lys
@plusbleuquetesyeux
🥀✨⚜️
Вірші
poème sans aucun sens :)
et j'étais comme submergée par trop d'émotions comme la résonnance des percussions qui, de partout, résonne, sonne dans ma tête, et se déchaîne sur ma vie la vie, cette pirouette, ce pantin désarticulé, maudits sont les chanceux qui ont encore le sourire qui fait ressortir les fossettes - poème écrit en 1 minute avec pour unique but d'écrire ce qui me passait par la tête. <3
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mon amour
mon amour, je crois que j'ai perdu la vue j'ai perdu le jour et avec le contour de tes joues je n'ai pas vu sur elles couler tes larmes mon amour, je crois que l'ouï, je n'ai plus je n'ai pas entendu les vautours rodant par-dessus nous je n'ai pas entendu tomber nos armes je m'en veux, je donnerai mon âme pour tout réparer pour t'aider autant que je t'aime, quelle femme forte tu fais, pour tout endurer pour toujours rester à mes côtés je n'aurai jamais pensé tomber si bas ni écrire des cortèges funèbres sur mes bras te dire que je voudrais rejoindre l'au delà crois moi, lorsque je te dis que je m'en veux à vie je ne la laisserai pas rassasier son appétit mon amour, mon amour, dans ma tête il n'y a plus la lumière du jour, chaque choix se mélange et devient un énorme monstre chaque pensée me pousse un peu plus dans les ténèbres de mon monde créé d'illusions perfides, dedans j'ai perdu mes convictions, mes batailles j'ai su montrer mes failles tu n'as jamais cessé de sécher mes larmes j'ai essayé de les utiliser mais je ne sais me servir de mes armes j'ai perdu, jamais je ne toucherai le paroxysme oh, je donnerai tout pour retrouver le Lys pour t'aimer, t'offrir ma liberté, pour t'aider, t'offrir mon réconfort, mes mots pour te consoler comme un remède contre les jours où ça va pas fort... je m'excuse sincèrement pour toutes les fois où j'ai pleuré et secrètement tu étais la seule à savoir ça je m'excuse mon amour pour tous les mauvais jours pour tous les cris et les pleurs mêlés. puisse nous revenir les fleurs amoureuses et poétesses d'il y a un an... - lys, 25 décembre 2022.
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Si seulement
Si seulement les larmes Savaient me libérer De toute la tristesse qui m'accable Si seulement la liberté Pouvait revenir se poser entre mes bras Mon amie je t'attends, être rêvé Si seulement mon cœur pouvait calmer ses effrois Ceux qui me font trembler au milieu de la nuit L'ennui, le vide, les idées noires s'en iraient là-bas Si seulement mon cerveau pouvait faire taire les bruits Qui résonnent, les scénarios Qui me font aller dans un autre monde qu'on appelle l'Oubli Si seulement je pouvais Éteindre mes maux Étreindre ma vie Dépeindre mes amies Atteindre les eaux Et me diriger vers l'autre rive, vers la surface, la lumière. - lys.
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ce corps, mon corps
il y a des moments où notre raison-même est bafouée il existe des instants où le silence devient notre meilleur allié. qui l'aurait cru ? tomber aussi bas. qui aurait pu le deviner ? en arriver jusqu'à pleurer dans la nuit noire m'écorcher la peau lorsque, dans ma tête, résonnait le désespoir ces paroles dans mes pensées, tous ces mots maintenant écrits sur le papier qu'est ce corps, mon corps. je n'en suis pas fière, n'ignorant que ce n'est là une solution j'en ai mal d'y penser, les conséquences se sont faites sentir brûlures, besoin de le camoufler, envie d'hurler pardon je n'ai pas respecté la promesse. honteuse et, j'ai comme oublié l'avenir le pire, la sensation du mal imprégnée dans la blessure, ici ou dans mon cœur, ce corps, mon corps. mais il faut me croire je vais tenter d'avancer mais il faut savoir que je suis accompagnée. ma route sera longue mon chemin, mouvementé mais je ne veux y creuser ma tombe ma vie n'a assez duré pour aujourd'hui me l'ôter. *** Je veux encore rouler des hanches Je veux me saouler de printemps Je veux m'en payer, des nuits blanches A coeur qui bat, à coeur battant Avant que sonne l'heure blême Et jusqu'à mon souffle dernier Je veux encore dire je t'aime Et vouloir mourir d'aimer *** Et puis un matin, au réveil C'est presque rien Mais c'est là, ça vous ensommeille Au creux des reins Le mal de vivre Le mal de vivre Qu'il faut bien vivre C'est pas forcément la misère C'est pas Valmy, c'est pas Verdun Mais c'est des larmes aux paupières Au jour qui meurt, au jour qui vient On fait tous le même chemin Qu'il est long lorsqu'il faut le faire Avec son mal au creux des reins Ils ont beau vouloir nous comprendre Ceux qui nous viennent les mains nues Nous ne voulons plus les entendre On ne peut pas, on n'en peut plus Et tous seuls dans le silence D'une nuit qui n'en finit plus Voilà que soudain on y pense À ceux qui n'en sont pas revenus Du mal de vivre Leur mal de vivre Qu'ils devaient vivre Barbara, Le mal de vivre, La solitude. *** - lys, 10 octobre 2022.
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et tu es partie
j'ai fermé la porte et tu es partie c'est probablement mieux ainsi tu sais, j'en ai passées des heures seule à penser à toi à essayer de me remémorer en oubliant comment chantais ton cœur et ta façon de t'adresser à moi le goût qu'avaient tes baisers de ma mémoire, tout s'est échappé j'ai fermé la porte et tu es partie c'est probablement mieux ainsi as-tu oublié nos souvenirs ? les magnolias ont eu le temps de flétrir tu dis que tu es passée à autre chose comprends-tu qu'on nous a poignardées ? dans le dos, ils nous ont mis en pauses on a succombé, on est tombées, on s'est tuées les années passeront, s'effilocheront nos pauvres jours octobre passera, s'oubliera le temps du premier amour - lys, 28 septembre 2022.
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pavés citadins
dis-moi, pourquoi la réalité n'a plus de goût ? ai-je un problème, dans ma tête, qui luit ? celui, dans la nuit, la pluie coulant sur les pavés citadins de mes joues. mon démon s'amuse, il a trouvé le disjoncteur alors la ville est plongée dans le noir les scénarios sont projetés sur l'écran du cinéma, je dis j'ai peur mais on ne veut plus m'écouter, il se fait trop tard. de toutes façons, c'était ce que tu désirais ? toucher la solitude du bout du doigt ? tu sais bien que personne d'autre que toi le mériterais alors souffre, silencieuse, ne te débats-pas. tu luttes mais ça ne sert tu es dans mes filets depuis longtemps alors cesses de t'enfuir, restes entre mes serres laisse donc le vide habiter ton cœur lancinant. je sais que tu sais que je ne contrôle pas ; mes yeux te regardent partir me laissant seule sur notre place pavée ravalant le vin de mes larmes, labyrinthique une autre journée vient de commencer. mes larmes m'empêchent de tenir mes armes fragilité, mégarde mais je t'aime alors je sème quelques graines elles fleuriront, promis tu vas retrouver celle que je suis je vais faire des efforts, aimer la vie pour toi. - lys, 28 septembre 2022.
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malédictions
étrange mélopée joue de mon cœur au goût âpre, mélancolique affreuse joie, jolie frayeur doux sorts, tours magiques la sorcière est mon amie, les Froideurs elle vient se glisser et entonne sa mélodie hypnotique, onirique, durant des heures réalité enfermée, l'esprit rajeuni sentiras-tu ton cœur agoniser dans ta poitrine ? remarqueras-tu le vide s'ouvrir à tes yeux ? penseras-tu, à ton tour, cueillir les épines ? regarderas-tu, les iris décolorés, le feu ? écriras-tu, pensant chasser la peine ? te fermeras-tu aux autres, dis-moi, t'isoleras-tu ? voudras-tu la solitude pour seule compagne, fidèle ? mourras-tu lentement, brisée ; et avoir un air macabre, souriras-tu ? sur mon papier jauni le doute s'offre un souffle de vie et comme des pétales, la malédiction s'ancre. - lys, 7 septembre 2022.
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dans la forêt
je courais, seule dans les bois défiant toutes les lois de bon sens. je fuyais le grand méchant loup oubliant qui nous étions, les coups résonnant de mon cœur ; l'espérance. je me suis effondrée, la nuit est venue se poser contre mon âme gelée, elle s'y est mêlé le noir. j'ai pleuré, ma nouvelle maison devenue ce lieu inhabité, ma raison dissipée sous les racines de la terre ; désespoir. le corps las, l'esprit dans le coma d'étranges idées s'offrent à moi pourquoi pas ? dans la forêt naît la guerre ma prison, trou noir, lutte funéraire quand cela cessera ? plutôt que de faire couler les larmes verser le sang, redresser mon arme contre moi. puisqu'il faut bien punir quelqu'un après la nuit viennent les matins et les jours froids. les feuilles épongeant les gouttes s'imbibant de mes doutes lancinants. les bois jouent aux ombres chinoises, macabres créent la dame en noir cachée derrière les arbres elle m'attend. elle a soufflé à mon oreille elle a éteint le soleil impatiente. elle a joué de sa force, personnification de mes peurs, de ma colère, mes pertes de mémoires sans raisons mon existence, Inexistence. alors, je sombre jusqu'au jour où le soleil ne sera plus une ombre où la dame s'habillera de blanc ; où il n'y aura plus que l'amour. - lily, 4 septembre 2022.
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la vie est au jeu auquel j'ai perdu
honnêteté, sincérité, peut-être vous vous demandez, que s'est il passé ? vous la voulez, l'histoire ? alors voici, un soir, un peu tard les lumières se sont éteintes et je me suis retrouvée dans le noir. c'est arrivé soudainement sans que je ne m'y attende vraiment savoir dans toute sa splendeur, ce que vivent ces pauvres gens. à croire que je méritais ce sort à éviter tout ce qui semblait être en or à préférer attendre en silence, encore. à croire que tout espoir est vaincu. à penser que la vie est un jeu auquel j'ai perdu. à me demander si elle mérite d'être vécue. j'avance, j'erre, dans les ruelles abandonnée par les coccinelles je me laisse parfois m'écrouler sur les pavés gris perles. avec un sourire faux je refuse et laisse ma peau lentement couvrir mes os. l'écriture, ma dernière chance mon remède, mon espérance délaissée, funeste absence. les mots délivrant mes maux les pleurs effaçant mes rires ma vie devenue un fardeau je me noie sous leurs sourires impossibilité de m'exprimer l'envie de tout déchirer le mal cette fois a su gagner me fusiller sur le bas-côté morte vivante cherchant la clef pour enfin retrouver celle d'il y a quatre années d'insouciance et de joie démesurée de rêve et d'avenir, d'éternité pour tout vous avouer, j'aurais aimé avoir quelque chose de transformé pour qu'enfin on puisse s'alerter pour qu'on me sorte de cet océan pour qu'on m'aide à vivre et manger correctement pour me laisser renaître de mes tourments... - lys, 24 août 2022.
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- bleus
plus bleu que tes yeux, j'veux rien savoir plus bleu que mes yeux, impossible tes larmes sont trop noires pour tacher mon papier tout ce que j'demande c'était un peu moins de différence, que les gens arrête de se prendre pour mes propres idées vous n'êtes pas dans ma tête, qui êtes vous pour savoir ce que je pense? quand viendra mon heure de chance? *** 2021.
