allez Reg, comme à la maison, fais comme si tu étais heureux d'être là."
Il longea l'allée, et frappa à la porte. Un petit elfe de maison lui ouvrit.
- Bonjour monsieur Black.
Régulus lui sourit.
- Bonjour Dobby.
La plupart des sorciers se montraient cruels avec les elfes, ou indifférents, mais Régulus avait toujours eu du respect pour leur pouvoir, et les avait toujours traité avec gentillesse, ce qui lui valait de la part de Kreattur, l'elfe de maison des Black, une dévotion sans limite.
- Reg ? Qu'est ce que tu fais là ? Demanda une jeune femme. Elle était grande, mince, une longue chevelure blonde, et des yeux bleux clairs. Elle était plutôt belle, mais son expression froide et pincé, gachait la noblesse de ses traits.
- Je viens réclamer l'hospitalité. Bonjour Cissy.
Il déposa un baiser sur la joue de sa cousine.
- Pourquoi tu ne vas pas chez tes parents ?
- Je ne supporte plus de les entendre se disputer.
- Hum, Ça ne me surprend pas. Tu es au courant ? Sirius est...
- Mort, oui, je sais.
- Bon débarras ! Dit une voix nasillarde
Régulus afficha sur son visage, un sourire ravi.
- Bella. Quel plaisir de te voir, chère cousine.
Bellatrix Lestrange était le portrait craché d''Andromeda. Brune, de longs cheveux bouclés, noirs, et des yeux bruns foncés, c' était une très jolie femme.
- Tu es de passage ? Demanda t'elle.
- Je repars demain. Il n'est pas là ?
- Non, le seigneur des ténèbres à beaucoup à faire en ce moment.
- Je m'en doute. Je meurs de faim. Lucius est là ?
- Dans son bureau. Répondit Narcissa.
On passe à table dans une demi. Heure.
- Parfait.
- Tiens tiens, ne serait ce pas le jeune Black ? Dit un homme grand et mince, aux cheveux bruns, et aux yeux noirs.
- Salut Rodolphus.
- Alors, enfin débarrassé de ton traitre de frère ? Te voilà seul héritier.
- Oui. Enfin une bonne nouvelle.
- Et tu sais comment il est mort ? Demanda une autre voix masculine.
L homme ressemblait à Rodolphus mais il était de plus forte carrure.
- salut Rabastan, Aucune idée, mais les rumeurs disent qu'il vous cherchaient partout.
- Il n' a pas trop apprécié ce qu'on a fait à sa copine. Ricanna Bellatrix.
- Cette chienne n'a eu que ce qu'elle méritait. Dit Rabastan d'un ton sec et méprisant. De même que ton frère. Les traitres ne méritent pas de vivre. J'espère qu'il a souffert, avant de crever.
Régulus affichait un masque de totale indifférence, mais au fond de lui, il bouillonnait de rage. Comment avait il pu croire que ces gens étaient sa famille. Il avait l'impression de se trouver dans un nid de cobras qui n'attendaient qu'une occasion de se jeter sur lui.
- J'en sais rien, répondit il en haussant les épaules. Mais en tout cas, on est bien plus tranquille sans lui.
Rodolphus posa ses mains sur ses épaules et l'attira à lui. Pour une brève accolade.
- En tout cas, je suis content de te voir.
