EPILOGUE
ET VOILÀ, CETTE FOIS C'EST LA FIN DE L'AVENTURE. MERCI POUR VOTRE SOUTIEN VOS VOTES ET VOS COMMENTAIRES.
- Leo, t'es la haut ?
- Oui, Cass. Monte.
Cassandra Black monta l'escalier menant au grenier, en grognant.
Elle trouva son frère, au milieu d'un tas de cartons.
- C'est quoi, ce basard ?
Leo haussa les épaules.
- C'est aux parents.
- Je m'en doute que c'est aux parents.
- Ouais, tu m'expliques pourquoi c'est à nous de faire le tri dans tout ce merdier ? Dit leo.
- Parce qu'on est de bons enfants, qui aimons nos parents ? Hasarda Cassandra.
- Ou parce qu'on doit se faire pardonner la destruction de la moto de papa. Répondit Leo.
- Ouais, c'est plutôt ça.
- Leo, Cassy, vous êtes là ?
- Là haut Harry ! Répondit Cassandra.
- Tu crois qu'il est avec Ginny ?
- Il y a des chances. Dit elle. Ils sont inséparables.
- Comme toi avec Ethan.
- Tu peux parler, Rosalie te quitte pas d'une semelle.
- C'est fini avec elle.
- Déjà ? Ça fait à peine deux semaines, que vous êtes ensemble. Tu vas avoir vingt six ans, Leo, il serait temps que tu te cases, non ?
- Pourquoi ? Reg a presque cinquante ans, et il est toujours célibataire.
- Il est gay, c'est différent.
- Les gay aussi vivent en couple, tu sais.
- Je sais.
- Salut.
- Salut Harry.
- Vous en êtes où ? Demanda t'il.
- On a pas encore commencé. Répondit Leo.
- Ginny n'est pas avec toi ? Demanda Cassandra.
- Non, elle va venir plus tard, avec Ron et Hermione.
- Il sont déjà rentrés de leur voyage de Noces ? Demanda Cassandra.
- Oui, hier.
- Tu as des nouvelles des parents ? Demanda Leo.
- Ma mère m'a écrit hier. Ils sont arrivés à tahiti Et tout se passe bien.
- Et nous on se tape les corvées. Ronchonna Leo.
- Bein, tu sais, ton père adorait sa moto..
- Je sais. C'est de la faute de Cass
.- C'est pas de ma faute. Si tu sais pas conduire.
- Tu m'as déséquibré.
- Si on s'occupait plutôt de trier tout ça ? Dit Harry, qui n'avait pas envie d'arbitrer une énième dispute des jumeaux.
Leo se leva, se cogna la tête contre une étagère, et un carton tomba lourdement par terre. Un livret s'en échappa, et tomba sur la tête de Leo.
-AIE ! C'est quoi, ce truc ?
Cassandra le ramassa.
- On dirait un journal intime. Dit elle.
" Pour les Sauver Tous, par Hermione Granger Black"
- Granger ? S'étonna Harry, comme Hermione ?
- Non, c'est sûrement une erreur, dit Leo.. Notre mère s'appelle Gardner.
- "Gardner, Granger, ça se ressemble, non ? Dit Harry.
- Et alors, ou tu veux en venir ? Demanda Cassandra.
- Je sais pas, je trouve ça bizarre, c'est tout.
- Bein, il n'y a qu'à le lire ! Proposa Cassandra.
- OK, mais pas ici, on descend. Dit Leo.
- Et le tri ? Dit Harry.
- Plus tard. Répondit Cassandra.
Harry leva les yeux au ciel, et les suivit dans le salon.
Ils venaient de s'installer lorsque Hermione, Ron et Ginny arrivèrent.
Après les embrassades, Leo leur montra ce qu'ils avaient trouvé.
En cercle, assis par terre sur le tapis, ils écoutèrent Cassandra, leur livrer le récit incroyable, du voyage dans le temps, de leur mère, de son improbable rencontre avec les parents de Harry, et de son amour pour le parrain de celui ci.
Leo et Cassandra se tournèrent vers Hermione.
- C'est.. Dingue ! S'écria Leo.