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l'ombre de la coccinelle
te revoir, ça m'a fait très plaisir je me suis sentie écoutée rassurée, j'ai même pu rire merci infiniment ❤️ (Photo en fond de moi)
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Tu seras souriante
Oh, mon petit lys S'ils savaient que dans tes yeux Il y a des larmes, et qu'avec tu tisses Des colliers de toutes les couleurs Pour faire taire ses lueurs Tu te mens comme tu peux Oh, mon petit lys Si seulement tu n'étais pas un mystère Tu serais comme ces pauvres riches Un peu bête, mais heureuse de toutes les façons Le bonheur est pour les filles sans raison C'est ce que Maman t'a dit avant-hier Oh mon petit lys, Si tu étais si sûr de toi Tu franchirais les précipices Mais t'es une fleur, pas un oiseau Peut-être que tu l'as sû trop tôt ? Si tout avais été comme cette fois-là... Oh, mon petit lys Si seulement elles savaient Que tu as vu l'étang lisse Que l'éternité n'est pas un rêve Que ce puissant sentiment de haine Je l'ai vécu et demeurera à jamais. Oh, mon petit lys Vois-tu un peu Arrête de penser aux risques Apprends de ce souvenir Vas-y, seulement si ça vaut le coup Arrête de souffrir Ne Décide point de ce que tu veux Laisse l'avenir t'offrir le tout Oui, tu verras l'Avarice Oui, tu croiras en l'Amour idyllique Oui, t'espéreras toujours tes fil(le)s Oui, t'en ressortiras vivante Oui, t'en ressortiras puissante Oui, mon petit lys Tu seras souriante. Parce que tu as toute la vie devant toi *** Par ♠ Cocodignou || 24 août 2021
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- le parfait accord
j'ai vu des lumières dansantes j'ai vu des lueurs bleutés tout autour, des amarantes venaient accueillir ce rêve empli de beauté ces couleurs se déposaient sur nos corps il n'y avait pas de désir, mais de l'amour comme si nous étions le parfait accord l'incarnation de la paix, le temps d'une nuit, le temps d'un jour je t'aimais parce que t'étais là pour moi je souriais parce que tu le faisais pour moi je voyais ces nuits comme des réponses d'un blanc incandescent puis j'oublie une fois qu'hier tu étais un monstre c'était beau, c'était sans rien, c'était lent j'essaie de t'oublier mais t'es constamment là dans mes pensées refoulées dans mes rêves si forts que je dis tout bas je sais pas si je t'aime, mon amour est tel une marée je te veux encore dans mes bras juste en rêve en toi, j'ai trop de foi je veux juste une trêve je désire juste un instant où je pourrai verser des larmes contre ton corps présent juste un instant baisser ma garde puis te vivre au fond de l'océan je sortirai de ce rêve langoureux quand l'air sera perdant je m'extirperai de ce sentiment amour pour venir t'oublier. c'était beau c'était magnifique, même mais c'était faux c'était pas à toi, ces je t'aime viens contre moi, prends moi dans tes bras serres-moi contre ton corps pour que ce rêve prenne vie juste là pour que nous formions le temps d'une étreinte, le parfait accord *** Cocodignou, 10 août 2021
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- la chance que t'as
tu vois la chance que t'as ? la devines-tu au fond de ton âme ? je crois plutôt que tu ignores toutes mes attentions aurais-tu oublié mon prénom ? je t'écris des poèmes inlassablement sur le même thème parce que toi toute entière est plus inspirante qu'une galaxie et moi je suis l'oubli quand je t'ai dit que notre relation me faisait mal tu as réagis si tristement, maintenant tu m'es déloyale aucun effet ont tes pansements je ne sais même pas si encore je te veux je crois l'avenir contre nous deux je pense à toi, continuellement comme si notre valse durait éternellement mais tu me sélectionnes, parmi mes qualités et mes peurs, mes maux tu ne les prends en compte tu ne m'aimes que pour toi, seulement par intérêt. et moi je dénombre les secondes est-ce que ta vie changerait sans moi ? est-ce que tu penses à moi ? est-ce que tu y crois encore ? est-ce que t'as peur des morts ? j'aurais donné ma vie pour toi elle est ce que j'ai de plus cher parce qu'elle inclue mes proches, mes rêves, mes espoirs non-éphémères et toi, qu'aurais-tu donné pour moi ? tu ne vois pas la chance que t'as ? d'être aimée, d'être réconfortée d'être couverte de poèmes, si seulement tu m'écoutais chanter, les paroles sont pour toi je ne m'excuserai ! parce que ce n'est pas ma faute ! alors, embrasse-moi avant mon départ si tu tiens vraiment à moi et pas seulement à tes intérêts qui pourraient disparaître, pas qu'à ton corps et enfin parles-moi, de la chance que t'as *** Cocodignou, 2 août 2021
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Le ciel est blanc
Le ciel est blanc Blanc de paix Blanc de ma maman Blanc de méfaits Ô, si tu savais Combien ce vide est mauvais Ô, si seulement tu me voyais Je suis si loin de l'être parfait Le ciel est blanc Blanc de nous Blanc de boue Blanc de sou Ô, c'est de ta faute, si tu me regardais Si tu voyais combien tu me faussais Ô, si seulement tu l'étais Amoureuse à tuer le mal qui me hantait Le ciel est blanc Blanc est toi Blanc est moi, sans toi Blanc est encore aujourd'hui, tu ne sortiras pas Le mal me hante toujours. *** Cocodignou, 27 juillet 2021 (Image en fond de moi)
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Black Vermeil (Translation)
I'm grinding black Black is a life Life of nightmares Nightmares of the night Night without stars Star shine Shine unattainable unattainable girl Girl of the Moon Moon or Sun Sun warms up Warms each of yours ears Ears and face Tears sprinkles Sprinkles of mirages Distorted mirages False and my flaws Dark faults Dark, nothing who worth Valiant, a knight of the shadow Shadow of sleep Sleep lost this evening Evening without vermeil Black Vermeil *** Cocodignou, April, 17, 2021
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- je ne dors pas
Minuit est devenu mon ami Tant je l'ai côtoyé alors que les yeux étaient clos Je suis seule, dans le noir, tout semble gris Je pense aux mots, si bien s'alignent les maux J'essaie de retenir mes angoisses Malgré moi, elles prennent vie Tout devient ombre dans mon espace Quand cesseront ces insomnies ? Puis soudain je pense à toi, À tes draps, à nos lèvres Je te veux juste pour moi J'essaie de taire ces envies funèbres J'ai peur que mes pensées soient musicales Je crains que tu m'entendes, mais tu dors encore Rêves, je t'en prie de ce chant en spirales Qu'en dis-tu, quand ensemble étaient nos corps ? Et puis, si demain je meurs Qui s'occuperait de te prévenir ? Que tu devrais venir déposer des fleurs Pleurerais-tu les présents que je n'ai pas encore à t'offrir ? Je crains que toi aussi un jour tu me  délaisses Ou que grand malheur prenne ton parcours Je m'inquiète tellement pour toi, dans ta folle jeunesse Et si tu te trompes et choisi un mauvais détour ? Minuit me souffle combien j'ai peur de vous perdre Vous êtes mes battements de cœur Mon oxygène, et l'envolée de quelques merles Il nous reste tant de défis à relever Et tant de douleurs à encaisser Manger des étoiles, je n'avais pas pieds dans le lac gelé C'est comme si on avait des liens de sororité Et puis, que ferai-je demain ? La journée passera si vite, le soleil mourra Et je me retrouverai dans ce lit à rêver d'airs marins Et à me demander ce qu'il adviendra Fermez vos yeux, laissez Morphée vous conduire Jusqu'au pays des rêves, tout là-bas Pendant que mes pensées essaient encore de me détruire, Je ne dors pas *** Cocodignou, 25, 26 juillet 2021
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- bouche cousue
Quand tu me dis que ça va Mais que derrière ton portable Les larmes affluent malgré toi Pour les camoufler, tu restes aimable Tu refuses mes appels, je ne comprends pas Que tu essaies de cacher ta peine pour éviter le carnage Ton sourire était joli Mais ton regard bien loin d'ici Quand on se voyait, tu semblais ravie Si seulement j'avais compris que tu jouais la comédie Si seulement j'avais appris Que tu ne te sentais pas à ta place dans ce pays Que de lourdes menaces planaient sur ta vie Si seulement tu me l'avais dit Que t'allais en avoir fini Que bientôt tu serais partie Si seulement ce n'était que l'aimer lui... Quand tu t'es enfin confiée à moi Je savais que tu ne me racontais pas toute la fable Tremblante de peur était ta voix « L'on nous a vu, là-bas, sous l'érable » Je n'ai compris ce que tu disais tout bas Seulement après le décollage Ton sourire était jauni Mais ton regard non-appauvri Car quelqu'un te maintenait en vie Si seulement tu l'étais encore aujourd'hui Si seulement j'avais appris Que ce n'était pas lui dans ton lit Que ce n'était pas à lui que tu pensais chaque nuits Si seulement tu me l'avais dit Je t'aurais aidé chaque jour depuis Parce qu'ainsi font les amies Si seulement j'avais compris que c'était elle et non lui... Tu as gardé la bouche cousue Jusqu'à tes derniers soupirs La peur qu'ils la tue T'as donné goût à mourir Ce n'était pas la seule solution en vue De l'Orient, vous auriez pu déguerpir Vous auriez pu vous aimer en pleine rue Bien éloignées des repentirs Mais tu avais la bouche cousue Voue auriez pu être des mamans émues Avec un bébé à voir grandir Mais tu avais la bouche cousue... *** Cocodignou, 24 juillet 2021
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Roses (translation)
Thorny flowers, with great shadows petals Tumuluous metaphors stormy Lightning on my leaves, lost clouds My soul is in mourning, desperate loves Roses are awakening when reborn the night My leaves bewitched you With a fade poison The rain will come freeze my wrongs Don't cry again I love you, but I hurt you You, full of wisdom You are the girl of the Sun I'm one dead of the Moon In a dusk, all awake A sadness, there is only one Follow of this bad love Around is sting with purplishs spikeds I'm the only one with a dirty heart The only one who cause this tide The sea could to come down The night could stretch Without ray of sunshine I fade, lack of sleep *** Cocodignou, June, 20, 21, 2021. In the translation, the rythmes are lost, I'm sorry.
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- danse humaine
Jusqu'aux aurores, parsème encore tes graines Pour que sur mon corps, ça sente la bohème Et un peu de tes je t'aime pour parfumer cette danse Qui chasserons les problèmes d'une avalanche Avec un peu de chance, tu devineras mes mots J'ai peur de te dire ce que je pense, et puis, que tout tombe à l'eau Je crois que ce n'est plus trop tôt, ce poids m'est bien trop lourd Je ne t'aime pas pour de faux, je te voue tout mon amour Danse encore avec moi Noie-moi encore une fois Dans l'océan de tes yeux Lentement, mon cœur prendra feu Sauras-tu danser la valse, ou préfères-tu le tango ? Cela ne finira mal, je l'avais écrit sur ta peau Voudras-tu chanter mes mots, mes pensées à abstenir Et confirmer d'aussitôt mes envies à asservir Dans cette danse mondaine On verra ce qu'il advienne Abandonner les chaînes, aimer sans souffrir Tant pis pour mes cernes, je veux te voir sourire Tu m'offriras ton or, mais je ne mériterai cette peine Celle de la mort ne me mets pas en scène Il n'y a pas à couvrir de crème, dis- moi ce que tu penses Le bonheur tu amènes accepteras-tu mes espérances ? Si on tournait les balances, effaçaient toutes nos photos J'ai peur de te voir partir de France, sombre Fléau Je crains la météo et l'aller sans retour Je me serai emmêlé les pinceaux, la nuit sans toi pendra le jour Danse encore pour moi Soi à moi encore une fois Dans l'autre temps de mes yeux Rapidement, c'est si précieux Sauras-tu danser la valse, ou préfères-tu le tango ? Ce n'est pas sale, pataugeons un peu dans l'eau Voudras tu de mes rêves idéaux et nous faire revivre Tuer nos propres bourreaux, affranchir même le pire Dans cette danse mondaine On verra ce qu'il advienne Abandonner nos chaînes, aimer sans souffrir Tant pis pour mes cernes, je veux te voir sourire Dans cette danse humaine Voudras-tu être ma reine ? Saurai-je être tienne ? Saurai-je être vaine ? Dans cette danse humaine Craindras-tu la haine ? As-tu peur des sirènes ? Voudras-tu être ma reine ? *** Cocodignou, 23, 24 juillet 2021
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Nous Sommes Des Soleils
Il éteint le temps d'une nuit ses brûlantes paupières Le sable luisant vient parfumer son sommeil Il cède sa place à son opposée quand naissent les rivières Des halos enveloppent le monde d'une teinte vermeille Nous Sommes Des Soleils Par nos sourires sincères, l'amour de nos mères Nous entendons par-delà nos oreilles Par envie d'être fiers•es, tant pis si l'on perd Nous Sommes Des Soleils La nuit est notre oxygène à nous aussi Un besoin de lâcher prise, reposer un instant nos pensées De notre âme est bercée de soif de vie De rêves de libertés, de quête à mener Nous Sommes Des Soleils Par nos craintes d'hier, le respect à nos frères Je sais que l'un sur l'autre veille Par nos idées d'après guerre, par nos brillantes lumières Nous Sommes Des Soleils L'aube où enfin nos yeux se réveillent, le petit matin Aujourd'hui, je le sais, tu t'envoleras, petite coccinelle Tu as l'esprit d'une battante, mais le cœur sur la main Tu es toi aussi un Soleil Nous Sommes Des Soleils Par nos actes accomplis, nos vies affranchies Car à la mer nous avons jeté notre bouteille Par nos espoirs d'une nouvelle vie, par nos entraides jusqu'ici Nous Sommes Des Soleils Aujourd'hui, tu t'es levé•e, tu as regardé le Soleil en même temps que toi Il n'a pas caché son visage ni ses couleurs Cette journée sera radieuse, avait-il dit de sa voix Toi aussi, tu n'avais plus peur Nous Sommes Des Soleils Même quand il manque une partie, même quand la vie n'a pas de prix Toujours quelqu'un t'éclaireras d'un conseil Même quand le noir nous englouti, même quand tout semble fini Nous Sommes Des Soleil ✨ — ✨ Cocodignou, 23 juillet 2021
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Où va la vie ?
Où va la vie ? Où se dirige mes envies ? Où partent mes jambes ? Vais-je là où tout flambe ? La vie, perpétuelle quête de mystère L'avalanche en pleine Terre L'odeur enivrante du désaccord Pourquoi aime-t-on vous causer du tort ? Si vous dites oui, je dirai non Si vous dites ici je dirai ailleurs Car ma vie ne sera pas dans notre maison Je m'envolerai là où je dira mon humeur Je vous aime, tendrement, immensément Vous, mes parents désunis mais aimants Vous, mes parents imparfaits mais humains Vous, mes parents, le cœur sur la main. Je sais que vous ne voulez que le meilleur pour moi Et je sais que je donnerai le meilleur de moi Pour ne rien regretter dans le futur Où abattus seront tous les murs Je passerai Oui, je travaillerai, papa, maman. Oui, j'y arriverai, car je le désire vraiment Oui, je vous étonnerais, vous verrez bien Ma conduite de demain. Je sais à présent où va la vie. *** Cocodignou, juillet 2021.
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Ma double pensée
Comme chaque versant d'une montagne Comme la surface et les profondeurs De quel côté je rame ? Car la vie prend en compte les erreurs. Oh, ma double pensée Si obstinée, si entêtée Body And Mine, tout à fait Oh, elle résume tout, c'est parfait Tu es tellement lâche ! Je n'avais pas le choix Pourquoi tu te fâches ? Parce que je suis seule chez moi Tant d'égoïsme, tu n'as pas honte ? Ai-je le droit de penser à moi, en fin de compte ? Oh, ma double pensée Tu m'en fais voir de ces couleurs Je connais l'histoire par cœur Un combat acharné de perpétuité Dois-je le faire ? Oui, tu devrais. Mais je n'ai pas d'envie particulière ? Oui, mais c'est ainsi que l'on fait. Obstination. Ma double pensée. Machinations. Tout cela était si bien pensé. *** Cocodignou, 22 juillet 2021
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J'y arriverai
Si je veux travailler Je travaillerai Si je veux tout abandonner Je le ferai Je ne vous inclu pas dans mes choix Parce que vous ne serez rien plus tard Je ne vois plus votre reflet dans mon miroir Parce que je ne fais pas ça... Pour vous ? Mais pour moi, Pour eux, futuriste famille Je m'en fiche, que vous entendiez ma voix Je suis après tout une humaine comme une autre, une fille Allez y, oui, je suis une intello Oh la la, mes lunettes rondes Retombent sur mon nez, oh... la la, dans mon regard je vous sonde C'est étrange ! Cette fille n'est pas comme les autres ? Elle penche vers le démon plutôt que de l'ange ! Quoi, elles dit des vulgarités plutôt que de jolies roses ?! Nan, cette meuf est en couple ! Qui voudrait-elle ? Ils ont dû la repêcher à moitié morte au coin d'une route ! Ah, évidemment, elle sort avec une "elle" C'est une gouine Ce qui explique sa tête de fouine, Et son petit monde qui tombe en ruine ! Quoi, elle sort comme nous aussi ? Ah ouais, elle croit en la vie. Je ne vous entends plus. Je vous jure que je ne vous écouterai plus. Je suis accompagnée seulement de ceux qui comptent dans ma rue. Et dans toute ma vie entière, je l'ai su. Les critiques, je m'en fiche assez. Vous ne me connaissez pas, Comment vous permettez-vous de juger ? Et de même, je ne te jugerai pas. J'y arriverai, Mais nous y arriverons tous et toutes Parce qu'en nous j'y crois et j'y croirai Il n'y a plus aucun doute. *** Cocodignou, juillet 2021 Ah et, rassurez-vous, dans la partie en italique, on ne m'a jamais dit toutes ses choses ^^ j'imaginais simplement ce que pense les gens.