Puis, il lui glissa à l'oreille, on se voit, tout à l'heure ?
Régulus sourit. Après tout, autant joindre l'utile à l'agréable.
- Avec plaisir. Murmura t'il, avant de demander plus fort.
- Il y a du monde ?
- Non, seulement nous, Rosier, et Mulciber. Répondit Rodolphus.
- On est en famille, alors.
- Oui, enfin eux, se sont plutôt des invités indésirables. Grogna Bellatrix.
- Pourquoi ? Il y a un problème, avec eux ?
- Ils sont en disgrâce. Expliqua Rabastan.
- Notre... Espion nous a rapporté qu'il y avait une nouvelle arrivante à l'ordre, une Américaine. On lui aurait confié une mission spéciale.
Régulus fronça les sourcils. Ainsi Pettigrew continuait de trahir, qu'elle sale vermine.
- Qu'est ce qu'une américaine vient faire ici ? Demanda t'il.
- C'est ce qu'on aimerait bien savoir. Soupira Rodolphus
- Et ette vermine de Pettigrew ne vous a rien dit de plus ?
- Malheureusement non. Figure toi qu'il a été envoyé en mission de surveillance, le lendemain de son arrivée. Dit Rodolphus.
- L'américaine ?
- qui d'autres. Répondit Rabastan.
- Ça veut dire qu'ils savent qu'il espionne.
- Probablement. Renchérit Rodolphus.
- Dans ce cas, pourquoi ils l'ont pas éliminé ?
- Parce qu'ils nous prennent pour des imbéciles. Répliqua Bellatrix. Ils ont du croire qu'on se méfierait s'il disparaissait.. Tu parles !
- Dans ce cas, il ne nous sert plus à rien, pourquoi on le garde ?
- Bein oui, c'est vrai, ça. Reprit Bellatrix. Pourquoi on le tuerait pas nous même ?
Rabastan leva les yeux au ciel.
- Parce qu'il pourrait nous être encore utile. Répondit il.
Régulus haussa les épaules.
- Comme vous voulez. Mais ça me dit pas pourquoi ils sont en disgrâce.
- Ils étaient chargés de l'enlever. Mais ils ont lamentablement échoué. Expliqua Rodolphus.
- L'américaine ?
- Oui. Mais elle est bien gardée. Répondit Rabastan.
- Par qui ?
- Les membres de l'Ordre. Il paraît qu'elle traîne avec les amis de ton frère. Repliqua Rodolphus. Ils lui servent de garde du corps.
- Quoi, la bande à Potter ? Ils ne sont rien sans Sirius. C'est ça qui vous fait peur ? Ils sont plus que deux. Enfin, un et demi, parce que l'hybride, franchement...
- Ouais, ricanna Bellatrix. C'est pour ça qu'ils sont en disgrâce.
- Alors ? Qu'est ce que vous allez faire ?.
- On va s'occuper de l'Ordre. Se vanta Rodolphus.
- QUOI ? Quand ?
- Bientôt, tu veux en être ? Demanda Rabastan.
- Et comment ! S'exclama Régulus. Et Dolohov, il n'est pas là ?
- Non, ça fait trois jours qu'on l'a pas vu. Il doit être en mission quelque part. Mais tu as raté Rogue de peu.
- Servilus ? Qu'est ce qu'il fichait ici ?
- Il est venu chercher des ingrédients, pour une potion. Expliqua Narcissa. Tout le monde va et viens, ici, ce n'est plus une maison, c'est un hôtel.
- C'est la guerre, que veux tu. Répondit Régulus.
- Bon, tu dois avoir soif.. Dit Rodolphus. En l'entrainant vers le salon.