- Ça veut dire que tu es notre mère Hermione ? Dit Cassandra.
- Sûrement pas ! Dit elle. Si vous étiez mes gosses, vous seriez bien plus sérieux et respectueux.
Les jumeaux se lancèrent un regard de connivence.
- C'est clair ! Dit Leo.
- En tout cas, ça explique, la ressemblance, et le prenom. Dit Harry.
- Quand même, dit Ginny, elle a eu un sacré courage ! Tout quitter comme ça, en sachant qu'elle ne pourrait jamais revenir dans cette époque.
- Tu te rends compte, dit Harry, sans ce sacrifice, on serait tous mort, et c'est Voldemort qui dirigerait l'Angleterre..
- Et nous. On serait même pas nés. Dirent les jumeaux, en cœur.
- Elle nous a tous sauvé. Dit Ginny. Hermione, tu nous as sauvé.
- Techniquement, c'est pas moi, je ne suis pas celle qui s'est sacrifiée, je suis celle que le changement du futur à créé.
- Pffff, moi ça me donne le Tournis. Dit Ron.
- Ouais, moi aussi. Dit Leo.
- Notre mère, est une héroïne. Conclut Cassandra.
- Personne ne doit savoir. Dit Hermione. Remettez ce journal ou vous l'avez trouvé, et oubliez le.
- Pourquoi ? Demanda Ron, c'est cool.
Elle soupira.
- Non, Ron, c'est pas cool. Les voyages dans le temps, c'est pas cool. Votre mère l'a fait pour une bonne raison, mais si ça se savait. Tout le monde voudrait le faire. Imagine qu'un ancien Mangemort se mette en tête de sauver Voldemort ?
- Ah oui, pas cool, ça. Reconnut Leo.
- OK, on le range. Dit Cassandra.
Elle prit le livre, et monta le remettre à sa place.
- Voilà, maman, ton secret sera bien gardé, avec nous. Ne t'en fais pas. On t'aime.
Meredith était morte, mais un lien trop fort, trop puissant, la rattachait encore à son passé. Elle flottait entre deux monde. Incapable de se détacher de celui d'en bas, du monde des vivant. C' est pourquoi. Elle se pencha une fois de plus, vers le lac. Dans le reflet de l'eau, elle le vit, et sourit. Il était si beau.
Il marchait le long d'une plage, pieds nus dans le sable mouillé, ses cheveux noirs brillants sous le soleil.
Des lunettes noires cachaient ses magnifiques yeux gris. Il était en maillot de bain, sa peau nue, bronzée, s'offrait aux rayons du soleil. Il marchait de sa démarche souple, féline, et nonchalante, Son corps d'athlète, aux muscles longs et fins, luisait sous la chaleur.
Juché sur ses épaules un petit garçon brun, aux yeux rieurs, agitait ses menottes en direction des mouettes.
Près de lui, une jeune femme marchait. Elle était belle. Ses longs cheveux chataing tombaient en cascade bouclées, dans son dos. Ses longues jambes galbées, et bronzées, étaient nues. Elle aussi, était pieds nus. Son corps mince, aux formes généreuses, sans excès, était enveloppé dans une robe bain de soleil. Elle avait glissé sa main dans celle du jeune homme, dans l'autre main, elle tenait celle d'une fillette, au cheveux chataing. Il riait, heureux. Et son bonheur lui réchauffait le cœur, et lui faisait mal. C' est elle, qui aurait dû se trouver sur cette plage, avec lui, elle qui aurait dû tenir la main de son petit garçon.
Elle s'en voulut, de ressentir ça. Tout ce qu'elle avait toujours voulu, tout ce qu'elle avait toujours souhaité, c'était son bonheur.
- Je t'aime, Sirius, pour toujours et à jamais. Adieux.
- Meredith ?
- Oui maman ?
- Il faut y aller maintenant. Il est temps.
Meredith soupira, et envoya un baiser à l'homme qui marchait sur la plage.
Puis elle tourna le dos au lac, et suivit sa mère. Elle avait vu ce qu'elle voulait, elle était prête à partir, à présent. Rejoindre le néant, pour y trouver la paix et le repos éternel. Oublier son amour. Oublier les sentiments des vivants. comme lui avait oublié.