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parce que c'était comme une promesse
parce que c'était comme une promesse, parce que la vie n'est pas tout ce qu'il reste. ne pas se laisser couler, une force à atteindre, réussir à te montrer que la vie n'est pas près de m'abandonner, que je n'ai plus rien à craindre. parce qu'à force d'avoir pataugé dans l'étang, je sais nager dans la mer. avant l'océan, ça résonnait comme une prière. *** cocodignou, 19 juillet 2021 Pour JeSuisUnBelouga (Wattpad)
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ROSES (version améliorée)
Fleurs épineuses, aux grands pétales d'ombres Tumultueuses métaphores orageuses, si sombres Éclairs sur mes feuilles, nuages perdus Mon âme est en deuil, amours éperdus. Je me penche, je flanche. Tombée de ma branche, telle est ma déchéance. Roses s'éveillent lorsque renaît la nuit J'ai tant sommeil, ne sais plus qui je suis Une sorcière aux mille maléfices Rose accepte les rivières, mais sais-t-elle au moins les risques ? La nuit plus d'ennui, à minuit encore la lumière luit. La pluie viendra geler mes tords Cesser de rêver ou l'on pleurera encore Je t'ai aimée, parsemée de doute L'on s'est croisées, en cours de route. Je t'aime, comment on fait ? Je t'aime, plus que tu ne m'aimes. Je t'aime, comment revêtir le ciel de la couleur de nos veines ?* Nous étions si semblables, identiques Nous ne croyions plus aux fables utopistes Tu étais là pour moi, et j'étais ta sœur Sans que rien je n'apercois, et n'a pas suivi mon cœur. Les rivières sont elles vraiment nécessaires ? Pleurer des prières fait déborder les mers. Tu étais pour moi un modèle, une humaine incarnant le respect Tous mes mots, tu les celles, ma haine tarie désormais Je ne sais si mon cœur était faux, mais j'ai tant appris Grâce à toi j'ai réussi à sortir la tête de l'eau, de nouveau souri. Car sans toi, je n'aurai pas la même vision de moi, je serai restée là-bas, mes larmes pour seul chez moi. Merci, Rose. Cela résonne tel nom de famille Désormais ma sœur aînée grandiose, non loin de ma ville Merci, Rose. J'espère qu'encore longtemps nous demeureront ainsi Repoussant le ciel morose, tu fais partie de mes précieuses amies. Roses n'écrivent pas de proses. Roses ne vivent pas de pauses. Roses espéraient des métamorphoses. Rose aimait Pomme et “grandiose„. Rose aimait l'école et ses choses. Roses n'étaient pas vraiment comme les autres. Parce que Rose et Rose donnent Roses. *** Cocodignou, 19-20 juillet 2021 (Photo en fond de moi)
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Respirer ne signifie pas que tu es en vie. Quand tu prends de grandes inspiration, que ton cœur bat prêt à affronter une nouvelle journée, que tu pleures mais que tu espères quand même, tu vis. *** Cocodignou, juin 2021-13 juillet 2021 (Photo en fond de moi)
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Ma volonté contre enfin votre jugement
Vos jugements ne sauront m'atteindre Penser comme vous je ne saurai plus feindre J'ai toujours été mise en seconde place Vous attendez encore que ça se passe Mais je n'ai plus peur J'apprends de mes erreurs Vous vous trompez sur moi J'ai à dire autant que toi Écoutez ma volonté Le poids de mes pensées Écoutez le jugement Il ne compte plus à présent Vos moqueries ne sont plus à craindre J'ai une toute nouvelle vie à peindre Vos pauvres stupidités me dépassent Ce n'est que le temps d'une classe Mais j'ai un cœur Des amies comme des sœurs Alors moquez-vous de moi Qu'ai-je à faire de vos voix ? Écoutez ma volonté Mais surtout ma liberté Écoutez le jugement Il a disparu depuis longtemps. *** Cocodignou, 13 juillet 2021 Pour @JeSuisUnBelouga ; @jetaimeplacarman et @RoseHivernale qui m'ont tant aidée à accepter tout cela ❤️ Merci ❤️ (Wattpad) (Photo en fond de moi)
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Je ne suis plus Rien
Je ne suis plus Rien. Je n'ai plus de lien Avec l'au-delà. J'ai envie d'être seule sur mon matelas. Je déteste, je vous déteste. Égoïstement, vous êtes ce qu'il me reste. J'agis, j'espère comme une conne un retour. Putain, un peu d'amour. Je vous déteste. Vous n'avez jamais connu la souffrance ! Jamais vu le poids verser de la balance ! Je ne comprends pas Que se passe-t-il en moi ? Qu'est ce qui trame ? Pourquoi nulle âme ? Je suis si égoïste, ce soir Si pauvre, pauvre du contraire de noir Je ne vois plus rien Aveuglée par le tout du rien Aide-moi, pourquoi je veux Que tous les yeux Vers moi se relève Pourquoi alors mes lèvres N'osent parler Je veux que vous le regardiez Pourtant je déteste... Je ne sais rien J'ai tout oublié ? Tout moindre reste Perdu le mien Tandis que tu ris, aimée. Putain, comment Pourquoi suis-je là C'est ça, c'est marrant À écrire bêtement Pour que vous me remarquiez, moi Alors que tout va bien. Je ne manque de rien. Je suis là, je marche toujours Impassible aux balles, de nos jours Mon amie va si mal, et... Comment sourire face à ce monde désolé ? Ouais, tu m'avais dit, arrête si ça blesse Mais tu n'es pas là. Et c'est pas grave, laisse. Je ne t'en veux pas, je ne vous en veux pas. Seulement à elles. Si seulement ça... Changeait. Mais le monde est peuplée d'humains Aux différentes idées de matins Pas les mêmes nuits Les mêmes cris Les mêmes vies Les mêmes lits Les mêmes prix Les mêmes pleurs Les mêmes erreurs Les mêmes noirceurs Les mêmes cœurs. Car le mien est sale Il est trompeur du mal Il aime, perd Il aime, dénonce fier. Je fini à la fin seule « Tout se passe bien, sous votre cocon de tilleul Et dans le mien tout va pour le mieux Alors... Je l'ai perdu, jeté au feu » Et oui, c'était ce que je méritais ! De tout amour défait ! Tour ce qui me rattachait Je ne fais rien dans les délais Je me démène jamais Putain, qui suis-je maintenant Il va me dire de me coucher a présent Or, ces instants de tristesses sont vitaux Quand je pleure je me fais mal au cœur à nouveau En fait, rien n'a changé ! Je suis toujours la même, pas améliorée ! Je suis toujours cette fille qui se maquille Même sur mes yeux, ça pique les cils Mais je m'aveugle me croyant intéressante J'attends qu'encore l'on me mente. Ouais, t'avais peur. Ouais, tu disais m'aimer pour moi. Putain, vous êtes mes propres erreurs Jamais ça n'aurait du arriver tout ça. Je le mérite, au fond. L'eau froide après le repas sur le pont. Tout ça n'est qu'un manque d'attention Un espoir de guérison Mais ce que je recherche... Ses pleurer dans vos bras Pourquoi il n'y a pas de flèche ?! M'orientant là-bas ! La vie, le réel amour, Pas des griffes de vautour ! Pourquoi je ressens une peine Que mon âme jamais ne traine ?! Pourquoi j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre ?! Un autre humain avec tant de faute. Depuis, le noir s'est couché. Mais le noir ça fait pleurer D'effroi. Je me terrifie seule, moi Je me tue a ne pas allumer la lumière Parce qu'au fond me blesser ça le blesse aussi, j'en suis fière ?... Non je ne peux pas toujours mettre sur son compte ! Mais je crois qu'encore c'est lui ! Lui, étrangeté ? Qu'est ce qu'il me raconte ? Je suis une humaine en vie. Enfin je souris. *** Cocodignou, 9 juillet 2021, qui a essayé de démêler le vrai du faux, le faux du vrai, dont les peines sont affranchies, à moitié, désormais. (Photo en fond de moi)
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Si j'étais riche -Texte-
Si j'étais riche, ou bien célèbre, j'utiliserai ses atouts pour faire bouger les choses. Faire ouvrir les yeux aux gens est pour moi quelque chose de primordial. Car oui, les gens ne se rendent pas compte que d'autres sont en train de mourir dans les rues, seul•es et abandonné•es, que même dans notre pays où des lois sont pourtant claires, des femmes, des personnes LGBT+, des personnes noires, ect, sont rabaissées, moquées, harcelées, voire tuées pour la seule « raison » d'être différent. Or, ce n'est pas un motif. Ce sont des humains à part entière. Comme nous tous•tes. C'est un point qui nous rassemble tous•tes. Si j'étais riche j'utiliserai cet argent pour faire ouvrir les yeux aux personnes même les plus égoïstes, homophobes et racistes. Cette idée est certainement utopique, irréaliste, comme espérer un monde sans problème. Maintenant l'argent gouverne notre monde, fait la bascule en la mort et la vie, on devrait pouvoir faire ses actions de nous-même, sans avoir les poches pleines de billets verts. Je voudrais pouvoir sauver tout le monde, créer des milliers d'associations pour les orphelins, les personnes victimes d'un handicap, ect... Personne ne devrait rester ainsi, et pourtant, personne ne fait rien. Car ceux qui pourraient le faire s'en foutent. Ils préfèrent se payer des vacances hors de prix, et ils ne se sentent jamais mal de laisser périr des gens. Je juge que si quelqu'un à les moyens de pouvoir sauver un autre, tout en restant en bonne position économique, et qu'il ne le fait pas, il est complice. Il est un témoin qui n'a pas réagit et il ne vaut pas moins que le malheur qui nous est tombé dessus sans l'avoir choisi. Et pourquoi ce sont les plus pauvres qui essaient d'aider, en se mettant encore plus dans la misère ? Pourquoi c'est ceux•elles qui peuvent le moins qui réagissent ?! Je suis simplement une enfant, une enfant révoltée par ce monde d'injustice et de discriminations ! Nous sommes gouvernés•ées par l'argent, alors qu'en fait c'est juste un bout de papier ! Nos cerveaux ont inventé des frontières, mais est-ce que nos yeux les voient ? Non. Non, nous sommes simplement aveuglés, par ce désir de richesse, ce désir de bonheur. Nombreux disent que sans argent nous ne sommes pas heureux. Est-ce seulement vrai ? Je ne sais pas. Dans la rue, sommes nous heureux ? Mais je voudrais rappeler que les sentiments ne s'achètent pas. Nous sommes capables d'aller sur la Lune, mais nous sommes toujours là à cracher sur les autres. Comment ? Pourquoi ? Je suis révoltée contre ce monde si pauvre, pauvre en amour, en réels sentiments, si égoïste... Les gens sont hypocrites et profiteurs. Les gens sont mauvais. Alors si je n'avais qu'un seul rêve à exaucé, ce serait qu'on ait TOUS et TOUTES droit au bonheur. C'est tout. *** Cocodignou, 8 juillet 2021 (Photo en fond de moi)
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Pauvre, pauvre de toi
Ma chérie, pauvre de paroles Le chant/champs que l'on survole Lune où naissent les reflets Jours où sombrent les traits Ma feuille jaunie tombe Dans les eaux sur ma tombe L'encre échauffée s'écoule Perdue dans la foule Je te déteste comme je t'aime Car on récolte ce que l'on sème Pauvre, pauvre de toi Pauvre, pauvre l'on se côtoie Mais tout à changé ! Tout s'est éteint après l'apogée Le sentiment est faux Ton cœur pique mes défauts Tu fais semblant de ne pas les voir Tu n'as jamais voulu y croire Mais c'est parce que tu ne connais Tu clonais Des promesses affranchies Qui avaient déjà défraîchi Tu n'existes plus Tu n'as jamais compris mes sous-entendus Je sais bien que ça finira mal Toi fantôme automnal Tu n'as jamais connu la souffrance Tu n'as jamais appris la confiance Des choses, Ô combien m'en caches-tu ? Je suis celle que tu as abattue Tu es si pauvre Je suis un fauve Je mords les cœurs Parsème les erreurs Et j'espère Pouvoir enfin rendre quelqu'un fier Quelqu'un.e pauvre, pauvre d'argent Quelqu'un.e riche, riche en encouragements Si seulement je le mérite Allez-y, brisez mes espérances utopiques Vas-y, chérie, appauvri-toi Détruis-moi. Je ne flanchirais pas. Pas avant toi. *** Cocodignou, 9 juillet 2021 Je ne pense plus du tout ce que j'ai écrit. (Photo en fond de moi)
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Ô juin
Ô juin Mois si surprenant ! Mois où ressortent les matins Mais qui se termine maintenant Serrer dans mes bras Une des personnes pour moi si importante Puis encore des hurlements tout bas Pour finir par brisée toutes les distances Ô dans ce mois J'ai tant changée J'ai aussi trouvé ma voie J'ai tant aimé J'ai visité Paris Croisée quelques problèmes Envisagé les États-Unis Je lui ai dit un peu trop je t'aime Ô juin tant de dates qui résonne 5, 12, 27, que retenir Merci de m'avoir apprit, chaque personne La vie est à écrire Les reflets se terniront Comme toujours Un jour, nous changerons Au mois de juin, un beau jour *** Cocodignou, 27 juin 2021
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Je me sens bien
Tu ne sais pas Il m'a fallu juste un peu de temps Pour comprendre, et accepter ce changement C'est un secret, ça faisait des années que je pensais à ça Mais au fond, nos cœurs ont ainsi décidé C'est que nous étions prêtes à faire ce pas Décider qu'aujourd'hui allait prouver La confiance qui règne envers toi et moi Cette étrangeté m'a a peu près quittée Je me sens mieux et ma vie en main Je suis juste un Humain qui a besoin d'aimer... Je me sens bien. *** Cocodignou, 27 juin 2021
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Haine
Ravageuse haine meurtrière Fane meme les coeurs les plus purs Elle, déclancheuse des guerres Toujours plus loin, toujours plus Haine, douceur amère Folie enveloppe ton âme Tout ça rime avec l'espoir d'un je t'aime... Mais personne ne viendra, pauvre femme... Tes larmes sont l'issue de la haine Sur tout ce que tu vois Tu ne crois plus, même les prières Le seul Dieu que tu connais c'est toi Aveuglée, tu ne vois pas les cœurs meurtris Des lueurs dansantes de l'ivresse devant tes yeux Tu crois tuer pour le bien d'autrui Mais ce n'est que ton intérêt... Personne ne l'aime On doute quand à la porte Elle sonne Tu es la Haine En personne *** Cocodignou, 25 juin 2021
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Nevertheless I love you
The rain fall In my shoulders Since I know you are not like other people Since, I don't understand, are you my flower ? You know, I hate my metaphors I'm very sad, 'cause, when the rainy days stay, I think at you And you know, it's not possible for me to close the door Because I love you, it's sad but it's true Our relation are so complex We scream, but we stay I'm lovesick I'm loveless What do you want ? Be in or outside my way ? You are so mysterious But let me love, girl who don't be a mess Are you jealous ? Je t'aime, c'est tout ce qu'il te reste ? Where are you ? All the directions are impossibles Like understand, it's incredible. I'm lost... Nevertheless I love you... *** Cocodignou, June 24, 2021 (Photo in background is mine)
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I'm the rainbow butterfly
I'm the rainbow butterfly I fly until the light For see you, I try Every days, every nights You are my reason who I fight You are my lullaby For I think for I sleep, every nights Never I cry I love you, my queen My heart, you win You are my star And I want go with you in a march With the great flags, in the sky Ours lights are the rainbows In my heart, it's maybe tidy But I don't care. I'm a Human so... I don't think who I am, really But I love the moonlight With you... And I want you see. .. I'm the rainbow butterfly *** Cocodignou, June 23, 2021. It's my first poem in english! It's not beautiful, but it's a start ?... :)
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Je vous déteste