Une fois seuls dans le salon, Rodolphus le plaqua contre le mur, et l'embrassa.
- Tu m'a manqué. Lui murmura t' il à l'oreille.
- Ouais, toi aussi, mais... Il vaudrait mieux rester discret.
- Tu as peur Black ?
- J'ai été forcé de tuer le dernier mec avec lequel. J'ai été surpris, alors....
Rodolphus soupira.
- Tu as raison, les serviteurs du seigneur des Ténèbres n'aiment pas les pédales.
Il lui servit un whisky.
Régulus but son verre, en piannotant nerveusement l'accoudoir du fauteuil.
Lorsqu'il l'eut terminé, il se leva.
- Je vais saluer notre hôte. Dit il.
- Je t'accompagne.

Ils descendirent au sous sol.
Ils franchirent une porte.
La pièce était sombre, éclairée par des appliques qui illuminaient des étagères remplis de bocaux et d'objets hétéroclites.
Lucius Malefoy, Mulciber et Rosier, étaient penchés au dessus d'une carte que Lucius se hâta de refermer à l'entrée de Régulus.
-- Régulus ? Qu'est ce qui t'amène ?
- Je suis en transit. Je dois partir demain pour Londres. Cissy m'a dit que tu étais là. Salut Rosier, Mulciber.
- Salut Black. Répondit Rosier. Il paraît que ton frère à souffler sa veilleuse ?
- Ouais. Une brebis galeuse de moins dans la famille.
- Ça c'est une bonne nouvelle. S'exclama Mulciber. Potter et lupin ne feront pas je poids, sans lui.
Régulus haussa les épaules
- J'avais pas l'impressuon qu'ils le faisaient même avec lui.
Malefoy donna une tape amicale, dans le dos de Régulus.
- Bien dit. Tu es au courant ? On va attaquer l'Ordre dans quelques jours.
- Ouais, je veux en être. Je rêves de voir la tête de Potter quand je le tuerais.
- Ouais, moi c'est Lupin, que je veux me faire, j'ai jamais tué d'hybride. Répliqua Rosier.
- Je vais me faire la putain de sang de bourbe de Potter. Ricanna Mulciber.
- Et cette fois, on ne ratera pas Maugrey. Dit Malefoy

Ils discutèrent encore un moment, et Régulus en profita pour fouiller, sans vraiment en avoir l'air..
Mais il ne trouva rien qui ressemblait à un journal.

Ils remontèrent pour manger, après le repas, Régulus prétexta être fatigué, il voulait redescendre dans le sous sol, mais Rodolphus avait d'autres projets.

Il le suivit jusqu'à une chambre vide. Ils verrouillèrent la porte, et lancèrent un assurdiato. Puis, ils s'enlacèrent.

Rodolphus s'était endormi, ou plutôt, Régulus l'aida à s'endormir, d'un petit coup de baguette. Il se rhabilla.
- Désolé, mon vieux, c'était parfait, comme toujours. et j'aurais aimé continuer, mais... Le devoir m'appelle.
Il soupira en observant le corps nu de Rodolphus.
- Dommage.

Il descendit et parvint à se faufiler à l'extérieur.
Il gagna la rue dans laquelle James, Sirius Remus, Hermione et Lily, l'attendait.

Ils étaient arrivés dans la rue, peu après l'arrivée de Régulus, ils avaient aperçu Peter, assis sur un banc. Il mangeait un sandwich, et faisait mine de surveiller le manoir. Il était seul. Ils avaient dû se faire violence pour ne pas lui bondir dessus.