- Leo, t'es la haut ?
- Oui, Cass. Monte.
Cassandra Black monta l'escalier menant au grenier, en grognant.
Elle trouva son frère, au milieu d'un tas de cartons.
- C'est quoi, ce basard ?
Leo haussa les épaules.
- C'est aux parents.
- Je m'en doute que c'est aux parents.
- Ouais, tu m'expliques pourquoi c'est à nous de faire le tri dans tout ce merdier ? Dit leo.
- Parce qu'on est de bons enfants, qui aimons nos parents ? Hasarda Cassandra.
- Ou parce qu'on doit se faire pardonner la destruction de la moto de papa. Répondit Leo.
- Ouais, c'est plutôt ça.
- Leo, Cassy, vous êtes là ?
- Là haut Harry ! Répondit Cassandra.
- Tu crois qu'il est avec Ginny ?
- Il y a des chances. Dit elle. Ils sont inséparables.
- Comme toi avec Ethan.
- Tu peux parler, Rosalie te quitte pas d'une semelle.
- C'est fini avec elle.
- Déjà ? Ça fait à peine deux semaines, que vous êtes ensemble. Tu vas avoir vingt six ans, Leo, il serait temps que tu te cases, non ?
- Pourquoi ? Reg a presque cinquante ans, et il est toujours célibataire.
- Il est gay, c'est différent.
- Les gay aussi vivent en couple, tu sais.
- Je sais.
- Salut.
- Salut Harry.
- Vous en êtes où ? Demanda t'il.
- On a pas encore commencé. Répondit Leo.
- Ginny n'est pas avec toi ? Demanda Cassandra.
- Non, elle va venir plus tard, avec Ron et Hermione.
- Il sont déjà rentrés de leur voyage de Noces ? Demanda Cassandra.
- Oui, hier.
- Tu as des nouvelles des parents ? Demanda Leo.
- Ma mère m'a écrit hier. Ils sont arrivés à tahiti Et tout se passe bien.
- Et nous on se tape les corvées. Ronchonna Leo.
- Bein, tu sais, ton père adorait sa moto..
- Je sais. C'est de la faute de Cass
.- C'est pas de ma faute. Si tu sais pas conduire.
- Tu m'as déséquibré.
- Si on s'occupait plutôt de trier tout ça ? Dit Harry, qui n'avait pas envie d'arbitrer une énième dispute des jumeaux.
Leo se leva, se cogna la tête contre une étagère, et un carton tomba lourdement par terre. Un livret s'en échappa, et tomba sur la tête de Leo.
-AIE ! C'est quoi, ce truc ?
Cassandra le ramassa.
- On dirait un journal intime. Dit elle.
" Pour les Sauver Tous, par Hermione Granger Black"
- Granger ? S'étonna Harry, comme Hermione ?
- Non, c'est sûrement une erreur, dit Leo.. Notre mère s'appelle Gardner.
- "Gardner, Granger, ça se ressemble, non ? Dit Harry.
- Et alors, ou tu veux en venir ? Demanda Cassandra.
- Je sais pas, je trouve ça bizarre, c'est tout.
- Bein, il n'y a qu'à le lire ! Proposa Cassandra.
- OK, mais pas ici, on descend. Dit Leo.
- Et le tri ? Dit Harry.
- Plus tard. Répondit Cassandra.
Harry leva les yeux au ciel, et les suivit dans le salon.
Ils venaient de s'installer lorsque Hermione, Ron et Ginny arrivèrent.
Après les embrassades, Leo leur montra ce qu'ils avaient trouvé.
En cercle, assis par terre sur le tapis, ils écoutèrent Cassandra, leur livrer le récit incroyable, du voyage dans le temps, de leur mère, de son improbable rencontre avec les parents de Harry, et de son amour pour le parrain de celui ci.
Leo et Cassandra se tournèrent vers Hermione.
- C'est.. Dingue ! S'écria Leo.
- Ça veut dire que tu es notre mère Hermione ? Dit Cassandra.