Je vous déteste Désastreux humains Répendus comme la peste Vous qui vous croyez plus malins Manipulateurs avec vos belles paroles Pour voler les sous de Mamie Vous qui vous faites passer pour folles En vous rien ne luit Vous, les coquilles vides Hypocrites, un atout Un pied sur le fil Et c'est vous qui triomphez malgré tout ! Je vous hais. Tout autant que vous êtes ! Pour tous vos méfaits ! Et vous aussi, qui avez rit de ma tête ! Trompée, délaissée Vous qui m'avez laisser mordre la terre Mal-aimée Et vous êtes fiers ?! Vous n'avez pas inventer l'eau chaude. Ni la poudre. Vous êtes des pirates en fraude Vous attaquez comme de la foudre. Humains funestes. Je vous déteste. *** Cocodignou, 13 juin 2021
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I will forgive you, my love
My love, Why was necessary to be right At this woman who handled the future ? Why you left the home Without try to warn us ? I love you again, why I blame you ? I know you most of anyone I think at you, I cry every evenings Wondering if your spirit is riving You abandoned me alone with four kids ! Bills to pay, months to feed ! All that because you smoke to much ! I haven't even had the time for think at kill me My love, why the life is so tough ? Why we understand only when it happens to us ? Why for me, the success never to last ? Why the happy boat switch of bank ? My love, When will ignite the day I loved you I will forgive you *** Cocodignou, June 13, 2021 Translation : June 22, 2021
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Pour l'éternité TEXTE
J'ai un lointain souvenir... J'ai d'abord aperçut l'eau, claire et brillante. La nuit est tombée, le sable fin se colle sur nos corps nus. Le temps n'existe plus pour nous. A-t-il vraiment existé, d'ailleurs ? Des arbres entourent l'étang, ce dernier est translucide et nos jambes font trempette. Je ne me souviens plus de la couleur de tes cheveux, ou même de tes yeux. Les détails m'échappent, ils volent au-dessus de nos têtes sans que je parvienne à les saisir. Peut-être est-ce mieux ainsi ? Nous nous murmurons des mots doux, juste nous. Peut-être les étoiles se souviennent de nos paroles oubliées ? Elles connaissent notre secret bien gardé : je t'aime, tu m'aimes. Nous nous aimons plus de tout. Souvent dans mon esprit règne la révolte contre l'intolérance de monde. Nous devions nous taire, où l'on nous enverrait droit vers la mort. Non, pas ce soir. Ce soir, ta présence me fait tout oublier, jusqu'à ma propre identité. Je t'aime. Je t'aime plus que tout. Toi, celle avec qui je marche main dans la main pour affronter la vie si cruelle et injuste. Ensemble, toujours sur la même route. Nous échangeons un baiser. Je t'aime. Je t'aime tellement que je n'entends pas. Nous n'entendons rien. Soudainement, ma vision se trouble, j'entends des hurlements, mais je suis trop assommée pour les comprendre. Je sens qu'on me tire. Où es-tu ? Je peine à ouvrir les yeux, je vois du feu, des fourches. La vérité m'empoigne alors de toute sa force, et je dois m'y résoudre : la moitié du village est réunie autour de nous. Notre secret a été découvert : je suis une femme et j'en aime une autre. Des hommes barbus et forts nous retiennent fermement. Je sers ta main, tu me cries de ne jamais la lâcher. Tu es bien trop précieuse pour cela. Je crie, je les maudis. Des larmes de rages dévalent le long de mes joues salies, bien trop longtemps retenues. Plus jamais je ne me tairais. Plus que jamais je t'aime, je t'aime plus de tout. Tu es mon rayon de soleil, mon étoile qui brille dans ce monde de noirceur. Jamais je n'abandonnerai cette quête contre l'intolérance ! Les villageois nous insultent avec des propos humiliants, blessants. Ils me font mal, je me débats, mais tes mains qui jusqu'à lors tenaient fermement les miennes viennent à lâcher. J'ai tellement mal, pas seulement à cause des coups que je reçois des villageois. J'ai mal au cœur. Je t'aime, et je ne souhaite pas ta mort, et pourtant, le châtiment ne peut être levé à présent. Mais chérie, vois-tu, pour eux nous sommes des bêtes monstrueuses. Nous sommes trainées sur le sol, les villageois marchent en suivant le chemin de terre. Règne le chaos dans ma tête, la colère se mélange avec la tristesse et l'effroi. Dans ce décor de désolation, alors que tout espoir semblait avoir quitté mon cœur, l'aube se réveille. Je vois tes yeux refléter le soleil levant, et naît un sourire sur tes lèvres. Nous sommes arrivés. Devant nos pupilles, il y a un ruisseau que nous connaissons bien, il marque l'entrée du village. Hommes et femmes lient des pierres à nos chevilles. Tu sais, ma belle, j'avais peur de la mort. Mais ce n'était pas vrai. J'avais la crainte de ne pouvoir te revoir. Jamais tu ne m'abandonneras, tu me l'as promis. Notre lien se poursuivra bien au-delà de notre mort, je le sais. D'un mouvement violent nous tombèrent dans l'eau. Noyées, peut-être, mais ensemble. Ensemble. L'eau s'engouffre dans mes poumons, je l'ignore puisque que tu es là. Je t'aime. Je t'aime plus que tout. Je te vois sourire, puis nos yeux se ferment peu à peu. Nous échangeons un baiser. Qui dura toute l'éternité.
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Je te pardonnerai (SUITE)
Mon Papa, Pourquoi tu as subitement disparu ? Un grand vide s'est installé chez nous Et les cernes de Maman sont apparues Tandis que chaque soir s'éteint le hibou Je t'aime mon Papa, pourquoi t'en vouloir ? Je te connaissais si peu, mon Papa Je me rappelle juste de ton bisou le soir Et les autres souvenirs s'effritent pas à pas Tu m'as laissé seule, moi et mes frères Tu n'es pour moi qu'un pauvre souvenir Qui ne fait que souiller nos prières Un père mort, une mère morte de fatigue, qu'est ce qu'il y a de pire ? Papa, pourquoi la vie est-elle si dure ? Pourquoi je ne me souviens plus de toi ? Car l'ombre à jamais perdure Tes yeux viendront un jour à moi Mon Papa Ce jour là Je t'aimerai Je te pardonnerai *** Cocodignou 20 juin 2021
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Fade Flower
Fade Flower Flower of spring Flower of fields Flower of time Flower of kids Flower of summer Flower of meadows Flower of hearts Flower of success Flower of automne Flower of apples Ghost flower Flower of Humans Flower of winter Flower of yesterday Flower of earths Flower of stones Fade flower Bad armed flower Dead flower Fade flower *** Cocodignou, October 25, 2020 Translation : June 20, 2021
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To you, all the people don't believe it
To you, all the people don't believe it At who the heart is dark To all the people who think they don't merit it To be love, be go out of the nighmare You are not alone, not abandoning They are love, and if nobody did Me, I loved you And your penalties became take care of Don't go out ! Because in this Earth Thousand things to make Realise your dreams Just after the truce The success seems unattainable to you You try to fly until take the Sun But the success is near to you, to hide ! You are not perfect Because nobody don't perfect But you are fantastic Even if you are don't feel good, today Soon, you will be the most happy ! *** Cocodignou, June 20, 2021 Translation : June 20, 21, 22, 2021 Je commence à essayer de traduire mes poèmes et d'écrire en anglais. N'hésitez pas à me signaler des fautes ! (Photo en fond de moi)
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Roses
Fleurs épineuses, aux grands pétales d'ombre Tumultueuses métaphores orageuses, si sombres Éclairs sur mes feuilles, nuages perdus Mon âme est en deuil, amours éperdus Roses s'éveillent lorsque renaît la nuit Mes feuilles t'on envoûté D'un poison fané Mes épines font perdre la vie La pluie viendra geler mes tords Ne pleure pas encore Je t'aime, mais te blesse Toi, emplie de sagesse Tu es une fille du Soleil Je suis une morte de la Lune Au crépuscule tout s'éveille Des peines, il n'y en a qu'une Découle de cet amour du mal L'entourage piqué d'épines violacées Je suis la seule au cœur sale La seule qui cause la marée La mer pourrait descendre La nuit pourrait s'étendre Sans un rayon de soleil Je fane, manque de sommeil *** Cocodignou, 20-21 juin 2021
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A tous ceux qui n'y croient plus
À vous tous ceux qui n'y croient plus À qui leur cœur est devenu noir A tous ces gens qui pensent qu'ils ne méritent plus D'être aimés, de faire cesser le cauchemar Vous n'êtes pas seuls, ni abandonnés Vous êtes aimés, et même si personne ne le voulait Moi je vous aimerais Et vos peines seront soignées Ne partez pas ! Car sur cette Terre Mille choses restent à faire Réaliser tous vos rêves Juste après la grande trêve Le bonheur vous semble mauvais Vous essayer de voler jusqu'au soleil pour y goûter Mais vous n'aviez pas vu qu'il était juste à côté de vous, caché Vous n'êtes pas parfait Car cela n'existe pas Mais vous êtes Ô combien merveilleux Même si ça ne va pas fort, là Bientôt vous serez le plus heureux *** Cocodignou, 20 juin 2021 Pour Petite_Renarde et tous ceux qui ont perdu le sourire ❤️
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Tu ne me connais pas
De part en part mon amour me foudroie Je ne vois plus que toi Mon cœur chavire, mal armé Je deviens une naufragée Laisse moi me reposer sur ton rivage Observer quelques instants ton doux visage Tu sais, l'océan a bien failli me noyer J'ai eu peur, alors ne me laisse pas couler Tu ignores encore tant de choses de moi... Tu ne sais pas comment c'était pour moi... Tu ne connais pas cette période troublée Par mes pleurs, mes angoisses enragées Tu ne connais pas ma vision qui balance Dans cette aquarium de France Mes tremblements, les gens autour Qui me demandent si ça va, je dis oui, mais aux alentours Tout allait si mal J'étais tombée dans une faille Y a eu la maladie de ma sœur Ma chambre défoncée et avec, mon cœur L'angoisse de retourner le voir C'était tard dans le soir Il s'est pas vraiment excusé Mais tout ça c'était passé Puis y a eu ses crises d'angoisse Ma belle-mère qui n'a pas aimé que je la froisse Puis le mec que j'aimais Juste au pire moment il me larguait Tu ne me connais pas Même moi je ne me connais pas. *** Cocodignou, 3 mai 2021 (Photo en fond de moi)
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Sentiments
Je suis une fille au visage couvert Par la fausse idée qu'ils se font de moi Au futur mari, ils y croient dur comme fer Mais il n'y a qu'une seule personne que j'aime ici, c'est toi J'aime la nuit Car c'est là sans un bruit Du masque du jour je le dévêtis Ces moments sont ma seule flamme Laisse-là perdurer, je t'en supplie Et si nous étions majeures, peut-être t'aurais-je demander à unir nos âmes ? Pour toujours ensemble affronter la vie Ensemble. Chaque nuit. Je rêve que tu es ici Et me réveille, le cœur monotone Même le soleil ne me sourit plus Jusqu'à ma porte tu ne donnes Et mes affreuses pensées se tuent Je t'aime, et alors ? Je t'aime et ça compte fort Je t'aimerai encore Voilà mes Sentiments *** Cocodignou, 18 juin 2021 À mon Ciel illuminé en retour
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Toi tu passais ton temps à gueuler
Toi tu passais ton temps à Je passais le mien a me cacher Car j'avais peur Mais je savais que c'était toi l'erreur gueuler Toi, quand enfin je devais t'affronter Je me mettais à pleurer Car j'avais mal Tu savais trouver mes failles Je retournais dans mon repaire Là où revenais ma mère Qui ne savait trouver La solution de nos failles cachées Papa le lui dit pas Mamie répète tout Tais-toi, mon enfant TAIS-TOI Ça ne va pas du tout... Personne ne dois savoir tout ça. Quand il recommencera la boucle éternelle Il me verra toute petite frêle Mais je gueulerai Tout le mal qu'on me fait Des cris de révolte ! de haine ! Et d'amour aussi Car il a des peines Et jamais il ne les dit Car lui aussi va mal Son avenir est sale Que puis-je faire ? Ne plus me taire. Je gueulerai, alors. *** Cocodignou, 13 juin 2021
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Je te pardonnerai
Mon amour, Pourquoi a t'il fallut donner raison À cette dame qui maniait l'avenir ? Pourquoi as-tu quitté la maison Sans essayer de nous prévenir ? Je t'aime encore, pourquoi t'en vouloir ? Je te connaissais mieux que quiconque Je pense à toi, je pleure chaque soirs En me demandait si ton esprit monte Tu m'as laissé seule avec quatre enfants ! Des factures à payer, des bouches à nourrir ! Tout ça parce que tu fumais depuis trop longtemps ! Je n'ai même pas eu le temps de penser à mourir. Mon amour, pourquoi la vie est si dure ? Pourquoi nous comprenons seulement lorsque de ça nous arrive ? Pourquoi pour moi, le bonheur jamais ne dure ? Pourquoi le bateau heureux change de rive ? Mon amour, Quand s'embrasera le jour Je t'aimerais, Je te pardonerais. *** Cocodignou Poème lié avec d'autres qui suivront ✌️ 13 juin 2021
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Opinion d'une enfant
Quatorze ans Je marche sur deux pieds J'ai un cerveau et je peux parler Je ne suis plus une enfant Humanité est ce je crie Liberté est ce que je proclame Discrimination est ce que tu clames Respect est ce qu'on instruit J'ai une tête je sais penser Je sais prendre un autre chemin que mes parents Je sais donner mon avis et débattre respectueusement Je fais aussi partie de l'humanité ! Je ne vaux pas moins que toi J'ai une véritable opinion Que je forgé pour écrire mon prénom J'ai aussi à donner ma voie Je suis une Humaine à part entière comme toi. *** Cocodignou, 11 juin 2021
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Travail
Le travail paie, on le sait bien Les piles de cahiers s'entassent Apprendre pour réussir demain Alors j'essaie de ne pas être trop à la ramasse Il faut tout connaître par cœur Car sinon tombent des notes à maudire Car c'est elles qui décident de notre avenir Mais moi je préfère rire plutôt qu'étudier des heures Je l'avoue, je n'ai pas à me plaindre Mes notes sont hautes, sans trop réviser Je hais les cours, mais je dois travailler D'avoir fait mes devoirs, je ne dois plus faindre Que mes idées sont contradictoires ! Si je veux travailler, c'est pour les autres Mais je mets la pression trop haute Et moi, ce que j'aime c'est le soir Non, la société n'est pas en accord Avec mes idées, ultimes métiers Car dans la vie, il faut de l'argent pour subsister Je n'ai plus qu'à me plaindre du mauvais sort Je suis dans un moment où tout se répète Dans la vie on a toujours le choix Et je crois que je m'éloigne de ma légitime voie Ai-je envie de dire adieu à la quête ? Je ne sais plus trop Les humains sont riches D'argent et d'affiches Cases où il s'y croient alors que c'est faux Pavi, la Vie Êtes-vous en train de vous ternir ? Les vies ne seront jamais a offrir? Je ne veux abandonner la fille ! J'ai ces fâcheuses intuitions C'est sympa, un œil futuriste Mais ce que je vois est loin d'être idéaliste Une parmi des millions Vais-je mourir à l'instant où je le croyais ? Ou vais-je vieillir très tard ? La voyance n'est pas un fait ? Ai-je sans le vouloir Lâcher la barre ? *** Cocodignou, 9 juin 2021 Je ne pense plus ce que j'ai écrit dans ce poème.