Et l'attente avait commencé, interminable.
Sirius était angoissé. Il faisait les cent pas, nerveusement, en filant cigarettes sur cigarettes. Et si les habitants du manoir se rendaient compte, qu'il les avaient trahis ? Et si en fait, Régulus trahissait son frère ? Si Voldemort était là ? Tant de choses pouvaient mal tourner.
Les heures défilaient. Lily s'absenta pour aller acheter des sandwich.
Mais les heures passaient et Régulus ne sortaient pas
- Ils l'ont peut être tué. Dit Sirius. Ou ils sont en train de le torturer.
James posa une main compatissante sur l'épaule de Sirius.
- Je suis sûr que tout va bien. Donne lui du temps.
Il soupira. Du temps, mais peut être que Régulus n'en avait pas.
Et il se matérialisa enfin devant eux
Ils le visèrent avec leur baguette.
- La dernière chose que tu as dite avant de transplaner ce matin ? Demanda Sirius.
- Voyons voir, avant ou après que tu m' ai collé ton poing dans la figure ?
Sirius appuya sa baguette contre la gorge de son frère.
- D'accord, d'accord. Je t'ai dit... Promets moi de ne pas me frapper.
- Reg !
- Je t'ai dis que la vie était trop courte pour s'embarrasser de regrets.
- C'est bon, c'est bien cet emmerdeur.
- Bon, alors ? Demanda James.
- Les Lestrange, les Malefoy, Mulciber et Rosier.
- C'est tout ? Demanda James
- Affirmatif.
- Tu as trouvé quelque chose ? Demanda Sirius.
- Non. Mais j'ai pas vraiment eu la possibilité de fouiller.
- Alors qu'est ce que tu as foutu pendant tout ce temps ? Gronda Sirius
- Hé, tu crois que c'est si facile, de donner le change ?
- D' accord, bon, comment on procéde ? Demanda t'il.
- Ils sont sept, dont les Lestrange. Eux ne se rendront pas sans se battre. Rosier et Muciber... Sont assez faciles à maitriser. Cissy ne se battra pas, c'est pas son genre, et Malefoy... Qui sait, peut être qu'il s'est acheté un peu de courage, depuis le temps.
- Bon, dit James, qu'est ce qu'on attend ?
- James... Intervint Remus. Je pense qu'il faut réfléchir un peu, avant de se jeter dans la gueule du loup.
- On est six, contre sept, allez, on aura jamais une autre occasion de se débarrasser des Lestrange..
- James a raison. Dit Sirius. Je me réserve Bellatrix.
- Non, attendez. On ne peut pas foncer comme ça. Tête baissée. Dit Hermione.
- Pourquoi ? C'est toujours comme ça qu'on fait. Répondit James.
- Et c'est comme ça qu'on se fait tuer. Conclut Hermione.
- Je suis d'accord avec elle. Dit Régulus. Sirius, je sais que tu rêves de tuer Bella, et franchement je te comprends. Je t'avoue que même si j'ai mis du temps, je les hais autant que toi. maintenant, Mais ils sont très forts, ce n'est pas pour rien, qu'elle est le bras droit du seigneur des ténèbres.
- Écoute le Sirius. On peut appeler des renforts. Proposa Remus.
- oui, à propos des renforts, il faut que vous sachiez. Ils savent où se trouve votre QG. Ils ont prévu de l'attaquer.
- On le sait. Répondit Sirius.
- Quoi ? Mais..
- On s'en est douté quand on a su que Peter était un traître. On a pris des mesures, tant fait pas.
- Bon. Tant mieux.
- Le problème, si on intervient, c'est Peter. S'il nous voit, il va donner l'alarme, et adieu l'effet de surprise. Fit remarquer Remus.
- Bon, alors on s'occupe de Peter en. Premier. Dit James.
- OK, mais alors, en toute discrétion. Dit Lily..
- C'est parti. Dit Sirius. Oh, Reg, avant qu'on se lance, il faut que tu sache... Peter est un animagus.
- Non sans blague ? Tu crois vraiment que je l'ignorais ?
- Quoi, tu le sais ?
- Bien sûr que je le sais. Toi tu es un chien, je crois, et Potter un cerf. Quand à lupin... Bein, on sait tous que c'est un hyb... Un loup garou. Se corrigea t'il devant les regards féroces de James et Sirius. Un chien... Pffff, tu aurais quand même pu choisir un animal plus noble, je sais pas moi, un lion ou un aigle. Remarque quand on s'appelle Sirius...
- Tu veux vraiment que je t'assomme.
- Essaie, mais je risque de rendre les coups, cette fois.
- Comment tu le sais ? Et qui est au courant, à part toi ? Demanda James, sans se préoccuper de leur chamailleries.
- Pour l'hyb.. Le loup, ils le savent tous, c'est Rogue, qui leur a dit. Mais j'ai rien dit pour vous.
-- Depuis quand tu le sais ?
- Depuis votre dernière année à Poudlard. Je.. Je t'ai suivi.. Je voulais savoir ce que tu manigancais, et.. Je vous ai vu vous transformer.
- Et t'en as jamais parlé à personne, pourquoi ? Demanda Sirius, soupçonneux
- Je sais pas trop. Je suppose que je voulais pas te trahir, et puis, c'était pas un renseignement capital, pour eux.
- Bon, merci. Je m'attendais pas à ça de ta part.
- Bien, si vous avez fini, on pourrait peut être passer à l'action ? Dit James.
- C'est parti. Allons régler son compte à ce traitre. Dit Sirius.
- On va lui montrer ce qu'il en coûte de trahir les Maraudeurs. Ajouta James..

© Ecrivaillon Imaginaplume,
книга «pour les Sauver Tous».
16 Le Journal de Jedusor
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