- Sûrement pas ! Dit elle. Si vous étiez mes gosses, vous seriez bien plus sérieux et respectueux.
Les jumeaux se lancèrent un regard de connivence.
- C'est clair ! Dit Leo.
- En tout cas, ça explique, la ressemblance, et le prenom. Dit Harry.
- Quand même, dit Ginny, elle a eu un sacré courage ! Tout quitter comme ça, en sachant qu'elle ne pourrait jamais revenir dans cette époque.
- Tu te rends compte, dit Harry, sans ce sacrifice, on serait tous mort, et c'est Voldemort qui dirigerait l'Angleterre..
- Et nous. On serait même pas nés. Dirent les jumeaux, en cœur.
- Elle nous a tous sauvé. Dit Ginny. Hermione, tu nous as sauvé.
- Techniquement, c'est pas moi, je ne suis pas celle qui s'est sacrifiée, je suis celle que le changement du futur à créé.
- Pffff, moi ça me donne le Tournis. Dit Ron.
- Ouais, moi aussi. Dit Leo.
- Notre mère, est une héroïne. Conclut Cassandra.
- Personne ne doit savoir. Dit Hermione. Remettez ce journal ou vous l'avez trouvé, et oubliez le.
- Pourquoi ? Demanda Ron, c'est cool.
Elle soupira.
- Non, Ron, c'est pas cool. Les voyages dans le temps, c'est pas cool. Votre mère l'a fait pour une bonne raison, mais si ça se savait. Tout le monde voudrait le faire. Imagine qu'un ancien Mangemort se mette en tête de sauver Voldemort ?
- Ah oui, pas cool, ça. Reconnut Leo.
- OK, on le range. Dit Cassandra.
Elle prit le livre, et monta le remettre à sa place.
- Voilà, maman, ton secret sera bien gardé, avec nous. Ne t'en fais pas. On t'aime.
Meredith était morte, mais un lien trop fort, trop puissant, la rattachait encore à son passé. Elle flottait entre deux monde. Incapable de se détacher de celui d'en bas, du monde des vivant. C' est pourquoi. Elle se pencha une fois de plus, vers le lac. Dans le reflet de l'eau, elle le vit, et sourit. Il était si beau.
Il marchait le long d'une plage, pieds nus dans le sable mouillé, ses cheveux noirs brillants sous le soleil.
Des lunettes noires cachaient ses magnifiques yeux gris. Il était en maillot de bain, sa peau nue, bronzée, s'offrait aux rayons du soleil. Il marchait de sa démarche souple, féline, et nonchalante, Son corps d'athlète, aux muscles longs et fins, luisait sous la chaleur.
Juché sur ses épaules un petit garçon brun, aux yeux rieurs, agitait ses menottes en direction des mouettes.
Près de lui, une jeune femme marchait. Elle était belle. Ses longs cheveux chataing tombaient en cascade bouclées, dans son dos. Ses longues jambes galbées, et bronzées, étaient nues. Elle aussi, était pieds nus. Son corps mince, aux formes généreuses, sans excès, était enveloppé dans une robe bain de soleil. Elle avait glissé sa main dans celle du jeune homme, dans l'autre main, elle tenait celle d'une fillette, au cheveux chataing. Il riait, heureux. Et son bonheur lui réchauffait le cœur, et lui faisait mal. C' est elle, qui aurait dû se trouver sur cette plage, avec lui, elle qui aurait dû tenir la main de son petit garçon.
Elle s'en voulut, de ressentir ça. Tout ce qu'elle avait toujours voulu, tout ce qu'elle avait toujours souhaité, c'était son bonheur.
- Je t'aime, Sirius, pour toujours et à jamais. Adieux.
- Meredith ?
- Oui maman ?
- Il faut y aller maintenant. Il est temps.
Meredith soupira, et envoya un baiser à l'homme qui marchait sur la plage.
Puis elle tourna le dos au lac, et suivit sa mère. Elle avait vu ce qu'elle voulait, elle était prête à partir, à présent. Rejoindre le néant, pour y trouver la paix et le repos éternel. Oublier son amour. Oublier les sentiments des vivants. comme lui avait oublié.
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