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Vibrez, anciens enfants
Je me rends sur la place Pour eux, je ne suis qu'une inconnue Je viens et me fiche de leurs faces Je change pour ceux que j'aime et qui m'ont vue Je me fiche de mon jeune âge Je me vêtis de cette robe aux vieux carreaux Oui, je ne suis pas une enfant sage J'ai besoin qu'on m'entende plus pour de faux J'emmène quelques amis, mon frère, Maman Jouez, si vous aussi vous le souhaitez Aimez-nous, anciens enfants Vibrez pour la liberté *** Cocodignou, 9 juin 2021
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Comme le fait de s'aimer, qui implique peut-être d'autres beautés
Tu as tant changée, pourtant je te reconnais J'aurais pu te détester, mais je ne l'ai pas fait Car les fleurs sur toi sont éternelles Les magnolias prennent une teinte vermeil Avec toi, mon sommeil est déserteur Je n'ai pas peur de perdre mes pétales en tant que fleur Juste avec toi, j'ai une confiance inouïe Que je ne pourrais confier à nulle autre fille Pour toi, je pourrais m'écorcher le corps d'épines Juste pour que tu viennes le panser de tes mains si fines Je ne peux m'empêcher de penser à toi Et d'espérer une nuit de plus dans tes bras J'ignore si je mérite une personne telle que toi, Moi, la fille gênée qui parle tout bas Si tu avais combien je doute Car je me tuerais si notre amour s'arrêtait pour changer de route Je me demande aussi souvent Ce que l'avenir sera pour nous, espérons-le accueillant Je suis un chemin inconnu et empli de nouveautés Comme le fait de s'aimer, qui implique peut-être d'autres beautés Quoi que tu fasses, que tu dises, qui que tu sois Je t'aime pour ce qui fait toi Au-delà de tes choix, résultats, de tes joues Je t'aime, un point c'est tout. *** Cocodignou, 9-10 juin 2021
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Cinq six ving-et-un
La barrière allait s'effondrer Il a fallut tant de volonté Des heures de routes Des heures de doutes Cela en a vallu la peine Toutes ses grandes scènes Où je nous visualisais heureuses Car on se voyait, les chanceuses Je rêvais d'enfin casser ce "virtuel" De rendre cette amitié encore plus réelle Papa, Maman on eu peur Car selon eux tu aurais pu être n'importe qui, ils n'avaient pas le droit à l'erreur Ma main tremblait si fort J'avais l'impression de m'échapper pour la première fois d'un coffre-fort L'espérance m'avait aidée Car on s'est enfin retrouvées Les portes de l'ascenseur se sont ouvertes Te laissant apparaître Le temps fut suspendu pour moi Et un quart de seconde après tu étais dans mes bras Je ne réalisais pas tellement c'était beau Je crois que j'ai pleuré, juste un peu, t'étais là et ce n'était pas pour de faux La vie est un éternel combat Alors nous on s'est battues et on a jamais baissé les bras Faites de même, je vous le promets, avec beaucoup de volonté On peut rendre nos rêves réalités. *** Cocodignou, DarkPhoenix1104, 8 juin 2021 (Photo en fond de moi)
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Passion
Je désire encore la nuit Nuit noire de rêves futiles Futile car je fais ce que je fuis Fuis, tu es trop jeune, fille Fille que suis pour toujours Toujours un cœur à salir Salir les âmes des noirs vautours Vauteurs sans ailes à maudire Maudire moi encore Encore aime-moi Moi et moi seule, jusqu'à l'aurore Je saurai te tuer cette fois Fois de trop, fille Fille de la nuit Nuit mieux que les voix Voix mieux que moi... *** Cocodignou, 7 juin 2021 Heuuu... Où est le sens ? XD (Photo en fond de moi)
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Plainte aux Fantômes
Réveillés lorsque mon âme sommeille Les fantômes jamais sur moi ne veillent Mes paupières sont closes mais je les perçois Ils me bercent de leurs macabres voix Entrainée par la valse des mourants Tuée le vent, je m'éteins doucement Aveuglée par les changeantes lumières Le ruisseau, l'étang et la rivière Quelle est donc la grande malédiction Le sortilège pour perdre la raison ? La cause du sacrifice des sorcières Qu'ont reçut mes yeux, quelle vaine prière Ô fantômes, esprits de la Lune Sur ces Terres, il n'y en a qu'une De Fleur au souffle éphémère Elle brûlera pour changer d'Ere Ô esprits démunis de grands savoirs Cessez d'encore voler mon cher pouvoir Ô mes amis grands fantômes déchus Cette nuit encore je vous ai reconnu Je vous vois le vide Laissez-moi souffrir Sombres profils Laissez-moi dormir *** Cocodignou, 29 mai 2021 (Cover en fond de moi)
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Et la vie c'est une balançoire
La vie est une balançoire Si tu lâches ses cordes tu meurs La vie c'est le blanc et le noir Si tu ne comprends pas, c'est une erreur La vie c'est un soleil luisant Si tu t'approches trop tu t'enflammes La vie c'est un labyrinthe mourrant Si tu ne trouves pas la sortie tu salis ton âme La vie c'est des échos cachés Si tu ne sais pas d'où ils viennent tu es perdu La vie c'est le miroir affronté Si t'as peur de ton reflet on ne sait pas ce qu'il est advenu La vie c'est des mystères assombris Si tu les découvres tu t'écrases La vie c'est des cachotteries des familles Si tu les entends tu ne sors plus de cette phase La vie c'est la mort La mort la vie Mort ou encore en vie Qu'est ce que ça change dans ce monde endormi ? Et la vie c'est une balançoire. *** Cocodignou, 29 mai 2021 (Photo en fond de moi)
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Citation 6
La vie est une balançoire. Si tu ne la pousses plus elle va de moins en moins vite jusqu'à s'arrêter. *** Cocodignou, 28 mai 2021
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La Ville de Folie
La vie est en accéléré Les pas affluent sur le bitume Les habitants sont trop pressés Comme dans mon cœur tout se bouscule Les klaxons fusent de partout À chaque coin de rues, les gens râleurs Ils sont en train de devenir fous Comme dans mon âme et mon humeur Les feux des grandes avenues Les lumières des grandes enseignes Jusqu'à mes yeux sont parvenues En moi, la folie se déchaîne *** Cocodignou, 27-28 mai 2021
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La Ville meurt quand renaît la Nature
Les murs délavés De tout soupçon de vie Les vieux pavés Arrachés par la pluie Les bâtiments Vides de toute âme L'école des enfants A perdu son savoir et sa flamme Les réverbères éteints Rappellent que ce monde N'est plus rien Elle attend qu'ils tombent Les toits L'ancien ciel de ceux D'autrefois Abandonnent leurs derniers vœux Elle a dit disparaissez Vous et votre haine Vos villes qui aiment me tuer La Terre se déchaîne Perirons les humains Ignorants de la Nature, Elle Qui dès demain Renaîtra de son sommeil *** Cocodignou, 27 mai 2021 Petit poème écrit pour le concours de @RoseHivernale sur Wattpad. Le thème était "la ville". Je ne sais pas si j'ai vraiment respecté... Dites-moi vos avis 😉 Précision : "Elle" est la Nature, je n'ai pas réussi à le mettre en italique ^^
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Les gens
Les gens n'aiment pas les feuilles par terre Les gens n'aiment pas le rouge et le jaune Les gens voient les nuages et leurs cœurs se serrent Les gens n'aiment pas l'automne. Les gens n'aiment pas le froid Les gens regrettent hier Les gens n'aiment pas les grippes qui passent par là Les gens n'aiment pas l'hiver. Les gens n'aiment pas la pluie Les gens n'aiment pas sortir de temps en temps Les gens n'aiment pas la vie Les gens n'aiment pas le printemps. Les gens n'aiment pas la chaleur Les gens n'aiment pas les plages bondées Les gens n'aiment pas le changement d'heure Les gens n'aiment pas l'été. Les gens n'aiment RIEN. *** Cocodignou, 24 mai 2021
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Terminer à Nous
Toi qui ne m'a jamais parlé Libère tes mots Qu'enfin on puisse se rencontrer Qu'on puisse s'aimer un peu plus tôt Je désire être ton amie Être celle qui T'aidera à vaincre La maladie qui resserre son étreinte Autour de ta peau de tes os Celle qui finira par te tuer J'en perdrai les mots Que tu n'as pas encore prononcer Je sais pas pourquoi je sais tout Déjà A quoi ça sert alors de vivre tout cela ? Tout... Décide-toi si tu me parleras Je ne viendrai pas Ou je ne sais pas... L'avenir nous le dira, enfin, ce que je ne sais déjà Je ne comprends pas Et toi, tu ne me vois pas Je connais le nom De la fille de notre union Je suis l'avenir Celle à maudire Qui-suis-je ? Je pourrais tout détruire À nouveau, être prise de repentirs Changé le cours du destin Moi celui de l'histoire Pour qu'enfin Cesse le cauchemar Et laisser Pavi Derrière nous Et laisser la vie Terminer à nous ❤️ *** Cocodignou, 23 mai 2021 (Photo en fond de moi)
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Une fleur dans l'océan, une fleur dans les cendres
Les reflets me semblent vieillis Parfois sali, car je pardonne mais n'oublie Mais sous la terre, au delà des fleurs On s'approche du centre, est ce vraiment une erreur ? Je pourrais couler, me noyer au fond des océans Cette mort est la plus affligeante pour un amant Mais toi, je te le demande, pourrais-tu brûler ? Te consumer dans ton entièreté ? Suis-je le feu ? Es-tu l'eau ? Fais-t-on parmi de ceux Qui se tueront à force de s'aimer trop ? Je ne parle pas de cela Ce n'est pas ce que tu crois J'écris d'un amour De chacune se tuer au point de non-retour Une fleur dans l'océan Une fleur dans les cendres Fais attention au firmament Avant que je ne puisse te rendre Ce que tu m'avais donné. Ou prêté. *** Cocodignou, 23 mai 2021
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Tu ne te rendais pas compte
Tu ne te rendais pas compte De l'effet de tes mots sur moi Tu ne te rendais pas compte Que je rêvais encore de toi Je ne me suis jamais rendu compte Que quand tu disais que tu m'aimais c'était pour de faux Je ne me suis jamais rendu compte Que ce n'était que de simples mots Je ne me suis jamais rendu compte Que tu n'étais qu'une illusion Je ne me suis jamais rendu compte Que tu étais un adulte plein de mal intentions Je ne me suis jamais rendu compte Que dans le jeu tu étais le loup Je ne me suis jamais rendu compte Que tu étais déguisé en mouton là pour nous Au bout du compte Ta couverture est tombée Je me suis rendu compte Que tu étais un homme dérangé Alors aujourd'hui, faites attention À qui vous parlez Je fais de la prévention Pour éviter qu'un mal soit recommencé *** Cocodignou, 22 mai 2021. Je voulais aborder le sujet des personnes qui veulent vous faire du mal via les réseaux sociaux, cachés derrière des faux comptes. Cela ne m'est jamais arrivé, mais je sais que beaucoup en ont été victimes, je voulais donc en parler.
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Les Humains ne vivent que pour eux
Les humains ne vivent que pour eux Parce qu'ils ne pensent qu'à leur vie Chacun se la partage, mais on se fiche de celle de ceux... Car la nôtre est si intéressante, pleine de péripéties ! Écoutez, la mienne est mieux Semblent-ils hurler Mais personne ne s'écoute au milieu... Tous absorbez par leurs aventures dont ils aiment tant parler On fait semblant d'être d'accord Mais qui s'en préoccupe vraiment ? Qui s'écoute encore ? Qui en a à faire de la vie des autres, franchement ? Alors taisez-vous. Ne dites plus rien juste un instant. Et les yeux vous ouvrirez Vous verrez les gens que vous n'avez jamais remarqué avant Et puis chantez La nature la vie, eux, Complimentez Vous-verrez, ils vous ferons la pareille, voire mieux Cessez d'être obnubilé par vous C'est égoïste, c'est ennuyant Trouvez le juste milieu entre les autres et vous Et enfin, aillez des dialogues philosophiques passionnants ! *** Cocodignou, 22 mai 2021
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Mon avenir
Mon avenir me paraît incertain Les routes sont déjà tracées Mais pourquoi je n'oserais demain Courir loin des cités ? C'est l'haussement de sourcil de la voyante Pour une que ce n'est moi Elle m'a promit surprenante Alors que j'ignorais presque tout de cela Je voulais parler de métiers Mais je m'envole vers la quête Qui inévitablement est liée A mon avenir, je ferais mieux de ne pas remettre... ... Au lendemain Mes projets fous dictés Par la voix des Anges lointains Lui, encore, ne pourra nous échapper Les anges de la terre libérez-vous Et réveillez-vous, humains Volez le pouvoir aux fous Battez-vous pour trouver un meilleure demain Parce que mon avenir Est votre avenir forcément Si je ne peux y parvenir Les murs ne tomberont furieusement Faire ce que je veux Je l'ai déjà réalisé, durant tant d'années Alors j'accepte vos vœux À condition que ma fille ne sois jamais effacée Laissez mes amours exister Si seulement Si seulement TOUT pourrait être sauver. *** Cocodignou, 19 mai 2021 (Photo en fond de moi)
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Si t'es le jour je serai là nuit
Si t'es le jour je serai la nuit Si t'es l'eau je serai le feu Si t'es l'amour je serai l'ennui Et si t'es beau je serai faux Si t'es la vie je serai la mort Si t'es la Lune je serai le Soleil Si tu brilles je serai l'or Et si t'es la dune je serai ta merveille Si t'es le blanc je serai le noir Si t'es l'amie je serai l'ennemie Si t'es le rêve je serai le cauchemar Et si t'es jolie je le serai peut-être aussi Si t'es toi je serai moi Si t'es une fleur je le serai pour toi Si t'es les lois je serai ta voie Et si t'es dans mon cœur ce sera à chaque fois *** Cocodignou, 13 mai 2021 Ce poème n'est adressé à personne en particulier... (Image en fond de moi)
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Des rires ou des larmes
Des rires ou des larmes Des joies ou des peurs Des respects ou des armes Des lois ou des horreurs Des jaunes ou des bleus Des plantes ou des fumées Des eaux ou des feux Des planques ou des prisonniers Des mers ou des déchets Des hommes ou des femmes Des misères ou des billets Des paquebots ou des rames Des toi ou des moi Des choix ou des tristesses Des ronds ou des croix Des nattes ou des tresses [...] *** Cocodignou, 11 mai 2021 (Image en fond de moi)
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Paysage montagneux
(poème pas très joyeux) J'ai envie De dormir à point d'heure Tomber dans la nostalgie Du passé déserteur Pleurer pour ceux qui sont en vie Sourire pour ceux qui sont morts Déçus, tous on le finit Frappé par le mauvais sort Maladie, perte, amour Conflits, oubli, abandon Entre les pattes du vautour Emportés loin de la maison On se débat Puis se lasse Les gravas Puis les grosses pierres se détachent Pour nous fracasser les tympans Nous voler la raison Tués par le vent En cette malheureuse saison *** Cocodignou, 11 mai 2021 (Photo en fond de moi)
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Venez on va vivre.
Je veux vivre mes rêves Plutôt que rêver ma vie Je veux sentir la sève Des arbres fleuris Je veux écrire, chanter Je veux être pianiste Et pourquoi pas sur scène, poser le pied Et danser sur les notes de musique Je veux jouer cette berceuse À mes enfants pour les endormir Je veux être une maman un peu rêveuse, Un peu artiste dans mes livres Je veux la vie d'artiste A mon doigt, passer l'anneau Dansez avec moi sur la piste Devenons tous matelots Je veux hurler a tous ces gens Rêver c'est beau Mais encore plus vivre ses rêves d'enfants Abandonnez les papiers, les bureaux Et allons tous dehors Dansons sous la pluie Voyons combien rire c'est de l'or Crions combien c'est beau la vie Venez avec moi Venez on va se rendre ivre De joie, d'amours sans lois Venez, on va vivre. *** Cocodignou, 10 Mai 2021, dans un élan de positivité ! :) (Image en fond de moi)
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Une future femme en vie
Mes yeux se sont glacés De peur, d'étonnement Devant l'étang de mon passé La rive avec son côté penchant Les arbres et leurs branchages Le point d'eau n'est plus aussi grand Mais aujourd'hui, ce n'est plus un mirage Ni un hasard poignant Si Jehanne a retrouvé l'étang ce 8 mai Je ne peux me remémorer le cauchemar Ni la puissance de notre amour, plus jamais Les vies se succèdent tôt ou tard Pour oublier ta noyade, Leslie Peu comprendrons, à quoi bon Je veux juste me souvenir de nos vies Pour enfin d'un rebond Retrouvée Celle que je suis aujourd'hui Plus une jeune femme brûlée Mais une future femme en vie *** Cocodignou , 9 mai 2021
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Ton reflet
Ton reflet dans le miroir Te nargue, t'arrache Ton âme chaque soir Il te dit « sale lâche » Tes yeux bruns perlés De larmes goût Malheur et abandonnée Ton reflet est fou Il te rabaisse Te rajoute du poids Il attend que la vie te laisse Mais moi je t'abandonnerai pas Car ce reflet C'est toi Mais tes yeux n'ont pas vu que je t'aimais Alors laisse les de côtes, ses horribles voix Et regarde-toi un peu Ce que t'es beau/belle J'en serai presque amoureux De ton sourire de coccinelle Tu es magnifique Je veux t'entendre le dire Tu es magnifique Arrête de te maudire Et juste respire Regarde comme tout est beau T'as le droit de vivre Heureux, loin de ces maux Moi je t'aime Comme tu es Toi aussi, aime Ton corps car tu es parfait A ta manière ❤️ *** Cocodignou, 8 mai 2021 Poème pour tous ceux qui n'ont plus confiance en eux ❤️
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Mes sentiments c'est comme une fusée
Mes sentiments c'est comme une fusée Une fois lancés, on ne les arrête J'aime comme jamais je n'ai aimé Dans mon cœur c'est la fête Mais très vite un morceau de la fusée s'abandonne à l'espace Mon amour s'atténue voire se meurs Il ne reste que des gouttes au fond de la tasse C'est ça toujours et à chaque heure Je me retrouve en apesanteur Je flotte sans pouvoir contrôler mes choix Encore bat mon cœur Mais l'atterrissage sur la Lune n'arrivera pas J'ai le sentiment de ne pouvoir aimer Je me mets dans des situations compliquées Avec des fleurs fanées... *** Cocodignou, 7 mai 2021 Photo en fond de moi
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Il a fallut tout ça pour toi ?
La tête qui se frappe contre le béton Il a fallu tout cela pour toi ? Il a fallu ces larmes de plombs ? La colère dans nos voix ? Je pardonne souvent Mais jamais je n'oublie Le nombre de fois où on me ment Ces paroles sans vies Je me souviens De ton regard noir Je me souviens De ton regard un soir On gueule, on pleure, On se retombe dans les bras Je me retrouves seule, j'attends l'heure Mais tu ne viendras pas C'est un peu toxique notre relation Depuis le passé On finira par s'aimer Ou se tuer a perdre la raison *** Cocodignou, 6 mai 2021 Photo en fond de moi
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La Mort
Je porte la Mort avec moi J'emporte l'amour avec moi Maman, la mort, la mort, la mort, c'est quoi ? Je vois la Mort dans les yeux J'envoie la Mort dans les cieux Maman, la mort, la mort, la mort, c'est quoi ? Je vois la Mort et ses pleurs Je vois la Mort sans son coeur Maman, la mort, la mort, la mort, c'est quoi ? Je vois la Mort affligée Je vois la Mort décéder Maman, Maman, Maman, La mort, la mort, la mort, c'est quoi ? Enfant, Enfant, Enfant, La mort, la mort, la mort, c'est moi. *** Cocodignou, 2 mai 2021. Je suis plutôt contente de moi sur ce poèmee, ça faisait au moins deux semaines que j'avais eu l'idée :) /Photo en fond de moi/
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Mon espoir me perdra
Mes carnets de poèmes Reflètent ma vie Tes je t'aime Ils ne tomberont dans l'oubli  Ils marquent mes pages Ecrites dans la nuit noire Alors que le sommeil faisait naufrage Je me demande si je dois encore croire Car l'espoir de nombreuses fois A fini par me consumer Le phoenix je ne suis pas Je finirais en cendres fiées Mais moi si je regarde encore ton visage C'est parce que je crois aux étoiles Je crois à l'espoir, aux mirages C'est ça mes aurores boréales J'espère jusqu'au bout Ca me perdra un jour Mais si je passais à côté de vous Si je passais à côté d'un amour... *** Lili-Rose, 30 avril 2021 /Photo en fond de moi/
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Merci mon Étoile
Lola mon Etoile, Merci d'être là quand le soleil se voile Merci de m'aimer malgré toutes mes plaintes Merci de me rassurer quand j'ai des craintes Merci de rigoler à mes blagues pourries Merci de ne jamais me juger même quand bêtement j'agis Merci de me redonner le sourire Merci de compatir quand j'ai trop de choses à vivre Merci de toujours me soutenir dans mes projets Merci de me faire rire jusqu'à l'excès Merci d'avoir de bonnes idées Merci d'être mon bebou étoilé Merci d'être toi même à chaque fois Merci de m'aimer telle que je suis Merci de toujours respecter ce que je dis Merci de m'avoir follow-back y'a bientôt 2 ans et de t'être jamais désabonnée Merci pour tous les dossiers que tu m'as envoyé Merci de m'encourager Merci d'avance qu'on aille se baigner dans un lac gelé Merci de chasser ma tristesse Merci de ta gentillesse Merci de m'avoir fait découvert Pomme Merci de toujours répondre quand ton tél sonne Merci d'être là Merci d'être toi Merci pour tout ce que tu as fait Merci de mettre les céréales AVANT le lait Merci avec toi, y'a pas de tabous tout devient avouable Et HALALA, TU DEVIENS INCROYABLE Merci d'être le vent qui guide ma voile Je t'aime petite étoile *** Lili-Rose, 29-30 avril 2021 Pour Lola <333 /Photo en fond de moi/
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Royauté
Je suis la reine de ce royaume Dépourvu d'or et de joyaux Les chevaliers ne quittent plus leur haumes Si je disais qu'ils reviendraient ce serait faux Devant mon modeste palais M'attendent deux princesses Devant leurs visages je rougissais Et j'abandonnais mon destin funeste L'une les bras chargés de roses L'autre les mains pleines de camélias Tout me paraît si grandiose Et au fond je ne sais pas Si un choix malgré moi s'impose Sur ma tête ma couronne de reine est bancale Je rougis, je bégaie et je n'ose Décidément mon rôle de reine est misérable Je vous aime, princesses Vous et vos allures de déesses Vous et vos yeux bleus M'attirent tel un grand feu Au fond je ne sais qui prendra ma place sur le trône La fidélité n'est pas vraiment ce que je prône Mes amours flamboyants Par devoir ou sincérité, je vous aime tellement. *** Lili-Rose, 29-30 avril 2021 /Image en fond de moi/
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Lili-Rose
Ecrire un poème Sur moi-même Quelle idée saugrenue Quelle idée inattendue Que dire sur moi J'suis là Cherchant un peu de courage Depuis mon plus jeune âge J'suis née un jour d'avril D'un battement de cil Me voilà en vie Me voilà aujourd'hui Me voilà les cheveux courts Le teint un peu bronzé Le coeur un peu trop lourd J'ai jamais osé Ouvrir ma gueule Ouais, j'aime rester seule C'est pas pour ça que j'suis d'accord C'est pas pour ça que j'sais pas crier plus fort Mais vous inquiétez pas J'serais bientôt à la hauteur D'répondre à vos remarques sympas Qui me donnent des hauts le coeur J'm'appelle Lili-Rose Je suis pas une rose rose Mais une fleur têtue Une fleur qu'a pas une très bonne vue Ouais j'suis Lili-Rose mais surtout J'suis une humaine avant tout Comme toi, comme les autres On fait partie des nôtres. *** Lili-Rose /Image en fond de moi/ Ce poème est partie en n'importe quoi xD
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La prochaine fois
La première fois C'était il a 590 ans J'avais 23 ans je crois En galopant J'avais réussi Il me restait à prendre Paris Mais c'est Paris qui m'eût prise Et aux flammes je fût soumise La seconde fois C'était il y a 232 ans On croyait en moi Et pourtant j'ai hésité au dernier moment Quel était mon camp, mon combat ? Etait-ce vraiment à moi de faire cela ? Je ne sais point quelle a été ma fin Mais j'ai lâché le pouvoir d'entre mes mains Mais la prochaine fois Dans quelques temps A 23 ans je crois J'arriverai à temps Révolte, cris ? Tout cela en une nuit ? Je sais que la vie Me reprendra vite une fois tout cela fini... *** Lili-Rose, 28 avril 2021 Nda : Cela peut vous paraître dénudé de sens, mais il y en a bien un, caché...
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Fantôme (1)
J'aimerais te dire Quelque chose d'important pour moi Promets de ne pas me maudire Car je ne m'en remettrais pas Je sais que tu n'y crois pas Mais moi je les vois C'est ça ma différence Je préfère te le dire à l'avance Je ne suis pas folle Je ne l'ai pas choisi Je vois ce qui vole Et j'entends ce qu'il dit Ce que je peine à te dire C'est ce que des fantômes Je vois vivre Depuis que je suis môme Je vois des esprits Que toi tu ne vois pas Je vois cet infini Tu n'es pas obligée de croire en cela Mais crois au moins en moi Respecte ça Merci Merci  *** Lili-Rose /Photo en fond de moi/
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Printemps Prochain
Je t'aime Alors je sème Quelques graines de ma main En esperant des fleurs au printemps prochain /Photo en fond de moi/ Lili-Rose
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N'existe pas
Tes cheveux roux Bouclent le long de mes mains Tu es à la fois le tout et le rien Oh, mon coeur est plein De cet amour fleurissant Tu es si belle, si belle Oh, ne me laisse pas maintenant Tes yeux couleur caramel Je ne peux m'en détacher Voler avec toi dans le ciel Tu tombes sans que je ne puisse te rattraper Reviens, coccinelle Tu murmures à mon visage Que tu m'aimes aussi Mais que tu n'es qu'une illusion, un mirage Adieu, mon ange emprisonnée du paradis Oh, la fille que j'aime tout là-bas N'existe pas *** Lili-Rose 19/04/21
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Je t'attends là
Fleur d'hiver À l'identité méconnue Douceur amère Qui es-tu ? Entre les flocons De la vie Ta passion Pour la nuit Ton amour Pour les fleurs Combien de jours Après les mœurs ? Combien d'années Avant que nos doigts Entrelacés Se revoient ? Tes allures japonaises Tes cheveux corbeau Tes yeux mal à l'aise Tes parents furent matelots Sakura Fleur d'hiver Ma très chère Je t'attends là *** Lili-Rose 18/04/21
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Vermeil noir
Je broie du noir Noir est la vie Vie de cauchemars Cauchemars de la nuit Nuit sans étoiles Étoile brille Brille l'inatteignable Inatteignable fille Fille de la lune Lune ou soleil Soleil réchauffe chacune Chacune de tes oreilles Oreilles et visage Pleurs parsemés Parsemés de mirages Mirages faussés Fausse et mes failles Failles sombres Sombre, rien qui ne vaille Vaillant le chevalier de l'ombre L'ombre du sommeil Sommeil perdu ce soir Soir sans vermeil Vermeil noir *** Lili-Rose /image en fond de moi/ Il n'y a aucun sens x)
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Sentiments Floraux
La rose, Se protège sous ses épines Mais au fond c'est une belle chose Le lac des cygnes Fleur de printemps Le lilas, Vit de joie et d'amitié Mais quand elle est las Personne ne semble le remarquer Fleur d'été Le magnolia, Doux mais fragile Baisers tout bas Se cacher est difficile Fleur d'automne Le sakura, Qui étais-tu demain ? Tes cheveux de jais dans le vent froid Je viendrai te tendre la main Fleur d'hiver Les fleurs à jamais ne meurent Bien que cueillies Elles reposent dans mon cœur Ça ne s'oublie pas, les fleurs et les filles *** Lili-Rose /photo en fond de moi/ 16/04/21
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L'océan dans mon cœur
Dans mon cœur est enfoui Mes peines et ma vie Tes sourires et le bonheur C'est l'océan dans mon cœur Mes tristesses Et mes anciennes détresses Echouées sur le rivage Autrefois la pluie sur mon visage C'est l'océan dans mon cœur Les éclairs dans mes cauchemars La joie de ma sœur Le soleil se lève bien trop tard Tes sourires Et ton précieux rire A jamais dans la mer bleue Autrefois la nuit dans mes cieux C'est l'océan dans mon cœur La tempête dans mes sentiments La lune dans mes bonheurs La vie depuis longtemps C'est l'océan dans mon cœur, Parfois changeant, dévastateur L'orage et les mœurs Parfois paisible, douceur C'est l'océan dans mon cœur Je n'attends que toi Pour te baigner dans mes bras Et faire toi aussi partie de l'océan de mon cœur. *** Lili-Rose, 10/04/21 ❤️❤️ MERCI ❤️❤️
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Le feu est mon espoir, mon espoir me consume
L'espoir consume toi et moi Il renaît de ses cendres Tel le phénix que j'étais autrefois J'ai peur que mon cœur se fende Mais dès que je vois tes yeux J'y crois entrevoir une nouvelle lueur Le début d'un magnifique feu ? Mais j'ai peur de m'inventer un bonheur Le feu est mon espoir Mon espoir me consume Mais je veux y croire ! Avant que la lumière, tu rallumes Ne me laisse pas dans le noir Mais j'ai peur de ta voix dans le jour J'ai peur de mon espoir Du feu de mon amour Le feu est mon espoir, mon espoir me consume. *** Lili-Rose /image en fond de moi/
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Il y a mille façons de transmettre ce qu'on ne peut pas dire
On peut écrire une lettre Pour transmettre Tous les mots.aux Qui n'osaient sortir de là-haut On peut faire des gestes Pour aider une personne en détresse Et lui sauver la vie Devenir son ami.e On peut laisser parler son corps Vers celui ou celle qu'on aime si fort C'est parfois mieux que des paroles Vaines qui prendraient leur envol ~ Je te dirai JE T'AIME par la voix Je t'écrirai JE T'AIME cette fois Je t'indiquerai JE T'AIME avec des gestes Je te parlerai JE T'AIME en espérant que tu restes JE T'AIME *** Lili-Rose
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Les sentiments
Les sentiments Me chuchotent Des paroles depuis longtemps Je les notes Ils me font croire Que je suis amoureuse Qu'un peu plus loin, je peux voir Alors qu'au fond, je ne suis qu'une âme malheureuse Une amie m'a demandé S'il fallait suivre son amour Ou ses pensées ? Je lui ai dit que les sentiments nous jouaient des tours Qu'ils étaient incontrôlables Mais que ne choix Sont toujours réalisables Les sentiments qu'on Possède, je ne saurais jamais S'ils sont bons Ou trop mauvais *** Lili-Rose
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Heureuses
Un jour enneigé Alors qu'elle courait Pour te rendre l'écharpe oubliée Je crois qu'on a comprit qu'on vivait On s'est allongées Sur la route On aimait le danger Et oubliés furent les doutes Je crois que là J'ai compris que T'étais tellement importante pour moi On s'est racontés nos vieux Souvenirs, Juliette Tandis que les flocons Tombaient sur nos têtes Il faisait bon J'ai su Que j'étais heureuse J'espère qu'également tu le fus Heureuse *** Lili-Rose /Photo en arrière plant de moi/ 23/03/21
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Fiers de toi
Tu es né À tes trois années On te jette Loin de là maisonnette Travaille, autant que tu peux Tu pourras aller où tu veux Un jour, tu réussiras ta vie Enfin si Tu es comme tout le monde Si tu n'es pas sur la même longueur d'onde Tu seras perdu, accumulant le retard d'hier On te jugera en échec scolaire Mais tu sais, mon frère Va là où il te semble bon Je serais tellement fière Ce sera une bonne leçon Tu peux réussir Autrement Comme on peut écrire Autrement Tu trouveras La vie qu'il te faut Rêve, prend un bateau On sera tellement fiers de toi. *** Lili-Rose 23/03/21
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Tu ne seras plus l'Amie Oubliée
Quand on dit Que l'amour Aveugle et rend sourd C'était vrai ma chérie Je t'aime tellement Mon cœur chahute En t'appercevant Mais quand nous sommes dans notre hutte J'en oublie tellement tout C'en est complètement fou Mes amies, et le restant de ma vie C'est par ce que je t'aime, ma chérie. Alors que nous cœurs dansaient L'un contre l'autre Mon esprit s'enflammait Oubliant pour de bon les autres Et toi, mon amie Je suis désolée, sincèrement D'avoir brûlé notre amitié fleurie Je mens Mais maintenant c'est fini Promis, mon amie Je penserais moins aux fleurs Et aux sentiments dévastateurs À présent je t'aimerai comme avant Je sais que tu comprends Combien ça m'en coûte De laisser une partie de mon amour dans la soute Merci, Merci, mon amie, ma chérie, Je vous aime. *** Lili-Rose /photo de fond de moi/ 22/03/21
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Je Coule
Je suis tombée du bateau Mon cœur emporté par les flots Aucune main ne m'a rattrapé Je sombre sans avoir un être à aimer Je coule Emportée par les eaux Et la foule Peut-être une mort trop tôt Je ne bouge plus La force, je n'ai plus Je sais pourtant nager Mais c'est si dur de remonter La surface deligne de mes yeux Ils se perdent dans la mer Peu à peu s'éteint le feu Et avec, la folie me perd J'aperçois cette pierre Elle pourrait m'aider et me rendre fière Mais je ne veux pas remonter C'est bien plus facile, couler Je tombe sans bouger Noyée dans mon propre malheur Il n'y a plus a aimer un cœur égaré Plus de sourires et de yeux rieurs Je coule L'eau devenue mon alcool, je me soûle Je sombre Là où je ne serais qu'une ombre Je coule Une main m'attrape Je baisse ma cagoule Et de ces océans, je m'échappe L'air me ramène à la vie Rallumant la flamme Qui crépitait dans mon âme Des larmes roulent sur tes joues salies Je suis désolée De t'avoir inquiétée Toi pour qui j'écris ce poème Je t'aime *** Lili-Rose
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Un ou Une Espoir
Les yeux rougis Par les larmes Les joues salies Tu as baissé les armes Ton visage Autrefois si beau N'est plus qu'un lointain mirage Abandonnant du faux Derriere tes pas Toi... Alors que la lumière S'est éteinte Qu'il ne reste qu'une amère Teinte Du passé Des sentiments refoulés Il y aura toujours Espoir C'est cette petite fille qui court Ou ce vieillard Il y a Toujours quelqu'un prêt à Te tendre la main Et laisser ton destin devenir sien N'oublie jamais Mais au fond tu le sais Quand tu crois ne plus rien y voir Il y aura toujours un ou une Espoir *** Rose /photo m'appartenant en fond/
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On pourrait juste s'aimer
Juste se laisser Porter Ne plus rien penser Allez viens, on vit pour Nous Viens, on oublie tout Viens , on chante Jusqu'à ne plus pouvoir respirer Viens, on danse Jusqu'à que le soleil soit couché Viens on vit On ne pense plus à demain Viens on vit On n'a plus rien dans les mains Viens, et si on s'aimait ? De jour comme de nuit On vit comme si rien d'autre ne comptais Juste toi et moi, on abandonne nos soucis Pour un peu penser à Nous Viens, on part sans un sou En prenant l'amour comme seule monnaie Viens, on le peut, on le pourrait On pourrait juste vivre On pourrait Juste s'aimer *** Rose
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Taytayounette
Pour @taytay_937, la vraie Taytayounette *** Comment pourrais-je te croire ? Toi qui es partie sans même un « au revoir » Tu disais être mon amie Tu disais m'aimer Que tout aurait été différent si on s'était pas rencontrées Tu comptais pour moi autant que si t'étais « dans ma vraie vie » T'étais mon amie en or Tu m'aidais quand j'perdais l'Nord T'étais Taytayounette Et tu resteras à jamais J'espère que t'as pas oublié combien on s'aimait Et combien j't'aime toujours Non j'n'parle pas d'amour Mais bien d'une amitié puissante J'aurais dû voir qu'il y'avait une chose alarmante Ma Taytayounette Où que tu sois Même si tu ne te souviens plus de moi Je t'aime, signé Lili-Rosounette *** Lili-Rosounette
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Citation 5
« Peu importe si au dessus de nos têtes il n'y a pas de toit, Au moins, nous verrons les étoiles » *** Rose /photo en arrière plan de moi/
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Tu me manques
Tu es près de moi Mais c'est comme si nous n'étions pas là En lambeaux Mon cœur se déchire Alors que lui se retrouve piégé dans l'eau Bleue, comme tes yeux. Haïr, Il n'a que ce mot à la bouche Il brisera la souche De notre amour, Magnolia. Si tu n'interviens pas Qui saura Ce qu'il adviendra ? *** Rose /photo en arrière plan de moi/
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J'aimerais
J'aimerais vivre avec toi Qu'importe du au dessus de nos têtes il n'y a pas de toit, Au moins, on verra les étoiles du soir Elles éclaireront notre amour Et les jours d'espoirs On trouvera des nouveaux chemins et détours. J'aimerais, Mais je ne l'ai. *** Rose /photo en arrière plan de moi/
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Seule dans le noir
Je suis seule dans le noir. Il y a d'autres personnes, mais elles se sont cachées. Plus ou moins proche de moi. Il fait complètement noir et j'ai peur. J'ai peur du monstre. Il crie, il est violent. Je ne sais pas où est l'interrupteur, si seulement il y en a un. Maman, tu sais où est l'interrupteur ? Est ce qu'au moins tu le cherches ? Il y a des proches à l'étage du dessous, chez eux il fait jour. Je leur téléphone, peut-être savent-ils où est caché l'interrupteur ? « Oui. D'accord. Ok. Ah bon ? Je comprends ». Non, vous n'avez pas compris ! J'ai peur du noir, j'ai peur du monstre, il me recherche, je ne sais pas combien de temps je devrais rester cachée, je veux de la lumière ! Pourquoi... Pourquoi tu en m'entends pas ? Je suis seule dans le noir, et j'ai peur. Peur du monstre. *** procrastinatrice 09/02/21
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Prendre la fuite
Tu fuis Jour comme nuit Tu mens Pour ne pas faire couler le sang Tu me fuis Moi qui était ton amie Tu me mens Depuis que nous ne sommes plus enfants Tu la fuis Vous qui êtes liées par la vie Tu lui mens Sais-tu ce qu'elle pense vraiment ? Tu te fuis Toi et tes propres sentiments Tu te mens À toi-même, ma chère amie *** procrastinatrice
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T'en souviens tu ?
T'en souviens-tu ? Notre rencontre, dans les années quarante, T'en souviens-tu ? Combien tu étais douce, aimable et amusante, T'en souviens-tu ? Quand nous sommes tombés amoureux sous les amarantes, T'en souviens-tu ? Combien nous chérissions ces plantes, T'en souviens-tu ? Notre premier baiser au port, T'en souviens-tu ? Nous ne nous soucions guère de la mort, T'en souviens-tu ? Quand nous avions voyagé au nord, T'en souviens-tu ? Notre alliance en or, T'en souviens-tu ? Quand tu m'as tricoté un pull en laine, T'en souviens-tu ? Notre voyage sur la Seine, T'en souviens-tu ? Emmanuelle, T'en souviens-tu ? Je t'aime. *** procrastinatrice
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Citation 4
« Si je pleure, c'est parce que moi au moins je possède des sentiments » *** procrastinatrice
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Citation 3
« Les mots peuvent être plus durs que les maux » *** procrastinatrice
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Citation 2
« La confiance c'est comme un puzzle, c'est long à construire mais pourtant si facile à détruire » *** procrastinatrice
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L'artiste égoïste
Poèmes compliqués Toiles inachevées Sentiments lassés Encre délaissée Odeurs estompées Mots saccagés Je voulais être un artiste Mener une existence idéaliste Ne plus tenir une liste Mais je suis égoïste Phrases passées Rêves envolés Souvenirs effacés Efforts abandonnés Paroles fanées Mots oubliés Je voulais être un artiste Mener une existence idéaliste Ne plus tenir de liste Mais je suis égoïste J'étais un artiste égoïste *** procrastinatrice
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Cercle vicieux
Cercle vicieux Tu tombes, tombes Encore plus bas Dans ta tombe, tombe Tu resteras Il est tard, tard Trop pour moi Cauchemar, cauchemar Il reviendra Des tes mains, mains Tu m'étoufferas Humain, humain, Tu ne le sera Cercle vicieux Au bord du gouffre Il t'arrache la vie Cercle vicieux Il te fait tourner en boucle Pour sombrer dans la folie *** procrastinatrice
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216
Citation
« Les humains, c'est comme les chaussures neuves, ça ne reste pas blanc très longtemps » *** procrastinatrice
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Je t'aime, Magnolia
Je n'ai jamais vraiment sû, Écrire un poème qui t'aurait convenu. Alors cette fois, je laisse la place à mon cœur, Pour écrire des mots à ma précieuse fleur. Ces moments où nous sommes juste toutes les deux, Où l'on ne parle pas, nous nous serrons simplement dans les bras. Dans mon cœur, les braises deviennent alors un feu, Avançons ensemble, pas à pas. Tu sais, les nuits timides remplacées par les baisers inombrables, Le temps s'arrête juste pour nous, et tout est formidable. Ta main vient se nicher dans la mienne, et naît un sourire sur mes lèvres, Je tremble, et pourtant je n'ai pas de fièvre. C'est alors qu'avec ma voix Je te dirais tout bas, Je t'aime Magnolia. *** procrastinatrice
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Je n'ai jamais vraiment sû
Je n'ai jamais sû Courir aussi vite que le vent Je n'ai jamais sû Danser contre le temps Je n'ai jamais sû Faire tout cela si facilement Je n'ai jamais sû Écrire correctement Je n'ai jamais sû Aimer simplement Je n'ai jamais sû Je n'ai jamais sû Oui, je n'ai jamais sû Je n'ai jamais sû Mais pourtant je cours et j'apprends Je n'ai jamais sû Mais je danse comme si ma vie en dépend Je n'ai jamais sû Mais j'essaie, qu'importe le temps Je n'ai jamais sû Mais je déverse en poème mes sentiments Je n'ai jamais sû Mais j'aime vraiment Je n'ai jamais sû Je n'ai jamais sû Oui, je n'ai jamais sû Mais j'apprends, je prends le temps pour faire vraiment, avec de vrais sentiments, qu'importe le temps, meme si ma vie en dépend. Je n'ai jamais sû Mais j'apprends, je prends le temps pour faire vraiment, avec de vrais sentiments, qu'importe le temps, meme si ma vie en dépend. Je n'ai jamais sû Je n'ai jamais sû Oui, je n'ai jamais sû Alors je saurais autrement. *** procrastinatrice
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Je suis énervée
Je suis énervée Contre tout, à commencer par vous Nous avions organisé quelque chose de fou Sans même dépenser un sou Rien n'était flou Je suis énervée Contre les autres C'était de votre faute Il a fallu que ça saute Vous auriez dû voir qu'elle était bien trop haute Je suis énervée Contre eux Ils croient manipuler le feu Resserer le nœud Mais ils ne sont bons qu'à donner des bleus Et rendre malheureux Je suis énervée Contre moi parfois De penser comme ça De ne pas passer d'alinéa De ne pas élever la voix D'être moi Je suis énervée Pardon le mot n'est pas le bon Non Je suis révoltée *** procrastinatrice
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242
LiLi
Il y a Une petite fille Qui a Une vie, des amis Appelons la LiLi Parfois Elle entend des bruits Ils ne viennent pas des bois Mais surgissent la nuit Respirations, pas LiLi Elle voit des choses noires Qui se baladent de jour comme de nuit Parfois tard le soir Rien ne luit Mais elle voit près du tiroir LiLi LiLi LiLi LiLi Ça pourrait s'agir De votre propre amie Elle n'est pas là pour vous maudire Non LiLi N'est pas une illusion LiLi C'est mon prénom
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279
Qu'est ce que l'oubli ?
Qu'est ce que l'oubli ? Un trou, sans fond Énorme et infini ? Du sable maudit, Que marée aurait recouvert sans un son ? Un mont, Où plus rien ne luit ? Qu'est ce que l'oubli ? Personne ne le connais L'oubli A été oublié. *** procrastinatrice
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282
Dire tout haut ce que l'on pense tout bas
Si tu ne me dis pas Ce que tu penses tout bas Comment pourrais deviner Que nos idées Sont similaires Extraordinaires Changer la Terre Ses lois amères Peu ordinaires Eclairs Lumières Nouvelle Ere Sans poussières Plus pour plaire Ne plus se taire Loin vers la mer Non-éphémères Si tu ne me dis pas Ce que tu penses tout bas Comment pourrais deviner Que nos idées Sont la clé De l'humanité. *** procrastinatrice
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Je ne veux oublier
Peu importe les efforts que je ferais, Toujours j'oublirais, Les détails s'effritent peu à peu, Les souvenirs de nous deux. Je ne veux oublier, Les souvenirs passés. Demain prendra place des souvenirs d'hier matin, Les emportant au loin, L'hiver remplacera l'été, Et les fleurs deviendront fanées. Je ne veux oublier, Les souvenirs passés. Je veux revivre toujours cette même journée, Et le soir quand j'irais me coucher, Je me réveillerais la veille, Pour retourner avec toi dans le ciel. Je ne veux oublier, Les souvenirs passés à tes côtés. Je ne veux oublier De t'aimer. *** procrastinatrice
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7
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Si le ciel venait à tomber sur nos têtes.
« Si le ciel venait à tomber sur nos têtes, Je te prendrais par la main, Et nous fuirons sur une autre planète, En quête d'avenir pour demain ». *** « Si le ciel venait à tomber sur nos têtes, Je te regarderais dans les yeux, Te dirais tout ce que j'ai pensé en cachette, Et que jamais je n'aurais pû rêver mieux ». *** « Si le ciel venait à tomber sur nos têtes, Je vivrais l'instant présent, Avec toi ce serait encore plus chouette, Si on courait dans les champs ». *** Même si jamais le ciel ne tombera sur nos têtes, Je continuerais de danser sous la pluie, Je continuerais de rire lorsque le soleil luie, Je continuerais d'aimer la vie. Même si jamais le ciel ne tombera sur nos têtes, Je voudrais continuer d'être heureuse. Tout simplement. *** procrastinatrice
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Impossible possible
Longtemps, j'ai cru que tout était impossible, Que jamais je ne pourrais toucher le ciel, Jamais je ne saurais lever un seul sourcil, Ou manger tous les pots de miel. Longtemps, j'ai cru que tout était impossible, Que jamais je ne pourrais boire toute l'eau de la mer, Jamais je ne saurais arrêter un missile, Ou figer la guerre. Rien n'est impossible, Levez-vous, il suffit d'un peu de volonté, Je n'ai jamais dit que ce serait facile, Mais qu'ensemble, on pourrait y arriver. Nous pouvons rendre possible l'impossible, Main dans la main, prêts pour demain, Et affronter ceux qui nous on prit pour cible, Tout est possible, car nous sommes des humains. *** procrastinatrice /image en fond de moi/
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Étoile de Mer
Étoile de Mer, Portée par les vagues, Suivant le chemins de ses frères, S'en va loin de la plage. Mais la mer n'a que faire De ses rêves et mirages, Ignorant son air sincère, Lui envoie la tempête au visage. Renvoyée sur sa terre, Et mauvais présage, Adieu sable amère, Je n'étais que de passage. *** DarkPhoenix
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La Grande Étoile
Au début il n'y avait rien. L'univers tenait dans une petite boîte. Un jour, il commença à grossir, grossir. Les différents atomes se lièrent et ce fût le début de ton existence. Oui, de toi, mon étoile. Quand tu naquis, peu existait autour de toi. Tu étais une petite étoile. Petite, mais jolie. Ça ne te dérangeais pas. Tu regardais les autres autour de toi, les petites planètes. Tu tenais en gravité, mais ça te plaisais de te laisser emporter. C'était facile, paisible et serein. Les années passèrent, l'univers grandissait et toi aussi. Peu à peu, tu fus lassée de la contemplation céleste. Tu disais « Plus vite, plus vite, que je puisse être une grande étoile ! ». On te répondait « Doucement mon enfant. Profite d'être jeune, tu as le temps ». Toi, tu ne les écoutais pas. Tu voulais être la plus grande et tout contrôler. Les années défilèrent, elles te semblairent durer une éternité. Mais ce jour arriva bien. Tu étais enfin celle que tu avais toujours voulu être. Tu brillais, et toute la galaxie t'admirais. « La grande étoile », qu'on disait. Tu étais heureuse qu'on te remarque enfin. Tu étais belle, mais pas encore assez pour toi. Tu pouvais être plus. Alors tu étincellais, encore et encore, de plus en plus fort. Tu ne savais pas t'arrêter. « Arrête ! Tu vas ruiner ta vie ! », qu'on te disait. Mais tu ne les écoutais pas. « Encore ! Encore ! Je veux être encore plus grande ! » Tu brillais tellement fort, que les gens ne pouvaient plus te regarder. L'éclat lumineux leur faisait mal aux yeux. Alors tu te fis oubliée, un peu plus chaque jour. D'autres astres avaient sût faire meilleur que toi. Ils t'avaient remplacée. Un jour, tu mourus. Tu devins aussi noire que la nuit. Tu n'étais plus là belle d'hier. Tu n'étais plus que le vide et l'oubli. L'obscurité. Jour après jour, tu sombrais un peu plus. Jusqu'à vouloir te venger des hypocrites qui avaient voler ta place de reine. « Nous te l'avions dis, de ne pas aller trop loin. Si tu nous avais écoutés... ». Tu te transforma en trou noir. Défiant la gravité et ceux qui t'avaient admirée. Tu engloutissais tout sur ton passage. Tu étais une étoile morte. Un monstre. Où es passée mon étoile d'autrefois ? *** Un jour, au milieu des planètes et comètes naquit une petite étoile. « Je veux être une grande étoile ! » *** DarkPhoenix
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Peu importe
Peu importe si il est joli Peu importe si il est malin Peu importe si il est impoli Peu importe qu'il soit vilain Peu importe si il vient d'Australie Peu importe si il est châtain Peu importe si il s'appelle Louis Peu importe si il n'a jamais vu un train Peu importe qu'elle soit une fille Peu importe si c'est Claire ou Martin Peu importe si elle préfère le jour à la nuit Peu importe Nous sommes des Humains. *** DarkPhoenix /Image en fond de moi/
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Étoile
Il y avait cette étoile au milieu de la galaxie. Entre les comètes et planètes, on ne la distinguait pas vraiment. Elle était sans cesse cachée par l'obscurité des autres. Mais l'avez vous déjà vraiment regardée ? L'avez vous au moins remarquée ? Non. Jamais. C'est seulement quand l'astre s'est éteint que vous vous êtes rendu compte de sa place dans l'univers. Cette étoile maintenait l'équilibre. Le poids de l'univers reposait sur ses épaules. Vous n'avez pas besoin de posséder un télescope. Levez la tête, ouvrez vos yeux et vous l'entendrez murmurer au creux de votre oreille tout l'amour du ciel étoilé. *** DarkPhoenix
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Qu'aurions nous été ?
Si la beauté N'avait jamais été Si la gravité N'avait existé S'il ne t'avais pas jugé Tu ne serais pas décédé S'il ne t'avais pas embêtée Tu ne serais pas blessée S'il ne t'avais pas protégé Tu aurais été tué Si le monde avait changé Aurait-il moins de cruauté ? Aurait-il eu autant de méchanceté ? Si tu n'avais jamais existé Qu'aurions nous été ? *** DarkPhoenix
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Avenir
Bien que lointain sois-tu, Je percerais tes secrets avant que tu puisses me maudire. Bien malin sois-tu, Je saurais te trouver avant de mourir. Bien que vilain sois-tu, Je ne peux te haïr. Parce que tu es mon avenir. *** DarkPhoenix
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Je t'emmène au loin
Prend ma main Je t'emmène au loin Allons ensemble découvrir ce paysage lointain ! Je veux te montrer les prés Les champs de blé Le printemps et l'été Un monde où l'on ne serait jugées. Je veux te montrer la mer Là où est né mon père Les endroits déserts Sans odeurs amères. Je veux te montrer la galaxie Elle qui est mon amie Le jour et la nuit Le paradis. Ne lâche pas ma main Je t'emmène au loin Allons ensemble visiter ces paysages lointains ! *** DarkPhoenix
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Alors que j'écrivais
Alors que j'écrivais pour tuer l'ennui Je n'ai pas vu tomber la nuit J'ai pu apercevoir les étoiles et la galaxie Elle était jolie Elle reflétait la vie Et le paradis Alors que j'écrivais M'a rejoind mon mari Nous regardions le ciel, unis. *** DarkPhoenix
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Fleur fanée
Fleur fanée. Fleur de printemps, Fleur des champs. Fleur du temps, Fleur d'enfant. Fleur d'été, Fleur des prés. Fleur des cœurs, Fleur bonheur. Fleur d'automne, Fleur des pommes. Fleur fantôme, Fleur des Hommes. Fleur d'hiver, Fleur d'hier. Fleur des terres, Fleur de pierre. Fleur fanée, Fleur mal armée. Fleur décédée, Fleur fanée. *** DarkPhoenix
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Mamie
Mamie, je sentais ton parfum à la rose quand je te serrais dans mes bras. Maitenant, je sens le vide et le renfermé. Mamie, je voyais tes cheveux gris, que tu ne voulais pas teindre. Maitenant, tout est pâle et terne. Mamie, je sentais l'odeur de tes plats que tu faisais si bien. Maitenant, la cuisine est vide. Mamie, je jouais aux échecs avec toi. Maitenant, les pions sont renversés. Mamie, je me rappelais quand tu me prêtais tes livres. Maitenant, mes souvenirs s'effritent. Mamie, je me souvenais quand tu m'aidais pour mes devoirs. Maitenant, les cahiers sont seuls sur la table. Mamie, je jardinais avec toi. Maitenant, les herbes du jardin sont bien trop hautes. Mamie, je t'en étais reconnaissante quand tu me soignais quand j'étais blessée. Maitenant, j'ai une énorme faille dans mon cœur parce que tu es partie. Mamie, je t'aimais. Maitenant, je t'aime. *** DarkPhoenix
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Le Chemin de la Vie
Aujourd'hui est une belle journée, comme toutes les autres, d'ailleurs. Des nuages blancs couvrent une partie du Soleil. Un temps que n'importe qui qualifierai de « banal». Dans ce paysage, se découpe un chemin. Une ligne droite, toute tracée. Il y a des graviers dessus, rouges et fins, qui craque quand on pose un pied dessus. Tient, une femme vient de faire ce mouvement. Mais ça, la silhouette l'ignore. Elle se contente d'avancer, pas à pas, sur le chemin. Sa marche est régulière, comme le craquement des petits cailloux et le chemin, toujours droit. Tout va bien. Enfin. C'est ce qu'il nous semble. La femme tourne la tête, qu'est ? Oh, nous ne l'avions pas vu ! Un sentier, minuscule et boueux est là. Mais qu'est ce qu'il y a au bout ? Nous l'ignorons, et l'inconnue aussi. Elle préfère suivre ce chemin tout tracé. Son chemin de la vie. Elle marche, inlassablement, cette même route, droite, claire. Mais, que fait-elle ? Pour la première fois, elle ralentit, comme redoutant quelque chose. Elle lève la tête, deux chemins s'offrent à elle. Le choix est obligatoire. D'un côté, c'est sombre, une pluie battante secoue les arbres, qui forment des ombres menaçantes. De l'autre, le Soleil brille. Vous, qu'auriez vous choisi ? Elle va vers le Soleil, c'était évident. Elle continue sa marche. Des nuages viennent cacher le Soleil. Oh, encore de nouveaux sentiers. Mais non, la femme suit cette vie toute tracée. Elle continue sa marche. Des falaises bordent peu à peu le sentier : impossible de faire demi-tour. Et là, une nouvelles fois, la route se fend en deux chemins. Elle prend celui où il fait beau, bien sûr, qu'aurait vous fait à sa place ? Le Soleil brille tellement fort. Elle est heureuse. Elle marche, continue sa route, sa vie. Une pluie fine coule, mouillant ses cheveux. Ça passera. La pluie, tombe de plus en plus fort. Puis vient l'orage. Les nuages noirs, elle se retourne, le sentier se dérobe. Pas de retour en arrière possible. Plus de choix. Le sentier se rapproche, puis fini par céder. Et la femme tombe dans le vide. S'en ai fini, malheureusement trop vite. La femme, c'est Élie. Vous savez, ce chemin ? C'était les routes de la vie. Les petits choix, les gros. Le chemin était si droit et uniforme, Élie était enfant. Le petit chemin bordant la route, c'était le choix de devenir amie avec une fille de son école. Elle ne le savait pas, mais une fois adulte, elle aurait trouvé par hasard son compagnon, à une fête avec son amie. Mais elle a refusé. Dommage. Le gros chemin, c'était de quitter la France avec sa mère. L'orage, c'était un accident de voiture, mortel malheureusement pour sa mère. Mais elle aurait trouvé une amie en or parmis les soigneurs. Elle aurait fait des études d'infirmière, aurait eu un mari aimant et des enfants adorables. Mais l'orage lui a fait peur, elle a pris l'autre chemin. Avait-elle oublié après la pluie, le soleil ? Sans doute. L'autre, celui qu'elle a choisi, Élie a rencontré un inconnu, dans un bar, elle s'est fait frappé par le coup de foudre. Elle était très heureuse. Mais cet homme n'était pas digne de confiance. Car oui, le bonheur ne dur pas très longtemps... Ça s'est mal terminé. Et s'en fut fini pour Élie. Ayez confiance en vous, faites les choix qui vous semblent justes, même s'il faut parfois sortir du long chemin bien uniforme. *** DarkPhoenix
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Je Coule
Je suis tombée de la barque. Aucune main ne m'a rattrapée. Alors je coule. Au fond de l'eau. Je ne bouge plus. Je n'ai plus de force. Je sais pourtant nager. Mais comprenez vous, c'est si dur de remonter ! La surface est si loin, au dessus de moi. Je n'y arriverai pas. Je vois cette pierre à côté de moi, je pourrais m'aider pour remonter ? Non. Je ne veux pas remonter. Je préfère couler. C'est facile, couler. On tombe, sans bouger, restant dans notre malheur. À quoi bon user de ses forces pour remonter ? Je sais déjà que tout est perdu. Je coule. Une main. Une main m'attrape, me remonte. Je ressens l'air dans mes poumons. « Pardon » *** DarkPhoenix
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